[Grain de sel] Diodio Glow Skin : Plus de candidats que la fonction publique? (Par Betu Wurus)
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[Grain de sel] Diodio Glow Skin : Plus de candidats que la fonction publique? (Par Betu Wurus)
Le dernier feu de paille des titrologues (Par le Pr. Mouhamed Abdallah LY)
Ancien ministre de la Justice, Me El Hadji Amadou Sall a tenu à dénoncer ce qu’il qualifie de « chasse aux sorcières » et de « bavardage inutile » qui, selon lui, plongent le Sénégal dans une « impasse économique ».
De l’impérieuse nécessité de poursuivre la révolution patriotique africaine développée au Sénégal avec son continuum de ruptures et sa cohorte de tumultes inhérents à toute révolution à l’instar de l’historique révolution française de 1789 ou du contemporain printemps arabe.
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs"
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
Retard de langage chez les enfants : « À 4 ans, mon fils est absorbé par les écrans et ne formule toujours pas de phrase »
Les beaux témoignages de Serigne Moustapha Sy sur Serigne Cheikh Ahmed Tidjane Sy, fils aîné de Serigne Mansour Sy « Borom Daara-Ji » (RTA), en disent long sur la fierté que constitue ce petit-fils de Cheikh Seydi Hadj Malick Sy (RTA), pour le sanctuaire islamique de Tivaouane.
Sacré Cœur : un jeune drogué se retrouve à l’hôpital, son téléphone se montre très bavard
Dans un ton à la fois incisif et provocateur, Me Oumar Youm, ancien ministre et président du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar, a vivement critiqué l’allocution du Premier ministre Ousmane Sonko sur le plan de redressement économique du Sénégal.
Une affaire d'inceste secoue l'Unité 18 des Parcelles-Assainies où un père de famille est accusé de viol par sa fille biologique. À la suite de la plainte de la victime âgée de 20 ans, l'agent de sécurité O. Sow a été déféré par la police ce lundi au tribunal de grande instance hors classe de Dakar.
Visage dur, ton sentencieux et amer, hoquets virils et surenchère à l'autorité. C'est ainsi qu'est apparu le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, devant les membres de son parti dans une adresse pour le moins surréaliste.
Fin de cavale pour Pathé Baldé, frère du lutteur Ama Baldé.
Une chute amortie du système
L’Alliance pour la République (APR) interpelle le Premier ministre Ousmane Sonko, pour le respect de l’État de droit.
Après le Liban, la Palestine et la Syrie, Israël ouvre un nouveau front au Moyen Orient en s’attaquant à l’Iran
Bocar Diongue Apr tire sur Sonko: "il est bavard et..."
Amis de longue date, le joueur de golf aux multiples conquêtes Tiger Woods et l’ancienne belle-fille du 47e président américain, Vanessa Trump, se fréquenteraient en secret depuis Thanksgiving.
Après le point de presse du gouvernement, ce jeudi 13 février 2015, les militants de l'APR ont, eux aussi, tenu une déclaration sur le rapport de la cour des comptes.
L’activiste Gabrielle Kane a un message pour ceux qui considèrent que le Président Diomaye Faye est «le larbin» du Premier ministre, Ousmane Sonko.