L'agent de sécurité Mamadou Saliou Diallo, né en 1994, a comparu au tribunal de Mafanco lors de l’audience criminelle du mardi 14 octobre 2025, pour des faits de viol sur mineure.
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L'agent de sécurité Mamadou Saliou Diallo, né en 1994, a comparu au tribunal de Mafanco lors de l’audience criminelle du mardi 14 octobre 2025, pour des faits de viol sur mineure.
Une affaire de mœurs qui a frappé une famille de Yarakh a plongé tout le quartier dans la stupeur. Une écolière de 13 ans, élève en CM1, a été victime d'un viol en plein jour, un crime odieux qui a conduit à l'arrestation d'un homme de 47 ans.
Relations homosexuelles : un commerçant prend cher, son "partenaire" écope de trois mois de prison
P. A. Ndoye a été déféré au parquet par le commissariat d'arrondissement de la Médina, pour viol et détournement de sa cousine, M. Ba, élève en classe de 3e, âgée de 15 ans. L'affaire a éclaté au grand jour au courant du mois août 2025.
À l’occasion de la Journée internationale de la jeune fille, le Sénégal a accueilli les 10 et 11 octobre 2025 le « Sommet des Filles de l’Afrique de l’Ouest et du Centre », une rencontre régionale inédite organisée par et pour les filles.
La bourgmestre allemande qui a été grièvement blessée mardi lors d’une attaque au couteau dans sa ville de Herdecke, a accusé sa fille adoptive de 17 ans d’être l’auteure des faits.
Une vendeuse d'arachides grillées s’est affalée sur le trottoir, devant une foule médusée, après le passage d’une équipe de déguerpissement, à la rue Assane Ndoye.
Une affaire de vol a conduit au défèrement d'une mineure devant le Tribunal de Grande Instance de Pikine-Guédiawaye. K.M., 17 ans, élève en classe de 4e, a été déférée hier jeudi par la Brigade territoriale de gendarmerie de la Zone franche industrielle pour vol au préjudice de son employeure.
Sédhiou : Une collégienne de 14 ans retrouvée pendue dans sa chambre
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs"
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
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En cette matinée d’ouverture des classes, le lycée de Keur Massar baigne à fond dans l’ambiance de la réouverture des classes.
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Le patron de Telsa a appelé ses 227 millions d’abonnés sur X à quitter la plateforme, en réaction à la série animée «Dead End: Paranormal Park», qui suit les aventures d’un adolescent transgenre.
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