La violence explose, les élites détournent le regard (par Adama Ndiaye)
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La violence explose, les élites détournent le regard (par Adama Ndiaye)
Le Conseil des diffuseurs et éditeurs de presse du Sénégal (Cdeps) met l’État face à ses responsabilités.
La Cour suprême a ordonné, ce jeudi 12 juin 2025, la suspension de la notification de cessation de parution du média Public SN de la journaliste Aïssatou Diop Fall.
A la Une des journaux de ce vendredi, on retrouve encore une pratique qui désormais n’a rien de nouveau au Sénégal.
Le député Amadou Ba s’exprime sur la polémique entourant la régularisation du secteur de la presse.
Les autorités sénégalaises ont lancé une opération de mise en conformité du secteur médiatique, s’appuyant sur les dispositions du Code de la presse, selon Habibou Dia, directeur de la Communication.
Le ministère de la communication a décidé de faire face à la presse ce vendredi suite à la polémique née de l’interdiction de diffusion des médias non reconnus par le département de tutelle. Alioune Sall et ses services vont parler de la publication du Rapport sur la restructuration des médias.
Dans un communiqué, le groupe Challenge New Media (CNM) informe l’opinion publique nationale et internationale qu’il a reçu une notification émanant de la Direction de la Surveillance du territoire, l’enjoignant de « cesser sans délai toute parution, toute diffusion », sous peine d’encourir les sanctions prévues aux articles 194, 195 et 200 du Code de la presse.
Le ministre de la Communication, Alioune Sall, écrit à son homologue de l'Intérieur, général Jean Baptiste Tine.
Les huit sites d'informations en ligne qui n'avaient pas été reconnus par l'État ont été repêchés.
Le site d'informations Dakaractu et les autres médias non reconnus peuvent encore espérer se retrouver dans la liste des médias autorisés par l’État du Sénégal. En effet, le directeur de la Communication vient d’annoncer sur la RFM que de nouvelles vérifications seront faites les prochains jours.
Le monde médiatique sénégalais, déjà mis à l’épreuve par les défis économiques et les enjeux de régulation, connaît un nouvel épisode pour le moins troublant.
Des faits marquants, il n’en a pas manqué au Sénégal en 2024. Que ce soit en politique, en société, en sport, ou encore dans le secteur des médias, 2024 n’a pas du tout été de tout repos au Sénégal.
Dans un communiqué, le ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, Alioune Sall, révèle avoir reçu
Le ministre de la Communication, Alioune Sall, a publié ce mardi une liste des 112 médias reconnus par l’État sur les 535 recensés, provoquant des réactions mitigées parmi les acteurs du secteur. Cette démarche, perçue comme une tentative d’encadrement, suscite un débat sur la liberté de la presse garantie par l’article 11 de la Constitution sénégalaise.
La publication de la liste des médias reconnus par le gouvernement du Sénégal a suscité une vive polémique.
Mamadou Ibra Kane, Président du Conseil des éditeurs et diffuseurs de presse du Sénégal (CDEPS) a déploré, ce mardi 3 décembre lors d’une conférence de presse, la volonté du nouveau régime de liquider les entreprises de presse.
C’est une Maimouna Ndour Faye en colère qui s’est adressée à la presse après la publication par le ministère de la Communication et du Numérique de la liste des médias en conformité avec les dispositions du Code de la Presse.
Le ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, Alioune Sall, a donné un ultimatum aux médias non conformes au code de la presse, de se régulariser d’ici la fin de la semaine.
Ce mardi, le ministre de la Communication, Alioune Sall, a publié la liste des médias qui respectent le code de la presse et qui sont, par conséquent, reconnus par l'Etat