Pour arrondir leurs fins de mois, beaucoup d’artistes investissent dans des secteurs éloignés de leurs domaines de prédilection.
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Pour arrondir leurs fins de mois, beaucoup d’artistes investissent dans des secteurs éloignés de leurs domaines de prédilection.
La toute dernière exposition du peintre et photographe Ousmane Ndiaye Dago à la Galerie nationale d’art a manifestement donné de l’urticaire à quelques-uns : trop dénudé pour ne pas dire «pornographique». Le collectif «And Samm Jikko Yi», qui regroupe un certain nombre d’associations religieuses et de la Société Civile, dit «avoir fait constater cet acte de provocation gravissime par huissier».
Artiste sulfureux, exigeant mais surtout génial, Ousmane Ndiaye Dago a choisi le corps comme support de son œuvre. Mais photographier des femmes (presque) nues dans une société à presque 90% musulmane n’est pas chose aisée. Et L’artiste regrette le coté trop collet monté de ses compatriotes. Entretien !
Il est parti, Kader Mbacké, sur la pointe des pieds, alors que le monde musulman célébrait l’Aïd’el fitr ou fête de la Korité au Sénégal, le 10 septembre 2010. Il est parti, Kader Mbacké. Au moment où il envisageait de réaliser pleinement ses rêves les plus fous. À la tête de Dangote Sénégal (filiale sénégalaise du groupe nigérian Dangote), Abdel Kader Mbacké travaillait d’arrache-pied sur deux projets pesant chacun 250 milliards de F CFA : une cimenterie et une raffinerie de sucre et en sus, à moyen terme, un investissement dans l’industrie alimentaire.
Le photographe Ousmane Ndiaye Dago, Jean Marie Coulibaly, tous deux en voyage ont été cités dans le procès-verbal d’enquête de police sur l’affaire du viol en série sur la mineure, O. Kh. Mb. Tout comme Assane Cissé qui est en cavale. Le verdict rendu avant-hier par le tribunal des flagrants délits de Dakar, condamnant, entre autres prévenus, à trois ans de prison ferme Mathiou Fall et Wissam Kassab, ne les innocente pas. D’où la menace d’une procédure judiciaire contre eux. Tant qu’Ousmane Ndiaye Dago, Jean Marie Coulibaly, en voyage au moment du déclenchement de l’action publique, et Assane Cissé en cavale et qui menace de se ‘suicider d’une balle dans la tête’ si jamais la police parvient à l’appréhender…,
L’affaire de détournement et de viol sur mineure continue de susciter des interrogations dans certains milieux de l’opinion. On n’arrive toujours pas à cerner les contours qui entourent le délibéré de ce dossier. L’on va même jusqu’à se demander ce qu’il va advenir de Assane Cissé, Ousmane Ndiaye Dago et Jean-Marie Coulibaly. Ces derniers, bien qu’incriminés au même titre que «Mathiou» et consorts, ne font pas, pour le moment, l’objet de poursuites judiciaires. 24 heures après le verdict rendu dans l’affaire de détournement et de viol sur mineure, les langues continuent à se délier. Le jugement de cette affaire est entouré d’une série de faits incongrus et insolites.
O. M. K. M. n’a pas encore 17 ans. Elle avait fugué. En quelques jours seulement, elle est passée, de gré ou de force, dans le lit de plusieurs personnalités. Alertée, la police part à sa recherche et la retrouve dans la nuit du samedi dans un taxi. Son histoire est à couper le souffle. Toutes les personnes qu’elle a citées lors de son interrogatoire sont arrêtées par la police de Dieuppeul et déférés au parquet. Hier, ils ont finalement été placés sous mandat par le procureur en attendant leur jugement demain. D’autres personnes citées sont recherchées. L’histoire est rocambolesque. Malheureusement, elle est vraie. Ce ne sont pas Ismaïla Fall alias Maathiou, Wissam Kassam, Bassirou Fall ou encore Ahmadou Danga Sabaly qui diront le contraire.
Qu'est ce qui peut bien inciter une grande chaîne de télévision française à faire un documentaire sur un Sénégalais, en l’occurrence Cheikh Tall Dioum, celui-là même qu’un confrère a surnommé le Golden Boy ? Cette question nous a taraudés lorsque nous avons constaté qu’il venait de faire l'objet de la curiosité d'une télévision étrangère, et qu’en plus, il venait d'accorder une interview à un de nos confrères. Au point que nous avons décidé d’en savoir davantage sur l'homme. Nous avons donc, par le biais de son ami Dago, tenté de contacter ce grand agitateur d'idées. Après maints coups de téléphone, nous prenons rendez-vous avec M. Dioum qui, pour notre peine, se trouve dans sa ville natale, Louga, où il nous invite à venir le rencontrer. Voyage classique pour des reporters en compagnie de leur photographe et d'un chauffeur. Nous traversons Rufisque et ses embouteillages, Thiès et sa fameuse voie de contournement nord, Tivaouane la pieuse, Kébémer, ville natale du président Wade... Après plus de deux heures de route, voilà enfin Louga, la capitale du Ndiambour.