Alassane Ouattara a-t-il seulement parlé "une ou deux fois" à l'ancien procureur de la Coup pénale internationale (CPI) Luis Moreno Ocampo, comme il l'a indiqué lundi matin sur RFI ?
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Alassane Ouattara a-t-il seulement parlé "une ou deux fois" à l'ancien procureur de la Coup pénale internationale (CPI) Luis Moreno Ocampo, comme il l'a indiqué lundi matin sur RFI ?
Exclusif: le président ivoirien Alassane Ouattara, présent au 32e sommet de l'Union africaine à Addis-Abeba, en Éthiopie, est l'invité Afrique de RFI.
La Cour pénale internationale a fêté son anniversaire avec une cérémonie, mardi 17 juillet, au siège de La Haye aux Pays-Bas. En 20 ans d’existence, la CPI a compté 26 affaires à son actif, la plupart en phase de procès. Elle a émis 32 mandats d'arrêt pour 15 exécutés et 6 prisonniers en détention.
La procureure de la Cour pénale internationale (CPI) a indiqué lundi qu'il y avait une "base raisonnable" de croire que des soldats britanniques ont commis des crimes de guerre en Irak après l'invasion américaine de 2003. "Suivant une évaluation factuelle et légale minutieuse des informations disponibles, il y a une base raisonnable de croire que des membres des forces armées britanniques ont commis des crimes de guerre par rapport à la juridiction de la Cour" contre des personnes détenues, a indiqué Fatou Bensouda dans son rapport 2017 sur ses activités d'examens préliminaires.
Le site d'information indépendant Mediapart a démarré vendredi 29 septembre la publication d'une série d'articles sur les pratiques de l'ancien procureur de la Cour pénale internationale, l'Argentin Luis Moreno Ocampo. Parmi les révélations du site, un épisode libyen impliquant l'ancien premier magistrat de la CPI
Il y a six ans, jour pour jour en Côte d'Ivoire, le régime de Laurent Gbagbo tombait. L'ancien président est arrêté par les forces pro-Ouattara, puis transféré à la Cour pénale internationale à La Haye où il est jugé depuis un an pour crimes contre l'humanité. Retour en cinq points sur son arrestation et son procès.
Un homme d’influence, l’homme d’affaires soudanais, Mo Ibrahim, à la tête de la fondation du même nom, parle de la démocratie, des défis qui interpellent le continent africain. Dans un entretien à Rfi, il critique à demi-mots la Cour pénale internationale (Cpi), perçue par certains, comme un instrument qui réprime les chefs d’Etat africains.
Coup de théâtre à Pretoria. L'arrestation de Omar El Béchir était improbable. Alors qu'il bénéficiait d'une immunité accordée à tous les participants au sommet de l'Union Africaine (Ua), la justice Sud africaine, saisie par une Ong, a décidé de retenir Omar El Béchir aux fins d'exécuter les mandats d'arrêt internationaux émis contre lui. Avant que la justice ne rende son délibéré, le président soudanais a réussi à s'éclipser.
Depuis 2011, le sort de la famille Gbagbo est entre les mains de la justice. Ecroué à la prison de La Haye de la Cour pénale internationale, l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo est en attente de son procès pour crimes contre l’humanité. Son épouse Simone Gbagbo, également accusée de crimes contre l’humanité, sera prochainement jugée, mais à Abidjan, par un tribunal local. Michel Gbagbo, le fils du président déchu, est pour sa part en liberté provisoire, mais ne peut quitter Abidjan. Retour sur les moments clés de la famille Gbagbo depuis 2010.
A la Cour pénale internationale (CPI), on n'en finit pas de se donner des coups. Après l'émission d'une requête de l'avocat principal de l'ancien président ivoirien, Me Emmanuel Altit, auprès de la Cour, le lundi 3 février 2014, lui demandant de poursuivre l'audience de confirmation des charges, dans l'affaire '' Le Procureur c. Laurent Gbagbo '', la Procureure Fatou Bensouda a réagi le mercredi 5 février à cette requête.
Au pouvoir depuis 1996, Yaya Jammeh dirige la Gambie en maître absolu et d’une main de fer. Il ne supporte ni critique des opposants, a fortiori la presse. Jammeh n’en n’a cure de la liberté d’expression ni des droits de l’homme. Le jour de la fête de l’Aïd-el fitr, il a annoncé à la ville et au monde l’exécution, en mi-septembre, de 47 condamnés à morts. Mais ce n’est pas une première. Une liste de ses quelques victimes circule sur la toile.
Le Sénégal, premier pays qui a ratifié le statut instituant la Cour pénale internationale (CPI), a réaffirmé sa volonté de coopérer avec elle, a annoncé, lundi à Dakar, la procureure générale de cette juridiction, l’avocate gambienne Fatou Bensouda.
« Nous avons des styles différents et, manifestement, des approches différentes ». C’est avec cette déclaration que Fatou Bensouda, 50 ans, a choisi de se démarquer de son prédécesseur, Luis Moreno-Ocampo, procureur de la Cour pénale internationale (Cpi) jusqu’à vendredi 15 juin, peut-on lire dans Jeune Afrique.
130 heures pour inculper ou relaxer l`ancien chef de l’État Tout sur le calendrier de son procès à La Haye C`est une information émanant du Greffe de la Cour Pénale Internationale (CPI). L`audience de confirmation des charges de l`ex-président ivoirien, Laurent Gbagbo, durera 10 jours. Ce (mini) procès qui s`ouvrira le lundi 18 juin 2012 devant la Chambre Préliminaire III, dans la Salle 1, se refermera le vendredi 29 juin 2012 sans discontinuer ; exception faite du week-end (samedi 23 et dimanche 25 juin). Gbagbo sera entendu par la Cour, présidée par la juge argentine Silvia Alejandra Fernandez de Gurmendi, chacun de ces jours susmentionnés, de 09H30 à 16H00. Soit pendant six heures et trente minutes (06H30) par jour. Ce qui fait un total de 130 heures d`audience. C`est en tout cas ce qui ressort du calendrier provisoire des audiences (voir fac-similé) à la Cour Pénale Internationale pour l`année 2012.
Le Premier ministre ivorien Guillaume Soro est à New York où il a notamment rencontré ce jeudi 15 décembre le procureur de la CPI Luis Moreno-Ocampo et celle qui va lui succéder, Fatou Bensouda. La Cour pénale internationale mène actuellement des enquêtes qui pourraient impliquer des membres des Forces nouvelles (FN) dans des exactions. Guillaume Soro assure que toutes les personnes inculpées par la CPI seront livrées par le gouvernement ivoirien.
La Gambienne, choisie par la Cour pénale internationale (CPI) ce lundi, est la première femme africaine à occuper ce poste central dans le fonctionnement de l'instance de justice internationale.
AMSTERDAM (Reuters) - Laurent Gbagbo comparaîtra pour la première fois devant la Cour pénale internationale (CPI) lundi 5 décembre, moins d'une semaine après son transfert à La Haye, a annoncé la CPI.
Le président ivoirien Alassane Ouattara est sur le point d’atteindre son objectif de faire transférer Laurent Gbagbo et plusieurs de ses proches à La Haye avant les législatives du 11 décembre prochain. La CPI finalise la liste de ceux qui devraient l’y accompagner. Une mission du bureau du procureur argentin Luis Moreno Ocampo est depuis le 11 novembre à Abidjan pour étudier les conditions du transfert de plusieurs personnalités ivoiriennes, accusées de crimes contre l’humanité et de crimes de guerre, devant la Cour pénale internationale (CPI). «La procédure doit maintenant aller très vite, explique Jean-Paul Benoit, avocat conseil de la République de Côte d’Ivoire.
La femme de loi gambienne Fatou Bensouda pourrait succéder à Luis Moreno-Ocampo au poste de procureur général de la Cour pénale internationale (CPI). Le juge tanzanien Mohamed Chande Othman est également candidat.Forte d’un parcours exemplaire, Fatou Bensouda, la cinquantaine élégante, est donnée favorite pour succéder à Luis Moreno-Ocampo, procureur général de la Cour pénale internationale (CPI), dont le mandat s’achève en juin 2012. Cette femme de loi gambienne fait partie des quatre personnalités sélectionnées par le comité chargé du recrutement du prochain procureur qui a examiné les dossiers de cinquante-deux candidats.
RÉCIT | Un proche raconte les dernières semaine du Guide piégé à Syrte. Déprimé et inquiet, Kadhafi était contraint de déménager quasi quotidiennement.