Affrontements à Sandaga: Les marchands ambulants sur le pied de guerre
il y a 1 an
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Affrontements à Sandaga: Les marchands ambulants sur le pied de guerre
Guy Marius Sagna et Cie sont les plus chanceux. Eux, qui ont finalement humé l’air de la liberté depuis mardi dernier pour des faits de participation à une manifestation non autorisée et actions diverses...
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«Civisme : quelles stratégies pour lutter contre l’encombrement des voies et espaces publics ?»
Dans un entretien avec la Rfm, le directeur des Transports routiers Cheikhou Omar Gaye est revenu sur le nouveau projet de numérisation des plaques mais également il a révélé que les acteurs du marché des anciennes plaques d'immatriculation seront impliqués sans ce nouveau projet.
Les ordures ménagères envahissent le pont de l’émergence, situé entre les communes de Grand-Médine, Pattes d’oie et Parcelles assainies. Malgré les 30 tonnes d’ordures enlevées par jour par l’Entente Cadak-Car, le dépôt sauvage continue à accueillir la saleté déversée par des charretiers.
Deux blessés graves et quelques interpellationsLa gare de Petersen a été le théâtre d’affrontements, hier, entre marchands ambulants et volontaires de la mairie de Dakar Plateau. Les tabliers ont enregistré deux blessés et des interpellations par la police.
Des représentants de tabliers et marchands ambulants récemment déguerpis de la gare routière Petersen, au centre-ville de Dakar, annoncent un plan d’action dans ‘’les jours à venir’’, s’ils ne sont pas recasés, entre temps.
Depuis ce dimanche matin, au lendemain de la fête de Korité, les engins et les agents de la mairie du Plateau, renforcés par un dispositif sécuritaire, ont pris d'assaut la gare routière Petersen pour la débarrasser de ses installations anarchiques. Les opérations de déguerpissement ont repris et le maire de la localité, Alioune Ndoye, a promis d'aller jusqu'au bout.
Les marchands ambulants du marché Saint-Maur de Boucott, dans la commune de Ziguinchor ont été sommés par la mairie de la ville de déguerpir.La municipalité les accuse d’occuper la voie publique. Mais, les services de l’ancien ministre, Abdoulaye Baldé ont dû avoir du souci. Puisque, tôt ce lundi, informe-t-on, les marchants ambulants ont pris d’assaut la mairie pour exiger des autorités municipales des explications. Ils disent n’avoir pas reçu de mise en demeure.
L’Association SOS centenaire-Gibraltar, en phase avec les pouvoirs municipales sur le déguerpissement des marchands ambulants qui occupaient anarchiquement ce boulevard, a invité, dimanche, les autorités du pays à un suivi continuel de cette mesure afin d'éviter que les commerçants ne reviennent occuper à nouveau les lieux.
Le directeur général de l'Agence des aéroports du Sénégal (ADS), Pape Maël Diop, a annoncé des mesures visant à renforcer la sécurité des aéroports sénégalais, celui de Dakar en particulier, pour leur permettre de se conformer aux standards internationaux et de contribuer au développement du tourisme.
VIDEO - Au Fond Des Choses : A la découverte des Marchands Ambulants
Dans leur élan de protestation contre le recasement des anciens locataires du marché de Sandaga devant le Palais de justice de Dakar, les travailleurs du secteur de la justice ont pris la décision de paralyser l'intégralité du systéme judiciaire demain. L'Ums ( Union des Magistrats du Sénégal), le Sytjust (Syndicat des Travailleurs de la Justice), ainsi que le Barreau de Dakar, tous unis, s'opposent à la volonté du préfet de recaser les commerçants de Sandaga en face du temple de Thémis.
Khalifa Sall est prévenu. Les marchands ambulants qui ruminent toujours leur colère contre l’édile de Dakar qui les a déguerpis des artères de sa ville, sont loin de désarmer. A travers un plan qu’ils ont nommé « simpi » autrement dit, « déraciner », technique utilisé par le lutteur Gouy Gui qui soulève ses adversaires avant de les laisser tomber, ils comptent le combattre, non pas par la violence mais tout simplement par la voie des urnes. Et ce, pas plus tard que les prochaines élections locales qui pointent à l’horizon 2014. L’appel pour un vote massif contre le responsable socialiste candidat à sa propre succession à la mairie de Dakar est même lancé depuis hier.
«Deux heures déjà qu’elle fait les cent pas, et toujours pas un rond dans le sac». Cette photographie instantanée de soirée maussade d’une prostituée captée par l’objectif du groupe de rap IAM n’a pas jaunie, même plus de quinze ans après. Seul le décor s’est précisé. La place du laconique universel «trottoirs glauques, bars sales, bagarres d’ivrognes» est remplacée par la grande artère du boulevard Barbès de Paris. Un lieu investit jours et nuits, de manière plus discrète, par une prostitution venue principalement d’Afrique.
La guerre de positionnement fait rage à la mairie de Dakar en vue des élections locales 2014. Décidé à laisser son empreinte dans la capitale sénégalaise dont il occupe le fauteuil de maire, Khalifa Sall fait face à des coups bas. Dernièrement, la Direction pour la Surveillance et le Contrôle des Sols (DESCOS) lui a servi une sommation d’arrêt des travaux de pavages de la corniche Ouest au moment où l’Etat tarde à apporter une réponse concrète à la lancinante question du recasement des marchants ambulants.
Les marchants ambulants ne seront plus les seuls expropriés. A cause de la réforme foncière prévue par l’Etat, les cultivateurs et producteurs maraîchers de la zone des Niayes, ont la peur au ventre. En effet, pour ces derniers, le fait que les industriels commencent à s’implanter sur les lieux, l’espoir n’est plus permis. C’est pourquoi, certains d’entre eux qui ont peur d’être expropriés sont en train de vendre leurs terres tandis que d’autres qui n’ont pas dit leur dernier mot, ont dénoncé leur mise à l’écart dans le processus de révision foncière.
Ils ont été très virulents contre leurs délégués hier à l'occasion de la manifestation contre les sommations et les menaces de déguerpissement brandies par la ville de Pikine. Pour les commerçants qui ont battu le macadam en arborant des brassards rouges, « personne ne va quitter les rails à la date du 15 avril 2013 » comme exigé par la ville qui souhaite les voir intégrer le complexe commercial.
Des centaines de manifestants ont passé la nuit devant le palais présidentiel au Caire pour protester contre des décisions de Mohamed Morsi jugées antidémocratiques, après des manifestations d'une ampleur sans précédent depuis la révolte ayant conduit à la chute de Hosni Moubarak.
