Le célèbre guide religieux domicilié à Soprim est porté disparu
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Le célèbre guide religieux domicilié à Soprim est porté disparu
Né en 1944 à Kaolack, Serigne Mamoune Niass est le premier fils de Cheikh Ibrahima Niass qui a vu le jour dans un hôpital
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Les commentaires vont toujours bon train à Kaolack depuis l'incendie mystérieux qui a ravagé l'auberge d'Ahmet Khalifa Niasse sise à Leona Niassene. Au moment du sinistre, qui a quasiment ravagé toute l'auberge, Ahmet Khalifa Niass était sur les lieux en compagnie d'un autre dignitaire religieux, Serigne Mahe Cissé. Le feu a atteint une telle ampleur que les deux marabouts ont été coincés au deuxième étage et n'ont pu être exfiltrés que par les les forces de l'ordre. On parle d'incendie criminel puisqu'au moment même où on s'affairait à tirer les deux hommes du feu, la radio Zik Fm annonçait des manifestations avec jets de pierres sur les lieux qui ont nécessité l'intervention à coups de grenades lacrymogènes. Si d'aucuns ont avancé la thèse du court-circuit électrique, il reste que les manifestants, les disciples de Baye Niasse étaient courroucés par des propos jugés discourtois à l'égard du guide de la confrérie Niassene lord d'une cérémonie religieuse. Une enquête est ouverte.
« La leçon de Machiavel est assurément bien assimilée par nos hommes politiques. Le penseur de Florence écrivait en effet que les choses doivent paraître de telle sorte qu’à voir et à entendre le prince parler, on doit le croire « tout plein de douceur, de sincérité, d'humanité, d'honneur, et principalement de religion, qui est encore ce dont il importe le plus d'avoir l'apparence : car les hommes, en général, jugent plus par leurs yeux que par leurs mains, tous étant à portée de voir, et peu de toucher. »
A l’instar des chrétiens, la communauté mouride peut dire : ‘Nous avons un khalife’. A 86 ans, Serigne Cheikh Maty Lèye succède à Serigne Mouhamadou Lamine Bara Mbacké au khalifat des mourides. Depuis hier, jeudi, Serigne Cheikh Maty Lèye Mbacké Ibn Serigne Bara est au-devant de la scène, en devenant le septième khalife général des mourides. Il succède ainsi à Serigne Mouhamadou Lamine Bara qui a ouvert l’ère des petits-fils. En effet, il venait directement au premier rang dans l’ordre chronologique des petits-fils de Khadimou Rassoul, le fondateur du mouridisme.
Il n’est pas à Touba, mais à Paris. Mais toutes les pensées d’Amath Dansokho sont tournées vers la ville de Bamba. Et dès qu’il sera à Dakar, le talibé mouride secrétaire général du Pit rendra visite au Serigne Bara avec qui il dit entretenir de très bonnes relations. Mais avec Serigne Saliou, c’était autre chose. Leurs relations relevaient du mystique, confie le pourfendeur infatigable du président Wade dans l’entretien qu’il nous a accordé. Wal Fadjri : Aujourd’hui (mercredi 3 février 2010, Ndlr), c’est le Magal de Touba. Vous êtes à Paris et pas à Touba. Pourquoi d’autant qu’on vous connaissait proche de Serigne Saliou, le défunt khalife général des mourides ? Amath Dansokho : Je ne suis pas allé au Magal parce que mon calendrier médical ne me l’a pas permis. Mais comme tous les Sénégalais, toute ma pensée est à Touba. Touba où notre peuple célèbre un de ses fils les meilleurs
Il y a, pour chaque communauté, ethnie ou race, des secrets que seuls les initiés sont les détenteurs. La communauté léboue établie à Ndakarou (de Toubab Djalaw à Ouakam) depuis des siècles ne fait pas exception à cette règle. Il existe dans cette large contrée des lieux mythiques où des esprits s’y incarnent, sous différentes formes. Pour la plupart, ce sont des demeures de génies ou de djinns. Ces lieux ont besoin d’un entretien particulier, car relevant d’un patrimoine sacré à préserver. La quiétude de la communauté en dépend largement.