Sa vie est-elle désormais en sursis ?
il y a 1 an
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Sa vie est-elle désormais en sursis ?
Ce samedi 25 mai, la finale de la Coupe de France opposera le PSG à l'OL. En raison des Jeux olympiques et des préparatifs du Stade de France pour la compétition cet été, cette rencontre aura lieu hors de la capitale, au stade Pierre-Mauroy de Villeneuve d'Ascq, près de Lille. De quoi faire craindre des débordements.
Ensuite ce sera le conseil présidentiel, le conseil des ministres et enfin la journée nationalede l'élevage.
Chaque jour, des milliards de contenus sont postés et partagés sur les réseaux sociaux. Certaines publications sont à caractère raciste et les sportifs professionnels ne sont pas épargnés.
La cour d’appel de Paris a confirmé le non-lieu dans l’instruction sur l’attentat du 6 avril 1994 contre l’avion du président Juvénal Habyarimana
Même si aucune date n'a pour le moment été officialisée, les championnats espagnol, anglais et italien devraient très probablement reprendre dans le courant du mois de juin.
Sa vie est-elle désormais en sursis ?
En France, on attendait les réponses de l'exécutif face aux « dysfonctionnements » des services de sécurité constatés samedi dernier sur les Champs-Elysées lors du XVIIIe
Le foot transalpin a renoué avec ses vieux démons avec les insultes racistes proférées par des supporters de Cagliari à l'encontre de Blaise Matuidi. Cagliari - Juventus, samedi, à la Sardegna Arena. On joue la 40e minute lorsque Blaise Matuidi, furieux, se tourne vers l'une des tribunes, avant de prendre l'arbitre à témoin. Le milieu français de la Vieille Dame vient de se faire insulter par une frange du public local. "J'ai été victime de propos racistes pendant le match.
Le 13 août, journée de la femme en Tunisie, le chef de l'État, Béji Caïd Essebsi, a annoncé la création d'une commission chargée d'élaborer un nouveau code des libertés individuelles et de l'égalité, ainsi que l'abrogation de la circulaire 73.
L'année 2016 touche à sa fin. C'est l’occasion pour nous de revenir sur les reportages photos réalisés pour notre magazine tout au long de l'année et vous présenter une sélection des meilleurs clichés.
Jusque-là, le chef de l’État a fait faire des cérémonies de prise d’armes à la place de l’indépendance lors des dernières célébrations de l’indépendance de notre pays. Cette année, les autorités militaires ont déjà reçu des instructions (et des moyens) pour l’organisation d’un gigantesque défilé militaro-civil.
Présenté comme un des ultras du camp de Laurent Gbagbo, Charles Blé Goudé se défend. L’homme présenté comme un faucon, en bonne place sur la liste noire de l’Onu, accusé d’exécutions extrajudiciaires, de pendaisons et d’assassinats, ne manque pas mots pour parler de son plumage de colombe. Chantre de «la résistance à mains nues», l’ancien dirigeant de mouvement estudiantin et actuel leader du Congrès panafricain des jeunes et des patriotes (Cojep) n’a pas peur d’être «traité de faible» par les extrémistes de son camp quand il lance «des messages constructifs pour la communauté» notamment en 2006 pour éviter que la Côte d’Ivoire ne bascule dans la guerre civile : «je préférais être faible parmi les vivants qu’être fort au milieu de cadavres. La politique, on la fait pour les vivants et non pour les morts». Réalisme politique pour ce jeune qui commence à blanchir sous le harnois au contact d’une situation politique complexe que traverse son pays depuis une dizaine d’années. La rhétorique toujours cinglante contre le néocolonialiste français, l’actuel ministre de la Jeunesse, de la Formation professionnelle et de l’Emploi dans le gouvernement du Premier ministre Gilbert Marie N'gbo Aké, nommé par Laurent Gbagbo à la suite de l’élection présidentielle de novembre 2010 voit la main des «maîtres d’hier» derrière toutes les déstabilisations contre son patron en politique. Entretien.
Depuis plusieurs mois, des rumeurs relayées par une partie de la presse nationale font état d’un départ imminent de Souleymane Ndéné Ndiaye de la Primature. Ces spéculations, ajoutées aux salves des «snipers concrétistes» et aux missiles de Farba Senghor contre le Premier ministre, démontrent, si besoin en était, que ce dernier est dans le collimateur de gens qui œuvrent pour sa défenestration. Reste à savoir pourquoi le chef du gouvernement dérange tant de monde. Alors que les supputations sur un probable remaniement de la rentrée vont bon train, les fronts se multiplient contre le Premier ministre.
C'est sur le chemin du retour du face-à-face d'hier entre Baye Mandione et Modou Lô tenu au stade Amadou Barry de Guédiawaye qu'une partie des supporters du camp du lutteur des Parcelles s'est dirigée vers la maison familiale de Balla Gaye 2, sis au quartier Golf Sud. Mais la riposte n'a pas tardé puisque les assaillants ont pris la poudre d'escampette. La maison de Balla Gaye 2 sise à Golf Sud a échappé de peu au saccage. Les auteurs ne sont pas les supporters de Balla Bèye 2, son adversaire du 1er août prochain. Les ultras sont plutôt à dénicher chez le camp de...
Plus d’un mois après les retrouvailles célébrées en grande pompe à Thiès entre Abdoulaye Wade et Idrissa Seck, les partisans de ce dernier crient leur déception. Et pour cause, ils n’ont pas vu le moindre acte concrétisant le «come-back» de Idy et de ses proches dans les instances du Pds et de l’Etat. Du coup, ils ont décidé de mettre la pression sur Wade, pour l’obliger à revoir sa copie. Ce sont les jeunes de la commune Nord de Thiès qui ont ouvert le bal des protestations, lors d’une Assemblée générale tenue le week-end dernier. Ils demandent, ni plus ni moins, la matérialisation des retrouvailles entre leur mentor, Idrissa Seck, et le président de la République.
La capitale de l’Hexagone pourrait bien servir de «ring» entre le Président Abdoulaye Wade et Macky Sall. Et pour cause, le numéro un Sénégalais est attendu à l’Elysée le 09 septembre prochain alors que le président de l’Assemblée nationale devrait être reçu le lendemain par le Sénat français. Un agenda diplomatique «chargé» et potentiellement source de télescopage entre les deux camps qui fourbissent déjà leurs armes : histoire de mieux tirer profit de l’onction internationale du pays de Sarkozy.
* Wade à sa sortie de l’audience : 'Waay, sama yaram mo tangone !' Pour son retour au Pds, Idrissa Seck, de sources sûres, n'a posé aucune condition. En est-il de même pour le président Abdoulaye Wade ? Il est difficile de croire que le chef de l'Etat a sacrifié les fonds politiques - dont l'ancien Premier ministre était accusé de les avoir détournés - sur l'autel de ses retrouvailles avec le maire de Thiès. La rencontre, hier, entre le président Abdoulaye Wade et une délégation du Rewmi n'était qu'une formalité.
Certains libéraux authentiques ne sont pas d'accord sur la démarche adoptée par le président Abdoulaye Wade dans le cadre de la refondation du Pds. Selon eux, il faut promouvoir, d'abord, les libéraux qui étaient là pendant la période des vaches maigres avant de servir les transhumants, les fusionnistes ou autres alliés de Me Wade. Dans cette bataille, Lamine Bâ s'est offert en chair à canon. A peine le débat engagé autour de la refondation du Pds que des voix discordantes s'élèvent au sein de la formation du président Abdoulaye Wade. A la contribution de Me Mbaye Jacques Diop, parue la semaine dernière dans nos colonnes, succède une autre écrite par Lamine Bâ ...
Rien ne va plus entre la ‘Génération du concret’ et la présidente du Mouvement des femmes libérales. La pomme de discorde entre la bande à Karim Wade et Awa Diop serait née de la sortie au vitriol de cette dernière contre le mouvement dirigé par le fils du président de la République. Depuis, la ‘bête noire de Me Abdoulaye Wade’ (il se raconte qu'elle est la seule à se permettre de tancer le secrétaire général national du Pds en pleine réunion du Comité directeur du Pds), n'est plus sentie en odeur de sainteté auprès de Karim Wade. De source digne de foi, Karim Wade a été très affecté par les déclarations d'Awa Diop, envers qui il nourrit un profond respect, contre la ‘Génération du concret’.
