Poursuivi pour faux et usage de faux, blanchiment et escroquerie, H. Ba risque 3 ans de prison ferme si...
il y a 1 an
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Poursuivi pour faux et usage de faux, blanchiment et escroquerie, H. Ba risque 3 ans de prison ferme si...
Hier, la presse a relaté qu’Awa Baba Thiam avait été déférée au parquet après son face-à-face avec les enquêteurs
Mauvaise nouvelles pour les sociétés saccagées ou incendiées lors de dernières manifestations survenues
Le montant du forfait pourrait être plus important.
Serigne Sohibou Diène, le présumé terroriste âgé de 31 ans arrêté par la police de...
Mauvaise nouvelles pour les sociétés saccagées ou incendiées lors de dernières manifestations survenues
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La société Cnart Assurances a été expulsée de ses locaux qu'elle occupait à...
La presse sénégalaise parvenue mercredi à APA illustre sa Une par des sujets relatifs à l’économie, à la politique et aux faits de société.
L’administrateur directeur général de la compagnie la Sénégalaise de l’assurance vie, Mamadou Faye, a invité, mardi à Dakar, les entreprises nationales à se conformer à la réglementation sur l’indemnité de fin de carrière (IFC).
Des acteurs sénégalais, réunis vendredi au siège de l’Association des écrivains du Sénégal (AES), ont invité le président de la République à appliquer la réciprocité dans la politique française des visas, après le refus du Consulat de France à Dakar d’accorder un visa au professeur Oumar Sankharé attendu à Paris pour une réunion du jury du Prix des Cinq Continents.
Dans un document rendu public, le Commissaire Général au Pèlerinage aux Lieux Saints de l’Islam a fait un programme détaillé s’il est respecté les couacs des années passées devront être de mauvais souvenirs.
Me Madické Niang a tenu à préciser qu’il n’est plus actionnaire de la Compagnie d’assurance Cnart. Il a cédé ses actions à l’entreprise, ainsi que dans plusieurs affaires privées dès qu’il a été nommé ministre dans le Gouvernement, alors que rien ne l’y obligeait. Il répond ainsi au journal le Populaire qui avait à la une de son édition du 02 Septembre soutenu que ce dernier était au cœur du gré à gré de la Cnart dans l’attribution du marché de l’assurance des pèlerins.
La nébuleuse qui entoure l'affaire de la police d'assurances de 14000 F Cfa imposée aux pèlerins commence à livrer ses secrets. Ce marché de gré à gré d’un montant de 140 millions de francs concernant les assurances est un business dans lequel apparait doublement l’ombre de Me Madické Niang, le ministre d’Etat ministre des Affaires étrangères. La Compagnie nationale d'assurance et de réassurance des transporteurs (Cnart) qui a raflé le marché par entente directe est une société dans laquelle, est actionnaire le ministre d'Etat, ministre des Affaires étrangères, Me Madické Niang maître d'oeuvre de l'organisation du pèlerinage aux lieux saints de l'Islam.
Les voyagistes privés et les autorités du ministère des Affaires étrangères en charge de l’Organisation du pèlerinage à la Mecque vont vers un clash certain si les deux parties ne se retrouvent pas autour d’une table pour dialoguer. C’est la souscription à une police d’assurance imposée à chaque pèlerin qui est la goutte d’eau faisant déborder le vase. Au-delà du choix du transporteur que les voyagistes privés ont encore du mal à digérer, les autorités du ministère des Affaires étrangères commencent à irriter ces derniers qui ont la charge d’acheminer plus de 70% des pèlerins à la Mecque.
Avant-hier lors de la conférence de presse du Cnf, Saer Seck faisant l’état des lieux des recettes du sponsoring affirmait ceci : «sur les 300 millions annuels déclarés, 90 millions seulement ont été versés dans les comptes de la fédération sénégalaise de football». Faux, rétorque Promo Consulting. Une voix autorisée de la structure de Magnick Diop balaie d’un revers de la main tout ce qui a été dit par le vice-président du Cnf. Et rétablit la véracité des chiffres en affirmant que «plus de 200 millions ont été versés à la fédération». Les détails.
C’est des questions d’actualité assez brûlantes qui attendaient le président du Comité de normalisation du football qui, pour la première fois, faisait face à la presse depuis le fameux Sénégal-Gambie (1-1) du 11 octobre dernier. Un exercice pas du tout facile, parce que lié à un contexte assez lourd lié à l’élimination prématurée des Lions de la Can et du Mondial 2010. Mais c’était sans compter avec la stratégie de communication mûrement réfléchie de Diagna Ndiaye et de ses collaborateurs qui, en deux heures de temps, et face aux questions précises des confrères, ont apporté les réponses qui s’imposaient et déroulé les avancées notables concernant leur feuille de route.
Au-delà de la grande vitesse à laquelle circulent les chauffeurs de Dakar Dem Dikk (DDD), les mesures de sécurité pour prévenir des cas d'accidents quasiment rares, les feux brûlés, les « Stop », « Cédez le passage » et les règles de priorité inexistantes, les bus de Salvy sont également de véritables cercueils ambulants. Et pour cause, cela fait une année entière qu'ils roulent sans assurances. Un fait confirmé par les assureurs, regroupés autour d'un pool, au même moment où le directeur de la société de transport déclare que l'Etat a son propre assureur. Cependant, force est de constater, qu'au-delà de la nébuleuse qui entoure la société DDD sur le dénominatif de son statut juridique, le coût global de l'assurance annuelle de ces bus coûterait à l'Etat la somme de 380 millions environ.
