Il n’est plus à présenter. Aliko Dangote est sans conteste l’homme le plus riche d’Afrique et la première fortune noire du monde.
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Il n’est plus à présenter. Aliko Dangote est sans conteste l’homme le plus riche d’Afrique et la première fortune noire du monde.
La disparition tragique du sous-lieutenant Mamadou Ndour, agent des Eaux et Forêts retrouvé sans vie dans sa chambre, à Sédhiou, a suscité une profonde émotion au sein de la nation.
Héritage de Michael Jackson : ses enfants touchent 4 millions par an
La semaine dernière, Jennifer Lopez, reçue dans l’émission radio "The Howard Stern Show" accusait ses anciens maris de n’avoir pas été capables de l’aimer à sa juste valeur.
"Dieu est le plus grand, louange à Dieu": pour la première fois depuis des mois, ces mots retentissent à nouveau un vendredi à Gaza, où des milliers de fidèles se sont rassemblés dans des mosquées, pour beaucoup largement détruites.
L'enquête sur la mort du fondateur de Mango rebondit, son fils au coeur des soupçons
Opération de désencombrement à Saint-Louis : le préfet lance la reconquête des voies publiques
Le magazine américain "Forbes" a publié le classement des plus grosses fortunes noires du monde. Sans surprise, le milliardaire nigérian Aliko Dangote arrive en tête, avec une richesse estimée à 23,9 milliards de dollars. Le PDG de Dangote Group bénéficie de la bonne santé de sa méga raffinerie de pétrole de Lagos.
France : Même s'il échappe à la censure, le gouvernement Lecornu "ne tiendra pas sur la durée", prédit Le Pen
Saint-Louis : Une vaste opération de désengorgement annoncée par le préfet
La Direction générale du Cadre de vie et de l’hygiène publique a mené, ce samedi 11 octobre 2025, une importante opération de sécurisation et de désencombrement dans...
Lamine Yamal est une belle promesse pour le football
Une affaire de vol a conduit au défèrement d'une mineure devant le Tribunal de Grande Instance de Pikine-Guédiawaye. K.M., 17 ans, élève en classe de 4e, a été déférée hier jeudi par la Brigade territoriale de gendarmerie de la Zone franche industrielle pour vol au préjudice de son employeure.
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs"
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
Dans l'écosystème économique et entrepreneurial en africain, il est certainement la voix la plus écoutée. Homme d'affaires très attaché à son continent, Aliko Dangote est à la tête d’un empire économique qui force le respect.
Cristiano Ronaldo explose un plafond de verre: le Portugais devient le premier footballeur milliardaire
Il est une monnaie que l’on croyait immuable, celle qui froisse les doigts et fait bruire les caisses des marchés. Le franc CFA, héritage colonial, fidèle compagnon des petites et grandes fortunes ouest-africaines, s’apprête à se dématérialiser. La BCEAO, cette vénérable institution héritière des idéaux d’un empire oublié, prépare son lancement officiel.
Après l’avocat Demba Ciré Bathily, c’est au tour du commissaire à la retraite, Boubacar Sadio, de se prononcer sur la libre circulation des personnes et des biens dans l’espace Cedeao, au lendemain du déguerpissement des étrangers établis aux Mamelles, à Dakar.
Dans le département de Bakel, la montée des eaux du fleuve Sénégal, due en partie aux lâchers du barrage de Manantali, suscite des inquiétudes. De Ballou, à Yaféra, en passant par Aroundou, Kounghany et Golmy, dans la commune de Ballou, les eaux ont envahi les productions agricoles, des écoles, des mosquées et différentes artères.