Préalables à la Mise en Place du Plan de Redressement Air Sénégal SA
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Préalables à la Mise en Place du Plan de Redressement Air Sénégal SA
Tout juste marié à une Bosnienne, Samir El-Barawy a quitté Sarajevo en 1991. La région était à feu et à sang, le siège de la capitale bosnienne allait commencer, il est rentré chez lui dans la bande de Gaza. Trente-trois ans plus tard, il a abandonné ses terres pour fuir en... Bosnie.
Parmi les clubs de cette nouvelle ligue fermée: le Real Madrid, le FC Barcelone, Liverpool ou Manchester United.
Identification d'un ennemi extérieur, repli identitaire, patriotisme émotionnel... sont souvent à l'origine du déclenchement d'une guerre
Tout juste marié à une Bosnienne, Samir El-Barawy a quitté Sarajevo en 1991. La région était à feu et à sang, le siège de la capitale bosnienne allait commencer, il est rentré chez lui dans la bande de Gaza. Trente-trois ans plus tard, il a abandonné ses terres pour fuir en... Bosnie.
Les livres sont des révélateurs du sournois. Les écrivains sont les condensateurs des charges de leur époque, et celles-ci, dans la nôtre, sont pour beaucoup négatives. Thilo Sarrazin : L’Allemagne court à sa perte. Alain Finkielkraut : L’identité malheureuse. Eric Zemmour : Le suicide Français. Et ils sont loin d’être les seuls à voir l’avenir en noir djihadiste.
Fin d’année oblige, le top 10, top 5 et autres classements 2014 fleurissent sur le web. Et Social Net Link n’a pas dérogé à la règle. Notre équipe s’est mobilisée pour vous faire un panorama des évènements qui ont marqué le web au Sénégal durant l’année.
Notre société aurait eu droit certainement à un autre opium si Karl Marx était encore là, après avoir soutenu que la religion était considérée comme ''l’opium du peuple''. Nous imaginons en effet après son œuvre colossal sur le capital, l’entendre à nouveau, évoquer ce terrible constat universel, cet autre mal du siècle, qu’est la corruption, également perçue comme l’opium du monde capitaliste.
Il est vrai que tout pays à une particularité qui lui est propre. Mais au-delà de ce fait commun à tous, notre pays, par son principal dirigeant Me Wade, à la tête de l’Etat depuis le 19 mars 2000, lui a imprimé par sa méthode de gouvernance, un caractère spécieux qui le distingue des autres pays et le sort de l’ordinaire. En effet, en lieu et place des espoirs que la majorité d’entre nous nourrissaient et avaient porté sur lui, ce dernier n’a rien fait d’autre, que nous servir le désespoir. Et, à notre grand regret, nous découvrons aussi avec amertume, que tout en l’homme, est faux.
Macky Sall vient de boucler une tournée de 26 jours dans les régions de Saint-Louis et de Matam. Le leader de l’Alliance pour la République (Apr), de fait en pré-campagne au même titre que le président Wade, a sillonné beaucoup de villages du Fouta. Occasion saisie pour l’interpeller sur cette tournée bien longue, mais aussi sur la situation politique présente. Vous venez de boucler une longue tournée dans la région naturelle du Fleuve. D’abord, pourquoi un tel périple au Fouta ? Je vous remercie. En tant que leader politique qui aspire à gouverner ce pays, c’est un devoir de descendre sur le terrain rencontrer les populations.
Chaque individu interprète les faits, dont il a connaissance en fonction de son niveau de compréhension et de sa sensibilité personnelle. Il y a, là, une loi universelle, qu’on retrouve sous toutes les latitudes. Il est, par ailleurs, loisible à chacun de constater qu’un évènement majeur suscite, toujours, des interprétations différentes, selon la chapelle à laquelle, appartient celui qui juge, analyse ou apprécie. L’annonce que le chef de l’Etat du Sénégal a faite, à son retour de vacances, relative aux trois ouvrages, à la rédaction desquels, il a consacré une partie de son temps, a donné lieu à quelques réactions politiciennes au sein d’une certaine classe politico-médiatique, qui s’est, toujours, distinguée par son obstination à dénaturer tout ce que le leader de l’Alternance fait ou envisage de faire.
On croyait révolu le temps ou l’époque des grands empires dynastiques depuis belle lurette. Mais on est tout le temps rattrapé par la réalité quotidienne qui tend toujours de plus en plus à nous ramener plusieurs siècles en arrière. Si à l’époque des grands empereurs, la succession héréditaire était un fait ouvert et connu de tous, elle prend de nos jours une allure masquée. On se sert du couvert de la démocratie pour élever aux plus hauts grades de la nation les fils des dictateurs. Comme une trainée de poudre, ça commence comme un jeu et ça se repend de plus en plus, sous le regard de la communauté internationale qui garde un silence complice et coupable.