Selon Le Témoin, un avocat sénégalais est accusé d’avoir détourné 130 millions de francs CFA appartenant aux héritiers de feu El Hadji...
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Selon Le Témoin, un avocat sénégalais est accusé d’avoir détourné 130 millions de francs CFA appartenant aux héritiers de feu El Hadji...
Face à la presse ce mardi 28 janvier 2025, Moustapha Diakhaté, ancien président du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar (BBY)...
Le différend entre Senelec et Akilee prend les allures d’un pugilat entre Samson et Goliath.
Les journalistes cognent sur l’avocat Me Baboucar Cissé. La réplique suite aux allégations de ce dernier est sans appel.
Face à la presse ce mardi 28 janvier 2025, Moustapha Diakhaté, ancien président du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar (BBY)...
« Mieux vaut souffrir à l’étranger, que de rester pauvre chez soi ». Ce proverbe Sénégalais, plein de sens, a conditionné bien des vies et a changé mille et une trajectoires d’hommes et de femmes. Voilà maintenant plus de cinq décennies que l’émigration « nourrit », « construit » et « améliore » des vies dans les pays d’origine, principalement le Sénégal pour notre cas. D’une migration de travail, nous sommes passés à une migration de sédentarisation avec le regroupement familial et les unions entre « sénégalais » et « français issus de l’immigration ».
Sun Tsu n’aurait pas fait mieux dans son Art de la guerre. En matière de déstabilisation psychologique, les Sénégalais marchent, depuis quelques années déjà, sur une arme de destruction massive. Avec l’émergence des Smartphones, les enregistrements vidéo et sonores sont devenus une vraie stratégie de guerre pour faire tomber la personne honnie. Revue de scandales !
Mieux vaut prévenir que guérir. C’est sans doute ce qu’a compris le père de Moussa Konaté qui met en garde les gens qui se feraient passer pour les agents de l’attaquant international sénégalais. « J’ai été alerté depuis de nombreuses semaines à propos d’agents et d’avocats qui contactent des clubs en se faisant passer pour des agents de Moussa Konaté », avertit Abdou Konaté, dont le fils évolue actuellement dans la formation russe du FK Krasnodar.
Si l’histoire du Sénégal comporte des noms de valeureux combattants que nous avons l’habitude de citer avec fierté, de nos jours de tels combattants sont devenus une espèce en voie de disparition, une rare espèce parmi laquelle figure sans conteste un certain Souleymane Jules Diop (SJD) dont le courage,
De l’Afrique, de ses Dirigeants et de leur difficile rapport avec la loi, le règlement et les institutions : Tous des « violeurs » de la Constitution ? La Constitution est-elle un mot vraiment « vide de sens en Afrique » ? La réponse est sans aucun doute oui ! Oui, au regard de la manière de gérer les affaires publiques et de gouvernement politique de ses dirigeants.
Le directeur de cabinet du président de la République, Pape Samba Mboup, a attrait à la barre le journal Express News pour deux articles qu’il juge diffamatoires à son endroit. Il réclame 500 millions de francs Cfa pour réparer le préjudice subi. Abdourahmane Diallo, directeur de publication du journal Express News, n’a pas fait, hier, le déplacement au tribunal correctionnel de Dakar pour répondre du chef d’accusation de diffamation à l’endroit du chef de cabinet du président de la République, Pape Samba Mboup. Me Pape Sène, avocat de Pape Samba Mboup, a dénoncé une campagne de diffamation menée par le groupe Express News contre son client.
Abdoulaye Wade a déjà prouvé son incroyable imposture dans tous les domaines où par complexe il continue à se vanter d’être le meilleur, et d’avoir enfanté un génie, alors que tous deux ont échoué là où l’échec était quasiment impossible, Wade parce que les sénégalais lui avaient tout donné en 2000, 2001 et 2002, et Karim parce que son père a mis à sa disposition 10 tablettes d’œufs qu’il puisse réussir ne fusse qu’une omelette. Wade a tôt fait de savoir, dès les débuts de son premier mandat, qu’il ne peut que finir sur une "potence", alors il est obligé de truquer les élections de 2007, et d’essayer de se faire remplacer par son fils 2012 ou rester jusqu'à sortir les pieds devant.
La hache de guerre n'est toujours pas enterrée par les exploitants forestiers du Sénégal qui, hier, ont porté des accusations graves à l'endroit de leur président Abdoulaye Sow… Par la voix de leur vice-président, les forestiers qui ont mobilisé un pool d'avocats, accusent le sieur Abdoulaye Sow d'avoir mis la main sur près de trois cents millions. Ce dernier, interpellé, nie et brandit les résultats d'une inspection déclenchée par le ministère de l'Intérieur. C'est le temps des déballages entre forestiers du Sénégal, regroupés dans l’Union nationale des coopératives des exploitants forestiers du Sénégal (U.N.C.E.F.S).
ASI24 – (Dakar) Le président de la République semble avoir ouvert un front dans la famille judiciaire, mercredi, lors de la rentrée des Cours et Tribunaux, a constaté ASI24. La réplique sèche du président Abdoulaye Wade au bâtonnier de l’ordre des avocats, Me Mame Adama Guèye, sur la corruption dans l’institution judicaire, a entraîné jeudi un lever de bouclier de plusieurs avocats. Se prononçant sur les stations FM, des avocats ont soutenu leur collègue et corroboré ses dires en citant des cas sans citer de nom.
Le bâtonnier de l’Ordre des avocats, Me Mame Adama Guèye, a fait, hier, un sévère réquisitoire mettant à nu les maux qui gangrènent le fonctionnement du service public de la justice. C’était à l’occasion de la rentrée solennelle des cours et tribunaux et sa sortie a eu le don de sortir de ses gonds le président de la République. Le bâtonnier de l’Ordre des avocats, Me Mame Adama Guèye, n’y est pas allé du dos de la cuillère lors de sa plaidoirie, d’hier, devant la grande famille judiciaire, à l’occasion de la rentrée solennelle des cours et tribunaux pour fustiger les maux qui gangrènent le service public de la justice.
C’est une règle qu’il s’impose avec la plus grande rigueur. A chaque fois qu’il se libère d’un ennemi, Abdoulaye Wade en crée un autre. Dès qu’il sort d’un combat que l’on croyait sans fin, il se charge de rameuter des hordes encore plus cruelles. Le chef de l’Etat s’y applique avec une telle obstination qu’on le croirait victime d’un ensorcellement. Je trouve déplacé de dire ici l’insigne honneur qu’il me fait d’entretenir les éditeurs de presse d’un sujet me concernant. Je l’occupais déjà de nuit. Ses proches m’ont confié qu’il ne rencontrait plus jamais Morphée sans se lamenter de vive voix du mal que je lui fais. Viviane y était tellement habituée qu’à chaque fois qu’elle demandait à son mari quel démon avait encore dérangé son sommeil, il répondait inlassablement : « C’est encore le diable qui est au Canada. »
Attention aux con­sultants en immigration peu scrupuleux. L’année dernière, rien qu’au Canada, plus de 6 000 d’entre eux auraient conseillé illégalement des candidats à l’immigration. En comparaison, seulement 1 480 sont accrédités par la Société canadienne de consultants en immigration (SCCI) et peuvent légalement exercer le métier. «Selon la loi, seuls les membres de la SCCI, les avocats du Barreau ou les membres de la Chambre des notaires du Québec sont autorisés à représenter les immigrants auprès du gouvernement et à leur facturer des honoraires», indique Pa­trice Brunet, membre du comité d’administration de la SCCI.
Il est connu pour son courage et son franc-parler. Ses positions tranchées et son engagement à la cause des populations lui ont valu son limogeage de son poste de Conseiller du président de la République. Mahmout Saleh, toujours égal à lui-même, parle de l’atmosphère qui règne au Palais de la République, ses rapports avec Macky Sall. Il donne son avis sur l’affaire des dépassements budgétaires et livre ses vérités sur la succession de Me Wade. Entretien.
Attrait devant la barre du Tribunal des flagrants délits, Barthélémy Dias, 30 ans, administrateur de société, poursuivi pour outrage à magistrat dans l’exercice de ses fonctions et pour diffusion de fausses nouvelles, nie catégoriquement les faits qui lui sont reprochés. « Je n’ai fait que dénoncer la situation économique et sociale du pays, lors de la conférence de presse que j’avais organisée. Je n’ai jamais insulté le président de la République et le Procureur, Lamine Coulibaly », soutient-il avant de revenir brièvement sur les thèmes développés, à la conférence de presse, du lundi 7 août dernier. Interrogé sur les propos qu’il a tenus et concernant le chef de l’Etat, le mis en cause affirme avoir seulement « parlé de pédophilie.
Un an de prison dont trois mois ferme. Les juges n'ont pas lésiné sur les moyens, hier, pour sanctionner Jean Paul Dias. Leur fermeté s'explique également par le fait qu'un membre de leur corporation, en l'occurrence, le magistrat Lamine Coulibaly, a été taxé de « véreux » et de « corrompu » par le leader du Bcg. Afin de circonvenir la lourdeur de la sanction pénale, l'ancien ministre de l'Intégration africaine, avait reconnu sa faute en tentant de présenter des excuses tardives et angoissées au chef de l'Etat ; lesquelles ne trompent guère car il veut se mettre à l'abri d'un embastillement désiré. Conscient de la faiblesse politique de son parti, l'ancien militant libéral a voulu se faire passer pour un opposant martyrisé aux yeux de l'opinion, et de redorer son blason terni par des propos excessifs d'un candidat en quête de suffrages dans un paysage politique fortement concurrentiel.