Une enquête de l'Ong suisse Public Eye révélait que quatre (4) négociants suisses (Vitol, Trafigura, Addax & Oryx et Lynx Energy) mis en cause ont profité des...
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Une enquête de l'Ong suisse Public Eye révélait que quatre (4) négociants suisses (Vitol, Trafigura, Addax & Oryx et Lynx Energy) mis en cause ont profité des...
Une enquête de l'Ong suisse Public Eye révélait que quatre (4) négociants suisses (Vitol, Trafigura, Addax & Oryx et Lynx Energy) mis en cause ont profité des...
Le scandale "Dirty Diesel" (diesel sale) revient.
Libération révèle que le doyen des juges a sollicité les réquisitions du parquet dans le cadre de l’affaire du diesel présumé toxique qui éclabousse Oryx, Addax, Vitol et Trafigura.
Le Nigeria, le Bénin, la Côte d'Ivoire et le Togo, réunis à Abuja jeudi sous l'égide du Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE), ont annoncé leur intention de limiter drastiquement la teneur en soufre autorisée dans le diesel, et ce à compter de juillet 2017.
Rebondissement dans le scandale du Dirty Diesel. L’Ong Public Eye qui a produit un rapport qui accable les négociants suisses Vitol, Addax, Oryx et Trafigura sur du mauvais carburant écoulé en Afrique vient de remettre son rapport à la Ligue sénégalaise des droits humains (Lsdh), informe Libération.
L’ONG Public Eye a publié ce mois de septembre une enquête dénommée « Dirty Diesel » (carburant toxique). Celle-ci révèle que les négociants suisses du secteur inondent l’Afrique de carburants dangereux pour la santé.
L’affaire du carburant toxique qui aurait été vendu en Afrique, continue de soulever des vagues.Moustapha Diakhaté a annoncé la mise en place d’une commission d’enquête parlementaire
Le rapport « Dirty Diesel » de l'ONG Public Eye sur des carburants de qualité inférieure à destination de l'Afrique a un retentissement en Côte d'Ivoire. A Abidjan, où les trois sociétés suisses incriminées sont représentées, une ONG locale a tenu une conférence de presse pour dénoncer cette situation. Le Groupe de recherche et de plaidoyer sur les industries extractives (GRPIE) dénonce le taux anormalement élevé de soufre présent dans les carburants diesel ou essence et demande aux autorités nationales de revoir une législation qu'elle juge obsolète.
L’ONG suisse Public Eye a rendu public jeudi un rapport révélant ‘’comment les négociants suisses en matières premières profitent des faibles standards en Afrique pour produire, livrer et vendre des carburants à haute teneur en soufre, interdits en Europe’’.