Massacre de Thiaroye : Guy Marius Sagna exige que « la France reconnaisse ses crimes »
Le député Guy Marius Sagna a rendu hommage aux soldats africains victimes du massacre de Thiaroye, survenu en décembre 1944. Ces tirailleurs sénégalais, rentrant d’Europe après avoir combattu pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale, «ont été tués par l’armée française et enterrés dans des fosses communes ».
Le député rappelle que, contrairement aux inscriptions « mort pour la France » présentes sur certaines tombes de soldats africains, les victimes de Thiaroye n’ont longtemps pas été reconnues officiellement comme « mortes par la France ».
Selon lui, plusieurs soldats ont été victimes d’un double crime à savoir assassinats de masse et mensonges d’État.
Ainsi, ce lundi 1er décembre, il a appelé à rendre hommage aux morts et honorer les martyrs, mais aussi à ce que la France présente des excuses et engage des réparations pour cette tragédie historique longtemps ignorée.
Ce message relance le débat sur la reconnaissance des crimes coloniaux et sur la mémoire des soldats africains au service de la France.
Commentaires (15)
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Aucun journal ne s'est posé la question au sujet des grandes affaires judiciaires qui devaient se dérouler Vendredi, Aujourd'hui et demain. Chut pour des généreux "amis" d'hier. Eux si prompts à faire paraître des articles contre les dirigeants de leur Pays..
Ce GMS nous pompe l'air finalement. Il est à l'image de kemi seba et consorts qui nous tympanisent pour se faire un nom. L'urgence est vraiment ailleurs
Pourqoui le senegal, etat independant, ne fait pas ses propres investigations. sonko et sagna doivent la lumiere sur cette affaire puisqu'ils sont au poiuvoir.
parlez nous de travail de riz d infrastructures...bref de développement
Bien dit honorable guy marius sagna , le panafricaniste , merci pour ta posittion .
Le 30 novembre 2014, le président de la République française, en visite au Sénégal, avait, dans l'enceinte du cimetière militaire du Camp de Thiaroye, pour la première fois reconnu, « la répression sanglante » qui a coûté la vie à plus de soixante- dix soldats au moins.28 nov. 2024
Tirailleurs sénégalais : Emmanuel Macron reconnaît le « massacre » de Thiaroye par les forces coloniales françaises en 1944................Le 1er décembre 1944, plus de 1 600 tirailleurs, en majorité sénégalais, sont rassemblés au camp de Thiaroye, près de Dakar. Un grand nombre d’entre eux sont d’anciens prisonniers de guerre, incarcérés par l’Allemagne nazie, après les combats de 1940. Cela fait deux semaines qu’ils sont arrivés sur place. Comme pour les soldats issus de l’Hexagone, ces hommes issus des colonies françaises, obligés de se battre pour un pays qu’ils ne connaissent pas, réclament le paiement de leurs arriérés de soldes et diverses primes et indemnités de combat.
Les officiers coloniaux n’accéderont pas à leur demande. Au contraire, ces derniers ordonnent qu’on les abatte par balle. Les tirailleurs sont victimes d’un massacre organisé. Les autorités françaises de l’époque avaient admis – sous couvert d’une soi-disant mutinerie – la mort d’au moins 35 tirailleurs. Plusieurs historiens avancent un nombre de victimes bien plus élevé, jusqu’à plusieurs centaines.
Un « pas important » vers la vérité
80 ans plus tard, le président de la République française, Emmanuel Macron, a reconnu que les forces coloniales françaises avaient bien commis un « massacre » en ce jour de décembre 1944. C’est le président sénégalais, Bassirou Diomaye Faye, qui a annoncé, jeudi 28 novembre, avoir reçu une lettre de son homologue, où « il reconnaît que c’était un massacre, de façon très claire, sans ambiguïté sur les termes ». Interrogé par l’Agence France-Presse à l’occasion d’une commémoration des événements de Thiaroye, Bassirou Diomaye Faye a salué un « pas important » vers la vérité.
GUY est trop petit pour exiger quoi que soit de la FRANCE
Pourqoui le senegal, etat independant, ne fait pas ses propres investigations......c'est en train de se faire...suffit de vérifier avant de baver............
ANASER : une agence prise en otage par son DG
1. Un directeur général en contradiction permanente
L’ANASER, censée être le rempart contre les drames routiers, se retrouve aujourd’hui prisonnière d’un directeur général plus préoccupé par ses règlements de compte internes que par sa mission de protection des vies humaines. Alors que chaque jour des Sénégalais meurent sur nos routes, le DG préfère maltraiter son personnel et multiplier les incohérences.
Dès son arrivée, il a menacé de renvoyer des agents sous CDI pour « raisons économiques », tout en recrutant de nouveaux fonctionnaires en parallèle. Une absurdité totale. Comment peut-on parler d’économies d’un côté et engager des dépenses de l’autre ?
2. Agents dispersés, missions inexistantes
La moitié du personnel est aujourd’hui affectée dans des régions dépourvues de sièges, sans moyens et sans missions claires. Ces femmes et ces hommes, qui étaient jusque-là le cœur de l’agence, sont réduits à l’inaction. Résultat : une ANASER paralysée, vidée de sa substance et de son efficacité.
Pendant ce temps, le DG s’improvise chroniqueur sur les plateaux télé, multipliant les déclarations creuses. Communiquer, il sait. Sauver des vies, beaucoup moins.
3. Illégalité et silence complice
Comme si cela ne suffisait pas, il recrute sans l’autorisation du conseil de surveillance, violant ainsi les règles élémentaires de gouvernance. Et que fait ce conseil ? Rien.
Le commissaire Boubacar Sanné, si bruyant dans d’autres affaires, garde aujourd’hui un silence assourdissant.
Me Masokhna Kane, qui aime se présenter comme défenseur du peuple, siège lui aussi au conseil. Informé des dérives, il ne bouge pas. Silence complice ou inertie volontaire ?
Le DG est allé plus loin : il a baissé illégalement les salaires des agents, piétinant le droit du travail.
4. Népotisme et gestion clanique
Cerise sur le gâteau, le DG a transformé l’ANASER en entreprise familiale. Il a recruté son cousin administrateur civil proche de la retraite et sa cousine, parachutée dans l’agence. Le népotisme est devenu la règle, la gestion clanique la méthode.
5. Une agence détournée de sa mission
Résultat : une agence minée par le favoritisme, la démotivation et le gaspillage des ressources. L’ANASER, au lieu d’être un outil de sécurité routière, est devenue la propriété privée d’un DG en dérive totale.
Pendant que les accidents de la route continuent de tuer chaque jour, l’ANASER est paralysée par l’incompétence, la mauvaise gouvernance et l’avidité de son chef. C’est plus qu’une erreur de gestion : c’est une trahison envers la mission sacrée de l’agence et envers le peuple sénégalais.
En 1944, le Sénégal n'était pas indépendant , ce qui peut poser problème. Tout comme l'abolition de l'esclavage, où les noirs ont été capturé et vendu par leur propre frères à des blancs. Toutes les îles françaises réclament justice. En réponse, Macron érige des stèles , et devoir de mémoire est enseigné dans toutes les écoles d'outre-mer. N'attendez rien de la France.
Comment un inculte comme lui peux demander quoi que ce soit
Yow ferme-la, goinfre! Kii mom, bilahi, je lui voue une sainte haine!
un âne doublé d'un porc
il est moins bavard face aux crimes du MFDC
Stop à la récupération politique de ce drame
Guy le bavard avec une grande bouche
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