Pire : Le Khalife Serigne Pape Abdou Cissé préoccupé par la cohésion sociale dans le pays
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Pire : Le Khalife Serigne Pape Abdou Cissé préoccupé par la cohésion sociale dans le pays
CRD Gamou Pire 2025 : Le gouverneur mise sur les mesures préventives avec l’apparition de cas de FVR et de dengue
Le site de l'ancien "tata" de l'Almamy Maba Diakhou BA à Nioro du Rip fait peau neuve, avec un institut islamique portant le nom de cette figure musulmane.
Serigne Mountakha Mbacké a reçu ce samedi un hôte de marque à Touba
A la suite du rappel à Allah SWT de Sokhna Aïda Dème, épouse de Serigne Cheikh Tidiane Sy Al Maktoum, le Khalif General des Tidianes Serigne Babacar Sy Mansour a été ce Jeudi 12 novembre 2020 aux alentours de 12H, à Fann Résidence, pour présenter ses condoléances à la famille d’Al Maktoum.
Devant la délégation gouvernementale conduite par le ministre Oumar Youm qui était accompagné des ministres Oumar Guèye, Mariama Sarr, Youssou Touré, Serigne Abdou Fatah a plaidé, publiquement, pour la cause de Serigne Assane Mbacké Atekh. Le jeune chef religieux séjourne à la maison d'arrêt et de correction de Diourbel depuis plus de 150 jours.
Aujourd’hui, j’ai 45 ans. Je n’ai pas à me plaindre de ce que Dieu dans sa magnanimité m’a donné depuis cette nuit où je suis né à l’hôpital Abass Ndao. Je n’en retiens que les hommes et les femmes que j’ai croisés et qui m’ont toujours couvert d’affection. Je les remercie pour leur sollicitude, surtout lors de l’épreuve que je viens de traverser. Voici, en exclusivité, les pages que je leur ai consacrées dans « Ces goulots qui étranglent le Sénégal », mon livre qui paraît à Paris dans les prochains jours.
Le colloque international sur Cheikh Oumar Foutiyou Tall, organisé dans le cadre de la ziarra annuelle dédiée à Thierno Seydou Nourou Tall et à Thierno Mountaga Tall, ouvert samedi au Grand Théâtre, a pris fin hier. Au cours de la cérémonie d’ouverture, le président de la République Macky Sall a indiqué qu’il fera en sorte que l’histoire d’illustres Sénégalais soit intégrée dans les programmes scolaires (école primaire, collège et lycée) du pays. Selon lui, il est temps que la jeunesse sénégalaise s’inspire du courage, du patriotisme, de l’enracinement et de l’ouverture des dignes fils du pays.
Macky Sall et l’ancien ministre d’Etat, Karim Wade s’acheminent-t-ils vers un protocole signé à Reubeuss comme cela a été le cas entre l’ex-président Wade et le leader de Rewmi, Idrissa Seck ? En tout cas, les appels et rencontres pour la libération du fils du Pape du Sopi en prison depuis plus de six mois se multiplient. Mais le chef de l’Etat semble ferme sur le principe de la séparation des pouvoirs.
Les premiers verrous qui avaient cadenassé les listes des investitures des différentes coalitions et partis politiques aux élections législatives du dimanche 1er juillet prochain commencent à sauter un par un. Ils laissent échapper les premiers secrets jusque-là bien gardés et annoncent les premiers clashes post-investitures. Les positions des uns et des autres créent déjà un malaise dans les états-majors politiques. La publication légale des listes, fixée aujourd’hui à minuit, va provoquer des bouderies, démissions et autres menaces de vote-sanction de nombre de responsables. En attendant, L’Observateur vous livre quelques primeurs et succulences des listes en compétition.
Dernier disciple à être élevé au rang de Cheikh par Serigne Saliou Mbacké, le 28 juillet 2007, Cheikh Abdoulaye Camara est né en Casamance, à Ziguinchor en 1962. Marabout moderne comme il aime à se définir, il se prononce sur la vie politique et sociale du pays. Sans faire dans la langue de bois. Wal Fadjri : Qui est Cheikh Abdoulaye Camara ? Cheikh Abdoulaye Camara : Je suis un Sénégalais qui draine du monde grâce à Serigne Saliou Mbacké. Je suis le petit-fils de Mame Ass Camara (Saint-Louis) et le dernier Cheikh de Serigne Saliou Mbacké. J’ai été porté au rang de Cheikh le 28 juillet 2007.
Lorsque le 19 mars 2000, le candidat du FAL (Front pour l’Alternance) Abdoulaye Wade réussit à déboulonner le candidat du PS (Parti socialiste) Abdou Diouf à l’issue du second tour de la présidentielle, une page entière de l’histoire du Sénégal était tournée. L’événement est d’autant plus historique que les Socialistes ont régné sans partage à la tête du Sénégal depuis son accession à l’indépendance et que l’alternance s’est déroulée dans un esprit démocratique exemplaire. Retour sur les péripéties d’un événement démocratique fondateur. « Il faut le réveiller, dites lui que c’est le Président de la République qui veut lui parler. C’est très important ! » Quelques heures plus tard, il revient à la charge : « Je vous félicite Abdoulaye, vous avez gagné l’élection présidentielle ! »
Le camp du Pm affolé accuse le ministre Farba Senghor et investit la presse Le camp adverse ramasse les cartes des électeurs et fait bloc contre le Pm Le département de Guinguinéo a-t-il basculé du côté des mécontents du Premier ministre, Me Souleymane Ndéné Ndiaye? Tout laisse à le faire croire. Depuis quelques jours, les alliés du Premier ministre multiplient les points de presse et sillonnent tout le département, à coups de billets de banque, pour faire revenir, en vain, tous les principaux responsables et militants qui se sont détournés de lui.
Touba, une chase gardée de Wade? En tout cas, le Chef de l'Etat tient à la ville sainte comme à la prunelle de ses yeux. Et s'il est avéré que tout amour fou exclut un quelconque partage, il n'a jamais gobé que ses seconds respectifs, Idrissa Seck puis Macky Sall puissent tisser leur toile dans ce milieu maraboutique si puissant : c'est la raison principale de ses différends avec les maires de Thiès puis de Fatick. Puisqu'il leur a toujours intimé l'ordre" de ne pas se rendre à Touba parce c'est son fief". Le 07 Octobre dernier, à l'occasion de la visite de Macky Sall à Taif chez Serigne Abdou Fatah Mbacké, khalife de Serigne Cheikh Gaindé Fatma, une "confidence" a échappé de la bouche de certains interlocuteurs du marabout.
L’un et l’autre ont été tour à tour Premier ministre. « Station », qu’ils cumulaient à la désormais « maudite » position de numéro 2 du Parti démocratique sénégalais (Pds). L’un et l’autre ont également connu la gloire, sous l’ombre tutélaire de leur « maître » et « père », avant d’être poussés vers les « enfers » ; pour s’être trop rapprochés du « pape du sopi » : Me Abdoulaye Wade. Mais, loin de celui-ci, Idrissa Seck n’est pas Macky Sall ; et vice-versa. En effet, si le premier nommé a entrecoupé ses longs silences des premières années de braise par des déclarations fracassantes, voire « scandaleuses », pour l’instant Macky Sall souffre et endure sa « déchéance ».
Le Témoin - Le 7 mai 2006, à la mosquée du Point E, un forum portant sur la " dégradation des mœurs et le non-respect des valeurs religieuses dans les médias " avait été organisé. À l’issue de ce forum, un comité de suivi avait été mis sur pied. Depuis lors, ledit comité a, conformément aux recommandations de l’assistance relevée qui avait assisté à ces " assises de la moralisation et de l’assainissement ", mené un certain nombre d’activités à des fins d’élargissement et d’approfondissement de la réflexion. Des contacts et des échanges fructueux ont aussi eu lieu avec l’ensemble des chefs religieux ainsi qu’avec des autorités politiques, administratives et coutumières.
Le Sénégal est, décidément, un grand pays de liberté. Chacun se fait sa propre lecture du Coran, choisit sa propre date pour la Tabaski. Ceux qui ratent cette grande fête nationale peuvent toujours se rattraper. Dieu, nous ayant sorti de la cuisse de Jupiter, l’a prévu en trois jours pour nous autres, grands polémistes. Il n’y a donc aucune raison de se crêper le chignon, si ce n’est pour l’apparition de la lune. Là aussi, dans ce petit périmètre du monde où les gens ont l’œil toujours rivé sur le nombril, une autre singularité. Certains voient la lune au ciel, pendant que d’autres ont l’oreille collée à la bouche du khalife du coin. C’est d’autant plus vrai que quand le marabout-consultant Junior a lancé son appel pour prier vendredi, il ne s’est pas adressé aux musulmans.
Faucon parmi les faucons du palais, Souleymane Ndéné Ndiaye est aussi un homme assez sulfureux. Dans cette interview qu’il nous a accordée hier dans son bureau sis au secrétariat général de la présidence de la République, le directeur de cabinet du président de la République évoque, malgré lui, l’affaire Idrissa Seck. Pour marteler avec force que l’ancien Premier ministre est toujours sous inculpation et qu’il ne peut pas posséder de titres de voyages. Le ministre d’Etat auprès du président de la République avertit aussi les journalistes « incorrects » qu’ils s’exposent à des corrections dont ils ne précisent pas la nature. Souleymane Ndéné Ndiaye tire à boulets rouges sur les candidats de la société civile qu’il qualifie d’hypocrites et nie avoir un quelconque rôle dans le « protocole de Rebeuss »