Depuis l’amorce du dernier virage dans la campagne électorale pour la présidentielle du 25 février 2007, le candidat du parti socialiste Ousmane Tanor Dieng distille dans l’opinion, des craintes de fraudes qui viendraient du parti au pouvoir, le Pds et la Coalition Sopi 2007. A partir d’hier, Tanor et Compagnie passent en vitesse supérieure et accusent gravement les autorités administratives et politiques de s’être liguées à l’opérateur national de téléphone, la Sonatel, filiale de France Telecom pour «empêcher la publication en temps réel des premières tendances du scrutin le 25 février prochain». En meeting à Thiaroye Djeddah et à Hann Bel Air, le ministre de l’Information, Porte-parole du gouvernement, par ailleurs Secrétaire général du Front Populaire, a mis Ousmane Tanor Dieng et Cie en garde, «contre toute tentative de perturbation de l’ordre public avant, pendant et après le scrutin du 25 février 2007».
il y a 18 ans
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