Le parquet financier a saisi la Dic pour une enquête relative au litige entourant le Titre foncier 1451/R, connu sous l’appellation «affaire des 94 milliards».
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Le parquet financier a saisi la Dic pour une enquête relative au litige entourant le Titre foncier 1451/R, connu sous l’appellation «affaire des 94 milliards».
Les magistrats de la Cour de répression de l'enrichissement illicite (Crei) ont cessé de travailler depuis 2018.
L'ancien ministre des Affaires étrangères sous Wade, Me Madické Niang, peut désormais vaquer à ses occupations et voyager à sa guise.
Le président de la Cour de répression de l'enrichissement illicite (Crei), Henry Grégoire Diop, a délivré un mandat d'amener contre le patron de l'entreprise Sattar, Mbaye Sy Diop, informe “Libération”. Selon le journal, si la Crei a été obligée de prendre une telle mesure, c'est que Mbaye Sy Diop, bien que régulièrement cité à comparaître “comme témoin”, ne s'est pas présenté à la Cour et n'a fourni aucune explication pour justifier son absence.
Les sujets de gouvernance, en lien avec l'actualité judiciaire dans certains cas, sont les plus en vue dans la livraison de mardi de la presse quotidienne. L'Observateur, par exemple, annonce la fin des délais pour les déclarations de patrimoine des ministres et assujettis auprès des services de l’Office nationale contre la corruption et la fraude (OFNAC). Le journal assure par conséquent d'un "début des sanctions".
Le Général Lamine Cissé, devant les juges d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), a révélé comment il a été spolié de son bail de 50 ans sous Wade. C’est ce que révèle le quotidien «Libération» qui renseigne que cette spoliation a été faite au profit de la Famille Bourgi.
Issa Coulibaly, le jardinier de l’ancien Directeur du Cadastre, a été envoyé à la prison de Rebeuss, hier, non pas pour complicité d’enrichissement illicite, mais pour viol suivi de grossesse sur la fille de son patron âgé de 15 ans. Issa, jardinier vivant au domicile de l’ancien Directeur du Cadastre, a, en effet,
Après Karim Wade et Cie, ce sera au tour de Tahibou Ndiaye, l’ancien Directeur du Cadastre, de faire face à la Cour de répression de l’enrichissement illicite.
Après sa libération par la Commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei), l’ancien Directeur du Cadastre, Tahibou Ndiaye, va saisir la Cour suprême. Il veut s’attaquer à la décision de cette commission d’instruction qui a prolongé l’instruction de 3 mois. «Ils ont prolongé leur instruction de trois mois.
Pourquoi après trois décisions de justice en sa faveur, Thierno Ousmane Sy reste en prison ? La question intrigue et dévore la justice sénégalaise. Le débat entre magistrats sur la question traverse les temples de la Justice. Le cas TOS se mesure en réalité sur une guéguerre qui opposerait deux camps. Celui piloté par l’ancien Garde des Sceaux Mimi Touré qui, malgré sa nomination à la Primature, continue d’avoir la main haute sur le ministère de la Justice à travers le secrétaire général le magistrat Mansour Tall,et le camp du titulaire du département, Me Sidiki Kaba, qui donne l’impression d’un simple faire-valoir.
Le Garde des Sceaux Sidiki Kaba s’est prononcé conditionnelle accordée hier à l’ancien directeur du Cadastre, Tahibou Ndiaye. En visite à la Mac de Thiès ce mercredi, le ministre de la Justice a annoncé le procès de Tahibou Ndiaye pour les jours qui viennent. Cette libération, dit-il, « fait partie d’un acte de procédure (…) il a été arrêté au mois de décembre, cela fait six mois. Les enquêtes ont été faites et les juges ont estimé qu'ils pouvaient lui accorder cette liberté provisoire. Mais il faut retenir qu'il est sous contrôle judiciaire; ses biens sont saisis et il sera jugé prochainement », a promis le ministre.
Le placement sous contrôle judiciaire de l'ancien directeur du Cadastre, Tahibou Ndiaye, est le sujet en exergue dans les quotidiens reçus mercredi à l’APS, avec la mobilisation de fonds pour le Programme Sénégal émergent (PSE), le Conseil des ministres à Thiès et les bons points du Sénégal auprès des agences de notation Standard and Poor’s et Moody’s.
L’ancien Directeur du Cadastre campe sur sa ligne de défense initiale pour justifier l’offre de matériel à hauteur de soixante-cinq (65) millions de Francs CFA que lui avait fait Roda Derviche qui l’a d’ailleurs confirmé. En sus de Mbaye Diop de Sattar, les juges de la Commission d'instruction de la Crei ont adressé une seconde convocation à Mbaye Gueye d’Emg, renseigne Libération qui précise que, ses sources consentent juste à dire que c’est pour des « vérifications complémentaires ».
Le dossier relatif à l'enrichissement illicite présumé de l'ancien directeur du Cadastre, Tahibou Ndiaye, à hauteur de huit milliards (8 000 000 000) F Cfa, a reçu, hier, un coup d'accélérateur. En effet, nos confrères de Libération informent que la Commission d'instruction de la Cour de Répression de l'Enrichissement illicite (Crei) a entendu les propriétaires respectifs de " Tout pour l'eau " et de Csc, Mor Ndiaye et Roda Derviche. Pour le premier, il s'agissait, pour la Commission d'instruction, de se faire une religion sur les 49% de Tpe que détiendrait Tahibou Ndiaye dans la société.
Les quotidiens parvenus mardi à l’APS semblent grandement préoccupée par le sort judiciaire de Karim Wade, le fils de l’ancien président de la République Abdoulaye Wade, un intérêt renouvelé par de ‘’nouveaux éléments’’ qui ont contribué à reléguer au second plan les comptes rendus de la visite effectuée actuellement au Sénégal par le président malien Ibrahim Boubacar Keïta.
«Quel avenir nous réserve ceux que le Destin a voulu, depuis bientôt deux ans, qu’ils soient aujourd’hui à la tête de notre cher pays !», s’est exclamé, chagriné, un septuagénaire, le poste radio collé à l’oreille, pour ne rien rater des chaudes empoignades, agrémentées de tirs à balles réelles, dignes des duels épiques du Far West, auxquels se sont livré ceux qui sont sensés présider aux destinées de notre cher Sunugal
L’ancien directeur du Cadastre a été extrait et entendu par la Commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei). Sauf que Tahibou Ndiaye n’était pas entendu sur le dossier qui lui vaut son mandat de dépôt mais par rapport à l’affaire Karim, du nom du fils de l’ancien Président, poursuivi, comme lui, pour enrichissement illicite présumé.
Tahibou Ndiaye a demandé à ses avocats de ne plus saisir la Cour suprême, alors que la Commission d’instruction de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) prenait une série de décisions contraignantes le visant.
Oui, qu’ils aillent en prison ! Qu’ils y aillent tous et y croupissent au besoin, si la preuve est formellement établie qu’ils ont dilapidé nos maigres ressources nationales ! Nos prisons sont pleines à craquer d’hommes et de femmes qui y ont été envoyés pour des larcins, comparés aux crimes odieux, insoutenables – jusqu’à preuve du contraire – perpétrés par les anciens dignitaires du régime des Wade.
Tahibou Ndiaye devra, au-delà de ses biens qu’il avait laissés à l’Etat pour échapper à la prison, céder ceux appartenant à son épouse et ses filles adoptives. C’est l’objet de sa convocation de ce matin devant le procureur spécial de la Crei.