Acteurs incontournables dans la production musicale, les paroliers ou ghostwriters donnent de la matière aux ténors de la musique comme Youssou Ndour, Baba Maal…
il y a 1 an
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Acteurs incontournables dans la production musicale, les paroliers ou ghostwriters donnent de la matière aux ténors de la musique comme Youssou Ndour, Baba Maal…
Make music !
‘’Hein-hein’’, ‘’Vrouthie vrathie’’, ‘’Rigou-rigou’’, ‘’Voudoung vadounng’’, ‘’Kone yess’’. En voilà quelques expressions qui font fureur et qui sont de chanteurs sénégalais. Ils font le buzz actuellement, sont adulés par la jeune génération. Ces refrains passent en boucle sur toute la bande Fm. Et leurs auteurs donnent des spectacles à guichets fermés, malgré le reproche qui leur est fait de tirer la musique vers le bas, de par la pauvreté de leurs textes.
C’est un hommage que le monde de la culture va rendre aux artistes Cheikh Sidaty Fall alias Pacotille et Omar Bassoum ce dimanche à 19 h au Grand Théâtre de Dakar. Le thème retenu, «Omar Bassoum et Pacotille, deux générations, un seul destin».
Birame Ndéck Ndiaye Est L'invité Du 20h Au Micro De Mamadou Ibra Kane Sur La Journée En Hommage Aux Artistes Disparus Omar Bassoum Et Pacotille
Au titre des mesures individuelles, le Président de la République a pris les décisions suivantes :
A l’entame de sa communication, Monsieur le Président de la République, à l’occasion de l’Aïd El Fitr, « Korité », a réitéré ses félicitations ainsi que ses meilleurs vœux de paix et de bonheur à l’ensemble de la Oumah islamique, particulièrement la communauté musulmane du Sénégal. Il a également formulé des prières pour la concorde nationale, la communion et la prospérité du Sénégal, dans un monde stable, plus uni, et plus solidaire.
Le parolier et directeur du Centre régional des œuvres universitaires de Saint-Louis (CROUS), Birame Ndeck Ndiaye a présenté mardi soir, à Kaolack (centre), son nouveau livre intitulé "Les industries culturelles au Sénégal : l'exemple de la musique".
Le parolier et directeur du Centre régional des œuvres universitaires de Saint-Louis (CROUS), Birame Ndeck Ndiaye a présenté mardi soir, à Kaolack (centre), son nouveau livre intitulé "Les industries culturelles au Sénégal : l'exemple de la musique".Cet ouvrage de 214 pages a été présenté lors d'une cérémonie de dédicace à l'Alliance française de la capitale du Saloum
Birame Ndiaye, le secrétaire général du Syndicat des Établissements scolaires et universitaires du Sénégal n'a pas été tendre avec les autorités du Centre régional des Œuvres universitaires de Saint-Louis (Crous), selon nos confrères de L'As.
La situation s'est compliquée au Centre des Œuvres universitaires de Saint-Louis (Crous), suite à la tenue de l'assemblé générale de ses agents ce matin. Selon nos sources, ils ont décrié la gestion de Birame Ndeck Ndiaye avant de décréter quarante-huit (48) heures de grève renouvelables. Pour rappel, le Dr Bassirou Dièye, secrétaire général régional du Syndicat national des Travailleurs de la Santé (Syntras), s'exprimait il y a trois (3) jours en ces termes : « Nous ne travaillons pas.
Avec le décès de Nelson Mandela, la déclaration de l'artiste Youssou Ndour à propos de la chanson qu'il lui a dédiée, a suscité des réactions. L'avocat Bara Diokhané, défendant les intérêts de Mouhamadou Guèye, dit Kabou, nous a fait parvenir un communiqué pour dénier au leader du Super Etoile la paternité de la chanson Nelson Mandela.
A peine l’année scolaire et universitaire entamée que les récriminations et autres cris d’orfraie commencent à envahir l’espace scolaire. Les élèves des établissements scolaires menacent et parfois même désertent les salles de cours. Aujourd’hui, c’est au tour des étudiants de bander des muscles. C’est le cas à Ziguinchor et Saint Louis.A Ziguinchor, les étudiants râlent contre un des restaurateurs. Ce dernier répondant au nom d’Alpha Samb qu’ils qualifient d’un «incapable qu’on veut (leur) imposer dans la gestion des restaurants.
Les artistes sénégalais souffrent beaucoup du manque de prise en charge. Cette lancinante question est souvent brandie par les acteurs eux-mêmes. On se souvient des cas de Ndiaga Mbaye, Ndongo Lo et Yandé Codou pour ne citer que ceux là. Actuellement, c’est le comédien Thierno Ndiaye Doss qui est au devant de la scène pour les mêmes motifs.
Le conflit opposant WalFadjri au Bureau sénégalais du droit d’auteur (Bsda) a atteint son paroxysme hier avec la fermeture des radios et télévision du groupe de presse. Le patron de Walf estime que c'est une affaire politique. Le Bsda réfute toute idée de manipulation. Le Bureau sénégalais du droit d’auteur (Bsda) a mis à exécution hier sa menace de faire arrêter les programmes des trois radios et de la chaîne de télévision du groupe WalFadjri, ‘pour exploitation illégale d’œuvres protégées’. Le Bsda estime ainsi que l’ultimatum de huit jours, émis le 20 août dernier lors d'un point de presse au Just4U, est arrivé à échéance.
Le réalisateur de la Radio Télévision du Sénégal, Boubacar Bâ nous a précisé au cours de l’entretien que avons eu avec Adja Sy que " c’est par modestie qu’elle dit que Djagamar fait partie des émissions les plus regardées. C’est la plus regardée selon un sondage"... Adja, la chanteuse est devenue une animatrice de talent. Elle nous parle d’elle... Vous êtes connue dans le milieu de la musique comme chanteuse, pourquoi cette reconversion en animatrice télé ? Bon ! je crois que c’est le même milieu. C’est juste la caméra qui s’est rajoutée au micro. Et je pense que c’est le même combat, parce que ce sont les mêmes thèmes que je traitais dans mes chansons que j’ai ramenées à la télé.
Depuis son lancement en 1997 par la FAO (Organisation des Nations-unies pour l'alimentation et l'agriculture), les financements Téléfood, qui est une campagne d'activités visant à recueillir des fonds d'aide à la lutte contre la faim, ont permis selon ses responsables, la réalisation de 42 projets au Sénégal. Des projets de tailles modestes certes, mais visant tous selon la philosophie de l'initiative, à aider les familles pauvres et leurs communautés à tendre vers la sécurité alimentaire. Qu'il s'agisse dirrigation par semi-conduites dans le Dieri du Fleuve Sénégal, ou de périmètres maraîchers à Diagana Barka, les projets Téléfood sont censés permettre l'augmentation de la quantité et la variété des denrées alimentaires pour les familles pauvres et leurs communautés.
