Altercation présumée avec un Policier devant le palais : Bentaleb Sow brise le silence et livre sa version…
Bentaleb Sow, le conseiller spécial du Président de la République, prend la parole pour, dit-il, «rétablir la vérité» sur l’altercation qu’il aurait eu avec un agent de police, dans les abords du palais présidentiel.
En effet, il est rapporté qu’il se serait présenté à pied, valises à la main, et aurait voulu emprunter un couloir interdit aux piétons. Les agents du GMI en faction lui auraient signifié l’interdiction et lui auraient demandé de décliner son identité. Il aurait refusé d’obtempérer, provoquant un échange houleux.
Mais, le conseiller spécial du chef de l’Etat a démenti le texte fait par L’Observateur sur l’affaire. «Ce texte, truffé d’inexactitudes et de contre-vérités, m’a prêté des propos que je n’ai jamais tenus et un comportement qui ne saurait m’être attribué. J’y ai été dépeint de manière caricaturale, dans un récit dont l’heure même, à laquelle l’incident est censé s’être produit, n’est exacte», précise-t-il dans une tribune partagée sur sa page Facebook.
Puis, Bentaleb Sow a livré sa propre version des faits: «Un motard de la police, non affecté à ce secteur et censé assurer l’escorte d’un membre du gouvernement, a entrepris de m’interpeller avec une brusquerie injustifiée, m’interdisant un passage qui, en réalité, ne l’était nullement. Je lui ai répondu avec calme, mais avec la fermeté que requiert la défense du droit», raconte le conseiller spécial dans son texte.
M. Sow déclare qu’il n’y a eu ni esclandre, ni outrage, ni refus d’obtempérer. Et les agents présents lors de l'incident l'appelaient d’ailleurs par son nom, dit-il. Preuve, selon lui, que son identité leur était parfaitement connue.
«Je n’ai donc pas eu à me présenter, et personne ne me l’a demandé», souligne-t-il, assurant qu’il ne s’est jamais prévalu de sa fonction pour imposer quoi que ce soit. Car, dit-il, qu’il est «avant tout, un citoyen respectueux des lois et des forces de l’ordre, conscient que toute autorité, aussi élevée soit-elle, demeure soumise à un devoir d’exemplarité».
Sur l’ampleur qu’a prise l’affaire, M. Sow dit s’être imposé le silence, après cet incident, par souci de mesure et de responsabilité. «Mais face à la persistance de ces fausses allégations, il m’a semblé nécessaire de rétablir la vérité, sans passion ni polémique, mais avec clarté et sérénité», dit-il.
Quid de l'agent de police avec qui il a eu l’échange désagréable ? «Je dénonce seulement le comportement isolé d’un individu, et la dérive d’une certaine presse prompte à publier avant de vérifier», dit-il. Pour lui, lorsqu’on évolue dans le cercle du pouvoir, il n’est pas rare d’être la cible d’attaques, parfois injustes, souvent calculées.
Commentaires (35)
Boy dokholal fodiare yonneleu Machalla Alla boni Observateur lou yakhou si deukbi saine lamigne gnanksi birr yaineu bonneu tai hame nouniouye bonneu
Et celle-ci aurait dû être faite beaucoup plus tôt
J’ai voté pour ce régime et je ne voterai jamais pour cette opposition
Mais le gouvernement a un sérieux problème de qualité des ressources humaines et ne veut pas l’admettre
Que Sonko et Diomaye sachent qu’il existe des gens compétents et intègres et qui n’ont pas la carte de Pastef
Wa yalla legui balniou akeuu
Même si les détails ne sont pas exacts , il y a eu altercation !
Pourquoi un policier empêcherait un fonctionnaire de la présidence de passer dans un chemin libre d'accès?
Un séminaire gouvernemental s'impose pour former les personnes suivantes travaillent au palais au protocole .
Apparemment, il n'y a que le Président qui connaît le protocole ...
Rew, Khamadi
Où les 1000 milliards que votre gourou a découvert dans un compte bancaire ?
Fén rék
Que dieu te protège
NOUS (PLUS DE 90% DE LA POPULATION) VOUS CROYONS.
VAS CONTINUER TON TRAVAIL. LES CHIENS NE VONT PAS CESSER D'ABOYER.
Participer à la Discussion