La Première Dame du Sénégal, Madame Marie Khone Faye, participe à la 12ᵉ Édition du Merck Foundation Africa Asia Luminary 2025. Rencontre qui se tient à Banjul, en Gambie.
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La Première Dame du Sénégal, Madame Marie Khone Faye, participe à la 12ᵉ Édition du Merck Foundation Africa Asia Luminary 2025. Rencontre qui se tient à Banjul, en Gambie.
Par le biais de sa fondation, le Port autonome de Dakar (PAD) a doté le centre de santé de Bignona d’une salle de radiographie numérique
Relations homosexuelles : un commerçant prend cher, son "partenaire" écope de trois mois de prison
Affaire du jeune joueur qui accuse son coach d'arnaque et d'abus sexuels : La Cour a rendu son verdict
Italie : un Sénégalais poignardé à mort après une violente dispute avec sa femme, le suspect partageait…
Membre du pool d’avocats de Farba Ngom, Me Babacar Cissé est revenu, en conférence de presse, sur la question du dossier médical de son client. Et c'est pour affirmer que Farba est malade et que le jour de son inculpation, il est venu avec un dossier médical qu'il a présenté au juge, qui pas tenu compte.
P. A. Ndoye a été déféré au parquet par le commissariat d'arrondissement de la Médina, pour viol et détournement de sa cousine, M. Ba, élève en classe de 3e, âgée de 15 ans. L'affaire a éclaté au grand jour au courant du mois août 2025.
Le tambour major du lutteur Ada Fass est dans de beaux draps à la suite de son arrestation par les policiers du Commissariat d'arrondissement de la Médina.
Par le biais de sa fondation, le Port autonome de Dakar (PAD) a équipé le centre de santé de Bignona d’une salle de radiographie.
En ce mois d'octobre dédié à la lutte contre le cancer du sein et du col de l’utérus, beaucoup de gens mène des activités de sensibilisation pour apporter leur pierre à l'édifice
Le président américain est en «excellente» forme, a annoncé la Maison-Blanche après une visite médicale «de routine» ce vendredi.
Cataracte : Dr Badiane alerte sur les charlatans des réseaux sociaux
Un passager de Qatar Airways, végétarien, meurt étouffé après avoir reçu un plateau-repas avec de la viande : sa famille porte plainte
Le 9 septembre, la nouvelle ministre de la Santé suédoise, Elisabet Lann, a été victime d'un malaise lors d'une conférence de presse à laquelle elle participait avec d'autres membres du gouvernement. Les images ont été largement partagées sur les réseaux sociaux, notamment sur TikTok, où certains utilisateurs ont affirmé que l'incident avait eu lieu juste après que la ministre eut révélé face à la presse une prétendue relation amoureuse secrète avec Emmanuel Macron. Mais la ministre n'a pas tenu de tels propos, et elle explique avoir été simplement victime d'une crise d'hypoglycémie.
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs"
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
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