Note abaissée : une conséquence de la mauvaise gouvernance, pas la faute de Moody’s (Économiste)
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Note abaissée : une conséquence de la mauvaise gouvernance, pas la faute de Moody’s (Économiste)
Le 10 octobre 2025, l'agence de notation Moody's a abaissé la note souveraine du Sénégal de B3 à Caa1 (perspective négative), invoquant des "risques croissants pour la trajectoire budgétaire" et une "position de liquidité affaiblie".
Le 10 octobre, Moody’s Ratings a abaissé la note de crédit du Sénégal, passant de B3 à Caa1, avec une perspective négative maintenue.
La sentence est tombée. Pour la deuxième fois en quelques mois, Moody’s Investors Service a abaissé la note souveraine du Sénégal, la faisant glisser encore plus profondément dans la catégorie des emprunteurs à haut risque. Ce n’est pas une simple mauvaise note :
Hausse des dépenses publiques en UEMOA : Le Sénégal en tête des dépenses courantes avec +13,6 %
Dette publique : Abdourahmane Sarr rassure sur la soutenabilité des finances du Sénégal
“J'ai dépensé plus de 200 000 FCFA” : les parents étouffés par les coûts de la rentrée scolaire
Le Sénégal fait actuellement face à des difficultés financières sans précédent. Les autorités essaient de mettre les bouchées doubles pour collecter davantage de ressources afin de faire face aux priorités.
Kalidou Thiaw : « Les défis budgétaires du Sénégal influencent les indicateurs régionaux de l’UEMOA »
La Note de conjoncture du second trimestre 2025, publiée par la Direction de la prévision et des études économiques, met en lumière une amélioration sensible de la situation budgétaire.
Le Fonds monétaire international (Fmi) vient de boucler sa mission au Sénégal, dans un contexte très tendu sur le plan budgétaire (Fmi).
Une question sensible agite depuis quelques jours l’Assemblée nationale.
Après la publication du rapport d’exécution budgétaire (2nd trimestre 2025), les critiques ne se sont pas faites attendre. Et les premières sont venues de Papa Malick Ndour, économiste et chef de file des cadres de l’Alliance pour la République (Apr).
Le Ministère des Finances a publié son rapport d'exécution budgétaire pour le second trimestre de l’année 2025. Rapport qui a dévoilé les grosses dépenses de l’Etat durant la période.
Le ministère des Finances et du Budget du Sénégal a publié le rapport trimestriel d’exécution budgétaire pour le deuxième trimestre 2025, offrant un aperçu détaillé de la gestion des finances publiques à mi-parcours de l’année. Dans un contexte économique mondial marqué par un ralentissement aux États-Unis, un rebond en Zone euro et un dynamisme des économies émergentes, notamment la Chine, le Sénégal affiche des résultats encourageants, portés par une croissance robuste du PIB réel de 12,1 % au premier trimestre, principalement grâce à l’exploitation des hydrocarbures.
À Touba , les déplacements se multiplient dans la ville sainte de Touba.
Le Sénégal fait face à une crise financière marquée par des déficits budgétaires persistants et un endettement galopant, avec un service de la dette de plus en plus lourd et des besoins annuels dépassant 5 000 milliards FCFA (2025–2028), selon Pr Amath Ndiaye, économiste à la FASEG-UCAD.
Face à une dette publique record et un déficit budgétaire préoccupant, le Sénégal s’engage dans un programme de réformes pour tenter de rétablir ses équilibres macroéconomiques.
[Reportage] Le combat d’Awa Sow et les éleveuses du Ferlo pour leur survie
Le FRAPP réagit aux derniers RTEB publiés par le ministère des Finances, saluant la transparence et la hausse des recettes internes, mais s'inquiète de la faiblesse persistante des investissements dans les secteurs sociaux clés comme la santé, l'éducation et le logement.