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L'Ouganda dit avoir abattu un "guérisseur traditionnel" qui avait attaqué des bases militaires
Un gouverneur du Nigéria alerte : « Boko Haram utilise des drones pour mener ses attaques »
Décapitations, églises brûlées... Au Mozambique, les islamistes font la chasse aux chrétiens
Ousmane Ndiaye : “Entre Diomaye Faye et Ousmane Sonko, la crise de leadership semble inévitable”
Donald Trump ne laissera "jamais la loi de la rue régner en Amérique", a assuré mercredi la Maison Blanche, alors qu'un calme précaire a gagné Los Angeles après cinq jours de manifestations contre la politique migratoire du président américain, qui s'étendent aux Etats-Unis.
Des centaines de militaires du corps des Marines, mobilisés par Donald Trump contre l'avis des autorités californiennes, arrivent en renfort mardi dans un Los Angeles déjà quadrillé par des milliers de soldats et policiers, chargés de réprimer les manifestations contre les expulsions de migrants.
Près de 700 militaires des Marines ont été déployés par l'administration Trump pour "protéger les agents et bâtiments fédéraux" à Los Angeles, après que des manifestations contre la police de l'immigration ont tourné à l'affrontement.
Dans un long message sur X lundi, le ministre iranien des Affaires étrangères a accusé le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu de chercher à interférer dans les négociations entre Téhéran et Washington sur le nucléaire iranien. Il a aussi fustigé le soutien des États-Unis à Israël dans sa guerre à Gaza, ainsi que les frappes américaines contre les rebelles houthis au Yémen.
Quand Macron affirmait en janvier dernier, qu’il avait proposé aux chefs d’Etat africains de réorganiser la présence militaire française sur le continent et que par politesse, il leur « a laissé la primauté de l’annonce », plusieurs dirigeants africains se sont insurgés contre les propos du locataire de l’Elysée.
Le gouvernement pakistanais a assuré mercredi disposer de "renseignements crédibles" selon lesquels l'Inde prévoierait une frappe militaire imminente suite au récent attentat au Cachemire.
Des frappes américaines sur un port pétrolier stratégique au Yémen ont fait 80 morts, ont affirmé vendredi les rebelles houthis, l'attaque la plus meurtrière depuis le début de la campagne militaire américaine il y a 15 mois contre ces insurgés soutenus par l'Iran.
Les rebelles houthis du Yémen ont fait état vendredi d'un nouveau bilan de 58 morts dans les frappes américaines sur un port pétrolier, l'attaque la plus meutrière depuis l'intensification des bombardements américains contre ces insurgés soutenus par l'Iran.
Affaire Badara Gadiaga : mon intime conviction sur les injures et écarts de langage dans le débat public.
Depuis jeudi, les violences entre guérillas (ELN et FARC), autrefois alliées, ont fait plus de 80 morts et 20 000 déplacés dans la région du Catatumbo. Dans le sud du pays, des affrontements entre des dissidents des FARC ont causé la mort de 20 personnes lundi
Dix insurgés islamistes radicaux shebab ont été tués dans une frappe aérienne dans le sud de la Somalie, ont annoncé mardi les autorités militaires américaines.
Le chef de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a indiqué samedi avoir échappé de peu à la mort, lors de frappes israéliennes jeudi sur l'aéroport de la capitale du Yémen, tenue par les rebelles houthis.
Le gouvernement taliban a promis de riposter à des frappes du Pakistan ayant fait 46 morts dans l'est de l'Afghanistan, qu'un responsable sécuritaire pakistanais a présentées mercredi comme visant des "repaires de terroristes".
Après avoir passé près d'un quart de siècle à la tête d'un régime liberticide qui dirigeait la Syrie d'une main de fer, le "tyran" Bachar al-Assad a "pris la fuite", ont annoncé les groupes rebelles entrés dimanche dans la capitale Damas.
Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a estimé samedi que la Syrie ne pouvait tomber sous le contrôle de "terroristes", sur fond d'offensive fulgurante de rebelles qui ont pris des pans entiers du pays.
Le gouvernement syrien, confronté à l'avancée rapide des rebelles soutenus par la Turquie qui ont annoncé vouloir renverser le président Bachar al-Assad, a perdu vendredi le contrôle d'une nouvelle ville au sud de Damas...
