Mbao : Une altercation éclate entre une dame et un vendeur égyptien venu réclamer une dette
Ce mercredi, une intervention policière à Mbao a révélé les tensions liées aux ventes à crédit d'appareils électroménagers.
Une dénommée Seynabou s'est présentée au commissariat d'arrondissement de Zac Mbao dans la journée de ce mercredi pour signaler une agression. La plaignante affirme avoir été attaquée à son domicile par un individu qu'elle décrit comme un étranger.
Suite à cette déclaration, les policiers se sont rendus sur place et ont procédé à l'interpellation de M.A.A. Khadre, un ressortissant égyptien. Interrogé, ce dernier explique qu'il était venu réclamer le solde impayé d'un ventilateur vendu à crédit. L'appareil, d'une valeur de 30 000 FCFA, n'aurait pas été entièrement réglé, laissant une dette de 10 000 FCFA selon des sources de Seneweb.
Selon la version de Seynabou, dans l'impossibilité de payer immédiatement, elle aurait demandé au créancier de repasser ultérieurement. C'est alors que la situation aurait dégénéré, le vendeur l'auant agressée, provoquant une altercation entre les deux parties.
Le ressortissant égyptien conteste cette version des faits et soutient au contraire avoir lui-même été victime d'agression de la part de la dame.
L'examen des deux protagonistes révèle des blessures légères de part et d'autre : M.A.A. Khadre présente une égratignure à la main droite, tandis que Seynabou affiche une rougeur à l'œil gauche.
Fait notable, aucune des deux parties n'a souhaité déposer plainte. Ce refus s'inscrit dans un contexte local particulier, marqué par le récent déferrement de deux autres ressortissants égyptiens, créant un climat sensible autour de ces affaires.
Face à cette situation, les enquêteurs ont décidé de traiter le dossier sous forme de renseignement judiciaire, sauf instruction contraire du parquet .
La police a alerté sur les pratiques récurrentes de certains ressortissants Égyptiens . Ces derniers vendraient des appareils électroménagers à crédit puis se feraient justice eux-mêmes en cas de non-paiement.
Commentaires (12)
Est ce que ces NARS payent l ‘ Impot?
Ils sont venus dans le mauvais pays. Sénégalais mauvais payeurs notoires.
Il est pratiquement impossible pour un sénégalais d'ouvrir un business ( mangasin) en Égypte tellement que la loi est stricte. Le Sénégal étant un ndoubelane international chacun peut ouvrir son business même étant sans papier.
Je ne vois pas d'Égyptien sur la photo mais un goorgolo
Aucun égyptien ici , il faut être sérieux !
Ces gens sont vraiment courageux. Quitte loin son pays et parcourir les rues de dakar a moto ou à pied pour donner à credit
Ah ce sont donc des egyptiens ceux là? moi je pensais que c'etaient des mauritaniens
mdr
je les vois beaucoup circuler en jakarta dans les zones pauvres de la banlieu souvent accompagné par leur bras droit sénégalais.
ils sont en train de filer du très mauvais coton car ici les gens préfèrent mourir que rembourser une dette.
Quand on prend à crédit le matériel de quelqu'un selon des modalités de paiement, il faut le faire. Nos dames danio niémé boor. C'est la même histoire avec les toucouleurs béthieug 'Tissu, Bassine, seau etc.)
Ba paré, ces dames peuvent te faire courir des mois et des mois et à la longue, ça irrite
De mes propres yeux, et au nom d'allah, j'ai vu un égyptien, devenu trop familier avec une cliente, lui taper les fesses.
Kham nguenni, ces égyptiens, dans un pays étranger douniou dem police di porter plainte. Nos dames sont très fortes en thiakhaneries.
Ces égyptiens doivent être prudents dans les affaires. Ils font confiance aux gens et leur cèdent le matériel sans contrat écrit. Ils passent régulièrement recouvrer les échéances. Le problème est que tout le monde n'est pas honnête. Ils doivent s'entourer des garanties en ayant des contrats de vente écrits selon les règles du Code des Obligations civiles et commerciales et des textes de l'OHADA. Aussi, dans leur business, ils doivent éviter l'usure. Il est raisonnable de donner à crédit à 30.000 francs un matériel qui couterait 20.000 francs s'il était acheté au comptant, par exemple. Enfin, l'Etat se doit d'enregistrer les étrangers pour des raison de sécurité intérieure.
Maintenant c'est les étrangers qui nous agressent dans notre propre pays .Le gouvernement doit prendre ses responsabilités .Même un fou ne le pense même pas en Egypte
La verié c'est ce que l'ecrasante majorité ne payent pas leurs dettes et pense que c'est que c'est pa grave.
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