Azoura Fall est revenu sur les déclarations de Ngoné Saliou qu’il juge offensantes.
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Azoura Fall est revenu sur les déclarations de Ngoné Saliou qu’il juge offensantes.
Ameth Khalifa Niasse : ‘’Ce que j’ai dit à Sonko lors de notre rencontre à Kaolack’’
Bougar Diouf, président de l'Union patriotique (UP) et membre de la coalition DiomayePrésident, est convoqué à la Division spéciale de cybersécurité, comme annoncé par Seneweb
L’Alliance pour la République (APR) interpelle le Premier ministre Ousmane Sonko, pour le respect de l’État de droit.
Lors du dialogue politique national, l’ancien ministre Aly Ngouille Ndiaye a exprimé ses vives préoccupations face à des pratiques qu’il juge contraires aux principes de l’État de droit et de la démocratie.
xVigie de l’état de droit, la justice sénégalaise a connu une trajectoire loin d’être rectiligne, sous les différents régimes qui se sont succédé.
Rejet de la loi interprétative : Une victoire de l'Etat de droit selon Amadou BA
Dans une République où l’état de droit est constamment invoqué, il est déplorable de constater que certaines interprétations juridiques semblent délibérément biaisées...
Il y a exactement 100 jours, le 2 avril 2024, Bassirou Diomaye Faye était investi comme président de la République du Sénégal. Depuis son entrée en fonction, il s’attelle à résoudre de nombreuses priorités et questions urgentes, notamment la gouvernance, le renforcement de l’État de droit, la lutte contre la corruption, la souveraineté économique et le bien-être social des Sénégalais.
L'administration Judiciaire en Afrique est confrontée, à de nombreux défis liés à l'ingérence d'autres pouvoirs, à la faiblesse de l'Etat de droit, à l'instabilité politique...
Dans un État de droit, pour une réforme en profondeur du cadre juridico-légal, il est nécessaire d'adopter une nouvelle Constitution en lieu et place d'une réforme constitutionnelle.
Le Chef de l’Etat, son Excellence Monsieur Macky SALL, en décidant de fixer la date de l’élection présidentielle avant le 02 avril 2024, est resté fidèle à sa posture républicaine de toujours se conformer aux décisions du Conseil Constitutionnel, en adéquation avec les principes qui fondent l’Etat de droit.
La décision rendue par le Conseil constitutionnel rejetant le décret abrogeant la convocation du corps électoral et la loi adoptée par l’Assemblée nationale pour le report de l'élection présidentielle du 25 février au 15 décembre 2024 est loin d'être, comme d'aucuns le pensent, un désaveu au Président et à la représentation parlementaire.Au contraire, elle montre, s'il en était encore besoin, notre très longue tradition d'état de droit et de démocratie dont les piliers reposent sans conteste sur la séparation des pouvoirs.
Le Sénégal est-il un État de droit ?
Les leaders de YAW avaient appelé, hier, à manifester dans les 46 départements du pays, cet après-midi, pour restaurer l'Etat de droit et la démocratie. Mais cette manifestation ne se fera pas à Ziguinchor.
Docteur Babacar Diop, maire de Thiès estime que « le Sénégal n’est plus dans un Etat de droit mais dans un Etat d’exception qui obéit à la volonté et au désir du chef ».
En tant qu'universitaire, Matar Silla comprend la démarche des autorités qui ont signé une pétition pour la libération d'Ousmane Sonko, le respect de la démocratie et de l'Etat de droit. Ils sont au moins 140 avec des casquettes différentes à avoir signé cette pétition qui interpelle le chef de l'État.
Plus d’une centaine d’hommes et de femmes du Sénégal et d’ailleurs ont signé une pétition relative, disent-ils, à la démocratie et à l’Etat de droit
Plus d’une centaine d’hommes et de femmes (beaucoup plus d’hommes que de femmes) du Sénégal et d’ailleurs ont signé une pétition relative, disent-ils, à la démocratie et à l’Etat de droit.
La sévère mesure prise par le gouvernement du Sénégal pour anéantir la formation politique d’Ousmane Sonko en détention préventive pour plusieurs chefs d’inculpation dont l’appel à l’insurrection est «une menace sur la démocratie et l’État de droit».