Le Premier ministre indien Narendra Modi a nié mardi que le président américain Donald Trump ait négocié la paix avec le Pakistan lors du récent conflit, affirmant qu'aucun dirigeant étranger n'a demandé à New Delhi de mettre fin aux hostilités.
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Le Premier ministre indien Narendra Modi a nié mardi que le président américain Donald Trump ait négocié la paix avec le Pakistan lors du récent conflit, affirmant qu'aucun dirigeant étranger n'a demandé à New Delhi de mettre fin aux hostilités.
L'Inde et le Pakistan recensent mardi plus de 70 morts, dont une quinzaine de soldats, dans leur pire confrontation militaire depuis des décennies, au troisième jour d'un cessez-le-feu qui tient malgré les promesses des deux camps de "répondre" à toute nouvelle agression.
Les armes se sont tues dimanche à la frontière entre l'Inde et le Pakistan au lendemain du cessez-le-feu qui a mis fin à leur confrontation militaire la plus meurtrière depuis des décennies, malgré quelques incidents nocturnes signalés par les deux pays.
Après plusieurs jours d'attaques meurtrières de drones, de tirs d'artillerie et de frappes de missiles, le Pakistan et l'Inde ont accepté samedi un "cessez-le-feu immédiat"...
L'Inde et le Pakistan se sont violemment bombardés mercredi, faisant au moins 26 morts côté pakistanais et 12 côté indien, la confrontation militaire la plus grave entre les deux pays depuis deux décennies.
Trois civils indiens ont été tués lors des échanges d'artillerie qui continuent d'opposer mercredi l'Inde et le Pakistan à leur frontière commune dans la région contestée du Cachemire, a rapporté l'armée indienne.
Selon le ministre de la Défense pakistanais, trois civils ont été tués dans les frappes, dont un enfant.
Le Pakistan a effectué des tirs d'artillerie sur le territoire de l'Inde, a affirmé mercredi l'armée indienne, peu de temps après une série de tirs de missiles indiens visant des "infrastructures terroristes" sur son sol en représailles à l'attentat commis le 22 avril au Cachemire indien.
L'Inde a effectué des frappes de missiles contre neuf sites abritant "des infrastructures terroristes" situés sur le territoire pakistanais en représailles à l'attentat meurtrier commis le 22 avril au Cachemire indien, a annoncé New Delhi mercredi.
Le Cachemire pakistanais a fermé jeudi ses écoles coraniques, renvoyant des milliers d'enfants chez eux après que l'Inde et le Pakistan ont de nouveau échangé des tirs dans la région disputée en dépit d'un appel américain à la désescalade.
Le gouvernement pakistanais a assuré mercredi disposer de "renseignements crédibles" selon lesquels l'Inde prévoierait une frappe militaire imminente suite au récent attentat au Cachemire.
L'Inde a ordonné jeudi à tous les citoyens du Pakistan, à l'exception des diplomates, de quitter son territoire d'ici au 29 avril, en représailles à l'attentat qu'elle impute à son voisin et qui a causé la mort de 26 civils dans sa partie du Cachemire.
La frontière d'Attari-Wagah entre les deux pays «sera fermée avec effet immédiat», a affirmé le plus haut responsable du ministère indien des Affaires étrangères, en ajoutant que les personnes disposant de documents de voyage valides peuvent rentrer avant le 1er mai.
Les armées indienne et pakistanaise ont échangé des tirs mercredi à travers la frontière très militarisée qui divise le territoire du Cachemire disputé entre les deux pays, Islamabad faisant état jeudi d'au moins quatre blessés.
L'information vient de parvenir à Seneweb par le biais du Comité national de Miss Sénégal
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le Secrétaire général de l'OCI, Hissein Brahim Taha s’est entretenu avec le Premier ministre de la République islamique du Pakistan, M. Imran Khan...