Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Dans le département de Ranérou, dans la zone sylvo-pastorale du Ferlo, l’accès aux soins pour les adolescents reste un défi majeur malgré les efforts du Sénégal pour décentraliser les services de santé.
À l’occasion d’une visite à la mini-foire organisée par l’Association culturelle des personnes vivant avec un handicap, en marge de la 9e édition du festival « HANDIVOICE », la ministre de la Famille et des Solidarités, Maïmouna Dièye, a annoncé l’élaboration d’une loi d’orientation sociale visant à promouvoir les droits des personnes handicapées. « Le Sénégal, conformément à ses engagements internationaux et régionaux en matière de protection sociale, a élaboré une loi d’orientation sociale pour promouvoir les droits des personnes handicapées et garantir leur pleine participation à la société », a déclaré Mme Dièye. « Cette loi vise à garantir l’accès aux soins de santé, l’égalité des chances, l’action sociale et préventive, l’éducation, la formation, l’emploi, l’accessibilité, l’habitat, le cadre de vie, le transport et la communication pour les personnes handicapées, qui représentent 7 % de la population sénégalaise », a-t-elle expliqué, précisant que la loi est en cours de révision pour mieux répondre aux attentes des populations et intégrer des stratégies de mise en œuvre des mesures d’accompagnement. « La Délégation générale à la Protection sociale et à la Solidarité nationale, en collaboration avec le comité interministériel et les acteurs de la protection sociale, travaille à une démarche inclusive et participative », a-t-elle ajouté. Dans le cadre de l’Agenda national de transformation, « Sénégal 2050 », mis en place par le gouvernement, la ministre a souligné que la protection sociale s’articule autour du développement d’un capital humain de qualité. Cela se traduit par « l’engagement des autorités à mettre en place des mécanismes innovants pour renforcer la politique nationale de protection sociale ». « Le Fonds de Solidarité nationale (FSN), l’Agence nationale de couverture sanitaire universelle (SEN-CSU), la Délégation générale à la Protection sociale (DGPSN), la Direction de la Promotion des Droits et de la Protection des Enfants (DPDPE) et la Direction de la Famille et de la Protection des Groupes Vulnérables (DFPGV) sont des mécanismes du ministère qui intègrent régulièrement les personnes en situation de handicap », a-t-elle indiqué. Mme Dièye a également révélé que les femmes vivant avec un handicap bénéficient d’une intégration systématique dans le programme de financement des femmes, visant à soutenir leur autonomisation économique. « Elles bénéficient d’une discrimination positive lors des tournées socioéconomiques dans les différentes régions du Sénégal », a-t-elle précisé. La ministre a annoncé que des concertations nationales sur le renforcement de la protection et du bien-être des personnes en situation de handicap seront organisées avant la fin de l’année 2025. Ce dialogue permettra d’explorer en profondeur les opportunités de renforcement de l’intégration de ces personnes dans les programmes de formation, de financement et de protection sociale. L’ancienne maire de Patte d’Oie a félicité l’Association SAXAL GROUP pour cette initiative, qui, selon elle, offre une vitrine aux artistes talentueux tout en les révélant au grand public. « HANDIVOICE, c’est la voix des personnes en situation de handicap qui s’élève pour raconter leurs histoires, exprimer leurs talents et revendiquer leurs aspirations », a-t-elle déclaré. Le ministère a également annoncé l’établissement d’une collaboration avec l’Association SAXAL GROUP. « Nous comptons nouer un partenariat fructueux dans le cadre de nos activités en faveur de cette population », a-t-elle affirmé. Le ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Culture, le ministre de la Microfinance, de l’Économie sociale et solidaire, ainsi que plusieurs directeurs généraux ont pris part à la cérémonie. Les meilleurs élèves vivant avec un handicap ont également été récompensés.
Pour renforcer l’accès aux soins des populations vulnérables à Thiès, le directeur général de l’Agence sénégalaise de la couverture sanitaire universelle (SEN-CSU), El Hadji Séga Guèye, et le maire de la ville, Dr Babacar Diop, ont procédé à la signature d’une convention de partenariat, ce mercredi 2 juillet 2025.
Exploitation, violences basées sur le genre, manque d’accès aux soins et à l’éducation.
Au Sénégal, la gratuité des soins de santé primaires, ambition nationale portée par des programmes comme ceux de l’Agence de la Couverture Maladie Universelle (CMU), vise à améliorer l’accès aux soins pour les populations vulnérables.
Le projet ISMEA a profondément impacté le système de santé sénégalais en renforçant les ressources humaines, les infrastructures et l'accès aux soins. Mais pour que ces avancées portent durablement leurs fruits, une stratégie post-projet est essentielle. « Nous avons fait un travail remarquable, maintenant il faut que cela dure », a renseigné le docteur Oumar Sarr, coordonnateur dudit programme. « Le projet ISMEA a permis des avancées majeures dans le renforcement du système de santé, en particulier pour les mères, les enfants et les adolescents », selon lui. Après cinq années de mise en œuvre, ce projet, financé à hauteur de 130 millions de dollars par la Banque mondiale et le Global Facility Funds (GFF), affiche des résultats significatifs dans les régions de Kaffrine, Tambacounda, Kédougou, Sédhiou, Kolda et Ziguinchor.
La Direction Régionale de la Santé de Ziguinchor a abrité un atelier de plaidoyer de renforcement de l’accès aux soins de santé maternelle, néonatale, infantile et de la planification familiale
Les droits humains et le Vih sont étroitement liés. Mieux, le respect de ces droits est essentiel pour prévenir la propagation de la maladie, assurer l’accès aux soins et protéger les Personnes vivant avec le VIH (PVVIH) contre la discrimination et la stigmatisation.
Dans le cadre de la célébration de la Journée internationale des maladies rares, la prise en charge coûteuse, mais aussi un criant déficit d’accès aux soins ont été mis en avant.
Moustapha Sylla, Président du Mouvement sénégalais pour le développement (MSD) a été élu hier Président de la Mutuelle sociale des Organisations paysannes...
Sanofi renforce son engagement de longue date en faveur de l'accès au traitement du diabète dans les pays à revenu faible ou intermédiaire et...
Depuis une dizaine d’années, de nombreux travaux de recherche s’intéressent aux inégalités en matière d'accès aux soins entre les femmes et les hommes et à l’influence des représentations de genre sur la prise en charge et la détection de certaines pathologies.
Au Sénégal, la tuberculose reste caractérisée par une incidence de 118 nouveaux cas et rechutes pour 100 000 habitants. Sa mortalité est estimée à 17 décès pour 100 000 habitants...
Pour faciliter le travail aux postes et centres de santé de certaines communes, le Directeur Général de l'aéroport international Blaise Diagne a...
L’ex-président de la Guinée a été renversé hier dimanche
Dans un contexte où l'accès aux soins sanitaires est très difficile dans certaines zones du Sénégal, la providence a mené l'association...
Tous les hémodialysés ne sont pas tous sur un pied d'égalité
Le Secrétaire d'État Moise Sarr est conscient que l'éducation, la formation et la santé sont les axes de progrès sur lesquels le Président de la République Macky Sall compte s'appuyer pour promouvoir davantage l'employabilité des jeunes, l'accès aux soins de base, le sport, les arts, la culture ainsi que la citoyenneté comme facteurs d'inclusion sociale.
Le projet ISMEA a profondément impacté le système de santé sénégalais en renforçant les ressources humaines, les infrastructures et l'accès aux soins. Mais pour que ces avancées portent durablement leurs fruits, une stratégie post-projet est essentielle. « Nous avons fait un travail remarquable, maintenant il faut que cela dure », a renseigné le docteur Oumar Sarr, coordonnateur dudit programme. « Le projet ISMEA a permis des avancées majeures dans le renforcement du système de santé, en particulier pour les mères, les enfants et les adolescents », selon lui. Après cinq années de mise en œuvre, ce projet, financé à hauteur de 130 millions de dollars par la Banque mondiale et le Global Facility Funds (GFF), affiche des résultats significatifs dans les régions de Kaffrine, Tambacounda, Kédougou, Sédhiou, Kolda et Ziguinchor.
La Direction Régionale de la Santé de Ziguinchor a abrité un atelier de plaidoyer de renforcement de l’accès aux soins de santé maternelle, néonatale, infantile et de la planification familiale