À l’approche de l'élection présidentielle en Côte d’Ivoire, la question de la loyauté et de l’unité des forces de sécurité est sur toutes les lèvres
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
À l’approche de l'élection présidentielle en Côte d’Ivoire, la question de la loyauté et de l’unité des forces de sécurité est sur toutes les lèvres
Plus de trois mois après l’audition du dernier témoin de l’accusation dans le procès de Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé devant la Cour pénale internationale (CPI), leurs avocats demandent l’acquittement partiel ou total.
Au deuxième jour de son procès, mardi, à la cour d’assises du tribunal du Plateau (Abidjan), pour « complicité d’assassinat » de sept Casques bleus nigériens, le 8 juin 2012, Hubert Oulaye, 64 ans, ex-ministre de Laurent Gbagbo, a rejeté toute implication dans l’affaire.
C’est un officier général très attendu qui témoigne depuis lundi à la barre de la Cour pénale internationale (CPI) dans le procès de l’ex-chef de l’État ivoirien Laurent Gbagbo et de son bras droit, Charles Blé Goudé. Voici ce qu'il a dit le premier jour de son audition.
Dimanche, 98 détenus se sont échappés de la prison de la ville Katiola. Cette évasion, la troisième en moins d’un mois, vient renforcer le sentiment d’insécurité dans le pays.
Alors que les mutineries n’ont pas toutes cessé, le pays fait face à une nouvelle forme de menace?: celle de commandos d’hommes armés qui multiplient leurs attaques. Si les méthodes convergent, leurs objectifs, eux, semblent différents.
Dans la nuit du 15 au 16 mai, Alassane Ouattara, confronté à la quatrième contestation militaire en trois ans, a dû céder aux revendications des mutins. Retour sur une crise qui soulève de nombreuses interrogations.
L’attaque terroriste de la ville balnéaire de Grand-Bassam (20 km au Sud d’Abidjan) le 13 mars 2016 avec une vingtaine de morts et plusieurs blessés est incontestablement le fait le plus marquant au plan sécuritaire en Côte d’Ivoire.
Deux militaires de l’armée ivoirienne reconnus coupables pour violation de consignes lors de l’attaque terroriste de Grand-Bassam en mars dernier ont été condamnés, jeudi soir, par le Tribunal militaire d’Abidjan, à dix ans de prison ferme avec une amande de 200 000 FCFA.
le présumé chef des miliciens lobis, Jean-Marie à été arrêté au quartier lobi Gbolotchara de Bouna et tranféré à Abidjan.
Le nouveau bilan provisoire des affrontements survenus, jeudi, à Bouna (Nord-est) entre éleveurs Peuls (allogènes) et agriculteurs Lobi (autochtones) fait état de 17 morts et 39 blessés, a appris APA de source officielle.
Détenu et poursuivi par la Cour pénale internationale (CPI) en tant que co-auteur indirect de crimes contre l’humanité commis durant la crise postélectorale, l’Ivoirien publie ce 24 mars un livre témoignage : « De l’enfer, je reviendrai ». Morceaux choisis.
Les ministres français des Affaires étrangères Jean-Marc Ayrault et de l'Intérieur Bernard Cazeneuve sont attendus,mardi, à Abidjan pour témoigner le soutien et la solidarité de la France à la Côte d'Ivoire qui a enregistré , dimanche après-midi, sa première attaque terroriste avec fait 22 morts.
Le ministre ivoirien de la défense Alain Richard Donwahi et son collègue des ressources animales et halieutiques Adjoumani Kobénan Kouassi ont échappé, mardi après-midi, à un lynchage à Assuéfry dans le Nord-Est du pays où des affrontements entre des populations et des militaires ont fait la veille, deux morts.
Près de la frontière libérienne, des membres des FRCI ont été attaqués par des hommes armés non identifiés dans la nuit de mardi à mercredi. Bilan : au moins six soldats tués, selon plusieurs sources.
Il est malsain, véritablement infect de vouloir se donner une virginité morale et politique sur les drames humains. Sur les drames de ses compatriotes.Sur la détresse des Sénégalais de l’extérieur qui font, depuis un certain nombre d’années et partout où ils se trouvent, face à du racisme généralisé, parfois légalisé, parce que les verrous qui empêchaient leur libre expression publique ont sauté avec la libération de la parole haineuse des partis d’extrême droite.
Depuis 2011, le sort de la famille Gbagbo est entre les mains de la justice. Ecroué à la prison de La Haye de la Cour pénale internationale, l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo est en attente de son procès pour crimes contre l’humanité. Son épouse Simone Gbagbo, également accusée de crimes contre l’humanité, sera prochainement jugée, mais à Abidjan, par un tribunal local. Michel Gbagbo, le fils du président déchu, est pour sa part en liberté provisoire, mais ne peut quitter Abidjan. Retour sur les moments clés de la famille Gbagbo depuis 2010.
Des militaires réclamant de l’avancement et de meilleures soldes bloquent depuis mardi matin Bouaké, la deuxième ville de Côte d’Ivoire, un pays qui sort progressivement d’une décennie de crise politico-militaire, a constaté l’AFP.
Alors qu’on n’a pas fini d’épiloguer sur le meurtre du Sénégalais Charles Paul Ndour tué au Maroc, un autre Sénégalais de 29 ans, du nom de Fodé Diouf, originaire de Diourbel, « a été abattu dans la capitale économique ivoirienne, lors d’une bagarre par un policier », selon le PoPulaire qui rapporte l’information.
L'attaque armée, perpétrée, tôt jeudi matin, dans le village de Fêtai, situé dans la sous-préfecture de Grabo dans le Sud-Ouest ivoirien, a fait au moins cinq morts, a appris APA vendredi de source officielle.