L'ancien ministre et ex-patron de l'UDF François Léotard est mort à l'âge de 81 ans, a annoncé mardi Emmanuel Macron qui a salué "un esprit libre, un homme de livres et d'engagement" qui a "servi l’État et porté une grande idée de la culture".
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L'ancien ministre et ex-patron de l'UDF François Léotard est mort à l'âge de 81 ans, a annoncé mardi Emmanuel Macron qui a salué "un esprit libre, un homme de livres et d'engagement" qui a "servi l’État et porté une grande idée de la culture".
L’ancien Premier ministre Edouard Balladur a été relaxé jeudi par la Cour de justice de la République
L'ancien Premier ministre français Edouard Balladur (1993-1995) fait face à la justice mardi pour des soupçons de financement occulte de sa campagne présidentielle de 1995
L'ancien ministre et ex-patron de l'UDF François Léotard est mort à l'âge de 81 ans, a annoncé mardi Emmanuel Macron qui a salué "un esprit libre, un homme de livres et d'engagement" qui a "servi l’État et porté une grande idée de la culture".
Six prévenus dont un ex-ministre, un dirigeant de LVMH et un intermédiaire aussi renommé que sulfureux comparaissent à partir de ce lundi au tribunal correctionnel de Paris
Un procès près de 25 ans après les faits: l’ancien Premier ministre Edouard Balladur et son ex-ministre François Léotard ont été renvoyés devant la Cour de justice de la République (CJR)
La Cour de justice de la République (CJR) va enquêter sur le rôle joué par l'ancien chef du gouvernement français Edouard Balladur et son ex-ministre de la Défense François Léotard, dans l'affaire dite Karachi, a appris lundi l'AFP de source judiciaire.L'enquête porte sur le financement de la campagne présidentielle d'Edouard Balladur en 1995
« Je suis curieux de savoir le livre que lit le président Chirac présentement », tel est le propos pour le moins inquiétant de Monsieur François Léotard, ancien ministre français de la Culture, invité de l’émission Culture Vive sur RFI il ya quelques années. Le jeune frère du talentueux acteur et non moins normalien, Philippe Léotard, s’inquiétait de l’inculture généralisée qui frappait les hommes politiques de l’ère moderne. Un sujet important et même grave si l’on s’en tient aux propos du général De Gaulle qui pense que « La véritable école du Commandement est la culture générale ».
Les juges chargés du volet financier de l'affaire Karachi vont approfondir leurs investigations sur la piste du recours aux fonds secrets pour le financement de la campagne d'Edouard Balladur en 1995, le spectre de leur enquête ayant été élargi à un éventuel "détournement de fonds publics".
L’étau se resserre autour du milliardaire Ziad Takieddine?: il vient d’être mis en examen pour « complicité et recel d’abus de biens sociaux ».« Je suis la solution pour permettre à la justice française de découvrir la vraie affaire [Karachi, NDLR]. J’espère que j’aurai droit à des excuses », déclarait Ziad Takieddine, le 30 mai 2010, au Journal du dimanche. Les révélations de Robert Bourgi avaient un précédent?: s’adressant lui aussi à Laurent Valdiguié dans le JDD, Ziad Takieddine avait voulu, un an et demi avant, « laver l’affront » fait par l’équipe Chirac et Villepin. Celle-ci l’accusait alors d’avoir touché des rétrocommissions illégales dans les ventes de frégates à l’Arabie saoudite et de sous-marins au Pakistan, en 1994, pour financer la campagne présidentielle d’Édouard Balladur.
Nous sommes à une quinzaine de mois de la déterminante élection présidentielle de 2012. Cette période est la saison des balades ponctuées de promesses les plus alléchantes, à travers les quatre coins du Sénégal.
Ex-ambassadeur au Sénégal, l'écrivain dénonce la mainmise de l'Elysée sur la politique étrangère de la France. Non sans ambiguïtés. Les pieds dans le plat. Jean-Christophe Rufin a attendu son départ de l'ambassade de France à Dakar pour dire tout le mal qu'il pense de la diplomatie française : un ministère « marginalisé », des pratiques « du passé », un exécutif au coeur des « réseaux » africains. Pourquoi cette soudaine saillie ? Portrait d'un ambassadeur ambigu. Vrai Don Quichotte ou faux chevalier blanc ? Il a tiré au bazooka.
Non, la Françafrique n’agonise pas ; elle n’est pas en mauvaise santé. Loin de là. Cependant, la Chinafrique lui assène des uppercuts imparables, si bien que les hématomes sont très visibles. Le lion est défié par le tigre sur son territoire, la savane africaine. Pas plus tard qu’hier, le premier ministre chinois Wen Jiabao annonçait que la Chine fournirait dix milliards de dollars de prêts bonifiés à l’Afrique, lors de la première journée du Forum Chine-Afrique à Charm el-Cheikh, en Egypte. En mars 2009, Nicolas Sarkozy effectuait une tournée dans trois pays africains, francophones et dotés de richesses minières - le Congo-Kinshasa, le Congo-Brazzaville et le Niger. Cette visite sonnait comme une façon de montrer à la Chine que la France est toujours présente en Afrique.
Oumar Sarr persiste et signe sans état d’âme : le Pr Amadou Mahtar Mbow est, selon lui, un menteur. Il a menti pour avoir simplement signé la Charte de gouvernance démocratique où il est écrit que « l’initiative, le processus et les conclusions des Assises nationales sont désormais le patrimoine du peuple sénégalais ». Le ministre wadien ne s’arrête en si bon chemin dans sa croisade contre le Pr Mbow, président des Assises nationales qui fut, toujours selon lui, « un vieux briscard de la politique, un représentant zélé de l’ancien régime, un responsable jamais élu de l’Ups / Ps, ministre de l’Education dans les années noires, directeur général de l’Unesco proposé par l’ancien régime ». Il précise se garder de parler « de son bilan à l’Unesco et de ce que les Américains nous ont appris de lui ».
C’est devenu incontestablement une lapalissade, un secret de Polichinelle : Me Wade nous trompe. Non seulement il nous trompe sans état d’âme, mais – c’est plus inacceptable encore –, il nous prend pour des demeurés, pour des moins que rien. Si ce n’était vraiment pas le cas, nous devrions nous inquiéter encore plus. Le syndrome Bourguiba roderait alors sûrement du côté du palais de la République de l’avenue Léopold Sédar Senghor. Je n’irai pas chercher très loin pour illustrer mon propos. Je rappellerai simplement son adresse au khalife général des tidianes la veille du Gamou 2009.
«Sarko en Afrique». Ce n’est point une visite. Mais plutôt un livre sur les relations du président Français Nicolas Sarkozy en Afrique. Ecrit par les écrivains Antoine Glaser et Stephen Smith, ce livre divisé en dix chapitres raconte les tribulations Président français en terre africaine. Surtout au Sénégal avec l’affaire Bolloré, de son richissime homme d’affaires et ami Vincent Bolloré pour le contrôle du Port de Dakar. Qui s’est heurté au choix du fils du Chef de l’Etat Karim Wade sur les Emirats Arabes Unis. Mais en politique, comme en affaires, on peut toujours dépasser les malentendus autour d’une table. Surtout lorsque les intérêts sont colossaux.
Cette fois moom, c'est irréversible : l'élection présidentielle aura bien lieu le 25 février 2007. Njomboor et Njomborton ont beau être tortueux, versatiles, immoraux et avoir bien plus de mille tours dans leur sac, on voit difficilement quel (s) argument (s) ils pourraient nous sortir pour différer le scrutin. C'est donc normalement parti, et les candidats rivalisent d'ardeur pour s'attacher nos suffrages. Dans ma précédente contribution, j'ai donné mon appréciation sur les quinze candidats. J'ai, en particulier, exprimé tout le mal que je pense des candidats siamois (pour reprendre une expression du Nouvel Horizon du 9 au 15 février 2007), Me Wade et son fils putatif. Je le réitère ici avec force : sous de nombreuses autres latitudes, où les citoyens sont informés et tant soit peu conscients de leurs responsabilités, ils seraient purement et simplement disqualifiés et n'auraient jamais le toupet de solliciter le suffrage de leurs compatriotes. La réélection de l'un serait une catastrophe, un tsunami national ; l'élection de l'autre, le risque d'une aventure dont nul ne peut prévoir les conséquences pour notre pauvre pays.
La jeune génération l’a découvert lors des obsèques d’El hadji Oumar Lamine Badji quand le président de la République n’a cessé de prononcer son nom en rendant hommage à celui dont il fut l’ami, le parent et le confident. Lui, c’est Moussa Diédhiou, un des tout premiers députés Pds élus sur une liste départementale. Dans l’entretien qui suit, Moussa Diédhiou dit sa déception quant au traitement qui lui est aujourd’hui réservé par la direction du Pds pour lequel il a tout donné. Sur l’assassinat de son « ami » Oumar, Moussa Diédhiou ne cherche pas midi à quatorze heures pour dire à qui veut l’entendre que c’est un crime politique. Une conviction fondée sur des faits qui se sont succédés depuis un certain temps. Entretien.