Pire Goureye : Une bourgade longtemps habitée par des bergers peuls
il y a 1 mois
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Pire Goureye : Une bourgade longtemps habitée par des bergers peuls
Premier foyer religieux du Sénégal, la sainte cité de Pire Goureye, un monument dans l’enseignement coranique et dans la formation d’élites, avec plus de 400 ans d’existence, au nord-ouest du Sénégal, dans l'ancien royaume du Cayor, est un haut lieu de l'enseignement islamique du département de Tivaouane, dans la région de Thiès.
Plus de 100 journalistes sont debout pour défendre le groupe de presse Walfadjri. Ils ont signé, ce jeudi 8 février, une pétition pour «exiger immédiatement de l’État le rétablissement du signal de Walf TV et la fin du harcèlement des journalistes au Sénégal ».
Sur sa page Facebook, Abdourahmane Diouf, regrette de ne pas pouvoir tenir le symposium prévu par son parti à l’Université Cheikh Anta Diop
Dans un post sur Facebook, Dr El Hadji Abdourahmane Diouf dénonce l'attitude du recteur de L'UCAD qui a refusé de mettre à leur disposition la salle Khaly Amar Fall.
Cette rencontre avec les journalistes devait se tenir à 11 h, à l’auditorium Khaly Amar Fall...
Dans un post sur Facebook, Dr El Hadji Abdourahmane Diouf dénonce l'attitude du recteur de L'UCAD qui a refusé de mettre à leur disposition la salle Khaly Amar Fall.
Cette rencontre avec les journalistes devait se tenir à 11 h, à l’auditorium Khaly Amar Fall...
26 septembre 2002-26septembre 2015. Il y a 13 ans, le Joola chavirait aux larges des côtes gambiennes. Malgré le temps, la douleur est aussi vive dans les cœurs des familles des 1 863 personnes disparues tragiquement. Cette année, la Tabaski risque d’éclipser les commémorations de cette tragédie qui hantera l’histoire du Sénégal éternellement. Le Quotidien a décidé «d’ouvrir le ventre de l’Atlantique» en publiant la liste des victimes pour lutter contre l’oubli.
Le Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (Saes) appelle ses militants à observer un débrayage les lundi 12, mardi 13 et mercredi 14 janvier 2015 à partir de 9 heures. Ce, à la suite de son Conseil syndical national tenu le samedi 10 janvier 2015 à Dakar, informe un communiqué du Saes reçu à Seneweb.
Le président de la République, Macky Sall vient de séjourner à Thiès pour les besoins du Conseil des ministres dit décentralisé. A l’issue de cette rencontre, l’Etat avait, on se le rappelle, sorti une batterie de mesures pour la modernisation des foyers religieux de cette région du pays.
Le Collectif pour la réhabilitation de la grande mosquée de Pire a célébré samedi les 400 ans de l’édifice ainsi que sa célèbre université, créés en 1611, qui ont été des symboles du rayonnement de la cité sainte dans le domaine de l’enseignement du coran et des sciences arabo-islamiques.
La ville de Pire fête les 400 ans de sa grande mosquée le 07 Mai prochain. Cette année le thème choisi est « Célébration des 400 ans de la grande mosquée de Pire. Quelles significations donner à l’évènement ? Que représente un tel héritage ? Que devrions –nous en faire ? »
Après que notre maître, le Prophète Mohamed (PSL), a migré à Médine, sa première action fut de construire une mosquée, qui devint le centre de la vie sociale et religieuse. Cette mosquée peut être perçue comme le point d’origine de la naissance de la civilisation et de l’histoire islamique. Toutes les mosquées du monde la prennent comme modèle.
Le chef de l’Etat va contribuer au financement de l’achèvement des travaux de la grande mosquée de Tivaouane. La révélation est du porte-parole du Khalife général des Tidjanes, Serigne Abdou Aziz Sy Al Amine, en marge de la cérémonie officielle marquant la 108e édition du Gamou de Pire.
Les daaras, au Sénégal, constituent, depuis l’introduction de l’Islam, le centre d’éducation, par excellence, qui a formaté des millions de personnes des deux sexes, en les dotant d’une conscience islamique ferme et résolue, d’une vision de Dieu, du monde, de la société, de l’être humain, de la parenté, des relations interpersonnelles, du commerce humain, des activités économiques et de la sociabilité, fondées sur des valeurs fortes et un humanisme élevé, tirant leur substance des prescriptions du Coran et de la Sunna du Prophète Muhammad (PSL).
Le Gouvernement de l’Alternance vient de mettre un terme à la plus grande des injustices, que notre pays ait jamais connue. En décidant de rédiger un arrêté général portant reconnaissance de l’ensemble des écoles coraniques du Sénégal, de manière que l’Etat puisse, désormais, les assister dans leur mission d’éducation, le pouvoir issu des élections du 19 mars 2000 a définitivement rompu avec un passé fait d’exclusion et de discrimination, dont la responsabilité, par delà le défunt régime, incombe à toute la nation sénégalaise. Après la bataille implacable que le système colonial a engagée contre les écoles coraniques, depuis Faidherbe, jusqu’à la fin du 19e siècle, aucun des hommes politiques qui se sont succédé n’a essayé de renverser cette tendance totalement incompréhensible
