Suite aux nombreuses publications du député Cheikh Bara Ndiaye sur « la crise » au sommet de l’État, Lababa Faye recadre le parlementaire.
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Suite aux nombreuses publications du député Cheikh Bara Ndiaye sur « la crise » au sommet de l’État, Lababa Faye recadre le parlementaire.
La caravane médicale du Mouvement des cadres patriotiques (Moncap) continue de sillonner la Casamance, en ce mois d’Octobre rose dédié à la sensibilisation et à la lutte contre les cancers du sein et du col de l’utérus.
Au Sahel central, la guerre de l’information dépasse le simple affrontement médiatique, révélant des enjeux politiques et géopolitiques majeurs. Dans cette région en crise, l’information devient une arme stratégique au service d’intérêts locaux et internationaux souvent opposés.
« Diomaye moy Sonko ».
Depuis ce dimanche soir, sa photo et son nom font le tour de la toile.
Depuis ce dimanche soir, sa photo et son nom font le tour de la toile. Bassirou Diomaye Faye est "intronisé" par Ousmane Sonko, pour porter le "projet" de l'ex-Pastef en perspective de la présidentielle de février 2024. Du moins dans cette phase des parrainages. Ce qu'il faut savoir sur ce "clone" du maire de Ziguinchor, qui l'a rejoint en prison.
Le Premier ministre malien a été hospitalisé dans une clinique de Bamako après avoir eu un malaise, ont indiqué à l'AFP un de ses conseillers et un médecin de la clinique où il a été admis.
« Ce que Bassirou Diomaye n’a pas dit! » Tel le titre du texte du Secrétaire national à la communication de Pastef, El Malick Ndiaye, suite à celui du président du mouvement national des cadres patriotiques.
Les « menaces » de l’ex-junte
Je ne me reconnais plus dans le parti qui m’a donné envie de me battre pour le retour du progrès social, de l’éthique, d’une justice sociale et d’un Sénégal de tous - LETTRE DE DEMISSION DE BOCAR FOFANA
« Ce que Bassirou Diomaye n’a pas dit! » Tel le titre du texte du Secrétaire national à la communication de Pastef, El Malick Ndiaye, suite à celui du président du mouvement national des cadres patriotiques.
Les quotidiens parvenus mardi à l’APS évoquent principalement une dynamique de recomposition de l’espace politique sénégalais, à l’initiative du président de la République Macky Sall, une perspective qui masque toutefois difficilement les remous au sein de l’Alliance pour la République (APR), le parti présidentiel.‘’Macky (Sall) crée l’Alliance pour la majorité présidentielle’’
Les cadres du Port, regroupés en collectif dénommé « Cadres patriotes » ont dans un document parvenu à la presse, dénoncé les méthodes, « peu orthodoxes de Cheikh Kanté (Dg du Port) ». « C’est le cas d’un projet de dix milliards de F Cfa pour une plateforme de services à Fatick, la région du président de la République », renseigne le collectif des « cadres patriotes ». De l’avis de ces agents, « Ce projet, sans rapport aucun avec l’économie maritime et encore moins avec la compétitivité du port de Dakar, va engloutir dix milliards de nos francs sans aucune étude sérieuse », explique le document. La circulaire évoque « cette volonté de recruter 317 agents de sécurité soit prés de 40% de l’effectif total actuel ».
Lorsque le 19 mars 2000, le candidat du FAL (Front pour l’Alternance) Abdoulaye Wade réussit à déboulonner le candidat du PS (Parti socialiste) Abdou Diouf à l’issue du second tour de la présidentielle, une page entière de l’histoire du Sénégal était tournée. L’événement est d’autant plus historique que les Socialistes ont régné sans partage à la tête du Sénégal depuis son accession à l’indépendance et que l’alternance s’est déroulée dans un esprit démocratique exemplaire. Retour sur les péripéties d’un événement démocratique fondateur. « Il faut le réveiller, dites lui que c’est le Président de la République qui veut lui parler. C’est très important ! » Quelques heures plus tard, il revient à la charge : « Je vous félicite Abdoulaye, vous avez gagné l’élection présidentielle ! »
Dakar, Seneweb.com - Après l’obtention de son récépissé, les camarades de Mamadou Diop Decroix ont lancé une grande offensive politique. Il convient de rappeler que durant la première quinzaine du mois d’août, une importante délégation conduite par le Secrétaire général Mamadou Diop « Decroix » a rencontré le Mac (Mouvement pour l’Action et la Citoyenneté), la Cap 21, le Pds (Parti Démocratique Sénégalais), le Rdp (Rassemblement Démocratique et Populaire) et l’Urd (Union pour le Renouveau Démocratique). Si d’autres leaders politiques prennent un repos, certains d’entre eux réussissent à jumeler vacances et travail.
Mamour Cissé, le secrétaire général du Parti social-démocrate/ Jant bi (Psd/Jb), avait apporté son «soutien cartésien» au président Wade après la présidentielle de 2007, sur la base d’une analyse de quelques réalisations. Un an après, ce chef de parti, député à l’Assemblée nationale, est gagné par la déception, à cause du recul que le Sénégal a connu «en si peu de temps». Le leader du Psd/Jant bi ne voit pas la lumière du soleil dans les options économiques du régime, dans certaines décisions politiques et, enrage du maintien jusqu’à présent de l’Anoci, ce «machin» à propos duquel il s’écrie : «Ca suffit !»