[Flashback] Il y a 27 ans, Talla Sylla était arrêté par le régime socialiste
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[Flashback] Il y a 27 ans, Talla Sylla était arrêté par le régime socialiste
La brigade régionale des stupéfiants de Dakar de l’OCRTIS, le jeudi 9 octobre 2025, aux environs de 21 h, a arrêté deux chauffeurs pour association de malfaiteurs et détention de huit sachets et 19 képas de kush.
Un accident d’une rare violence s’est produit hier samedi 11 octobre, vers 19 h, sur la route Linguère - Matam, à hauteur du poste de contrôle, non loin de l’entrée de la ville de Linguère. Un minicar en provenance de Dakar pour Matam a violemment percuté une charrette avec à six personnes à son bord. Le bilan fait état d’un mort et de deux blessés dans un état grave.
Face à la récente dégradation de la note souveraine du Sénégal, Samba Sy, secrétaire général du Parti de l’Indépendance et du Travail (PIT), ancien ministre du Travail et coordonnateur du FDR, tire la sonnette d’alarme.
Dans le cadre de la lutte anti-drogue, le Commissariat Central de Kaolack sous le commandement du commissaire divisionnaire Souleymane Ba a frappé un grand coup hier samedi 11 octobre. Deux opérations coup de poing menées aux quartiers de Léona et Kanda ont permis la saisie de cinq cent quarante-cinq (545) grammes de chanvre indien et l'arrestation de quatre trafiquants présumés.
Les éléments de la Brigade de recherches du Commissariat d'arrondissement de Zac Mbao ont mis fin aux activités d'un trafiquant de drogue opérant dans la cité SAGEF.
Le tambour major du lutteur Ada Fass est dans de beaux draps à la suite de son arrestation par les policiers du Commissariat d'arrondissement de la Médina.
L’affaire Mountakha Voyage secoue la ville sainte de Touba. Les nommés Serigne Moustapha Mbacké, Serigne Fallou Faye et Mouhamed Marena ont été arrêtés pour trafic de migrants et escroquerie portant sur la somme estimée à 80 millions F CFA.
Un marchand ambulant de 58 ans a été arrêté par la police de la Zac Mbao, dans la nuit du 7 octobre 2025, à Keur Mbaye Fall, pour des faits présumés d'attouchements sexuels sur une élève âgée de 12 ans. L. Wagne a été pris en flagrant délit dans sa chambre avec la fille, selon des sources de Seneweb.
La brigade territoriale de la Zone franche industrielle a arrêté l'agresseur notoire, du nom de M. Ngom, qui semait la terreur à hauteur de la forêt de Mbao et sur la plage de Sipres. Ce soi-disant mécanicien de 28 ans a été déféré ce vendredi au tribunal de grande instance de Pikine-Guédiawaye pour vols multiples avec violence et blessures volontaires.
Mandat d’arrêt international : les trois freins juridiques qui peuvent bloquer l'extradition de Madiambal Diagne
Les gendarmes de la brigade de recherches (BR) de Faidherbe ont mis la main sur un comptable qui avait fabriqué une fausse attestation de travail pour tromper une banque. L'affaire révèle un système de fraude bien plus vaste.
Ce jeudi 9 octobre 2025, vers 5 h, les éléments de la brigade de recherches du commissariat d'arrondissement de Golf-Sud...
Mandat d’arrêt international contre Madiambal Diagne : L'Union internationale de la presse francophone dénonce un "nouvel acte de persécution"
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
Fadilou Keïta est formel : «On arrêtera Macky Sall»
Le célèbre footballeur portugais, Cristiano Ronaldo, a reçu, hier mardi, le prix Globo Prestigio, lors d’un gala étoilé organisé par la Fédération portugaise de football (FPF).
Des éléments du commissariat central de Kaolack, sous le commandement du commissaire divisionnaire Souleymane Ba, ont arrêté un présumé voleur de motocyclettes qui opérait dans la ville.
Dans la nuit du 3 au 4 octobre 2025, aux environs de 21 heures, les éléments de la Brigade de recherche du commissariat urbain de Saly (Mbour) ont mis la main sur deux individus impliqués dans un réseau de trafic de faux billets de banque opérant entre Dakar et Saly.
La frustration d'une élimination aux Navétanes a coûté cher à cinq supporters qui ont déferlé leur colère sur les biens d'un paisible citoyen. Ils ont été arrêtés et déférés devant la justice.