💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Au Mali, chaque entrée dans Bamako de camions-citernes escortés par l'armée est désormais un exploit, conséquence d'un blocus jihadiste en cours depuis un mois sur le carburant importé des pays voisins et dont la pénurie commence à perturber fortement ce pays sahélien enclavé.
Mali : Pénurie de carburant à Bamako, après des attaques contre des camions-citernes
Après le saccage de plusieurs stations-service lors des dernières manifestations, le Sénégal risque de faire face à une pénurie de carburant, ces prochains jours. Et pour cause !
La pénurie de carburant continue de s'aggraver en France. Ce sont désormais près d'un tiers des stations-service du pays qui ont du mal à fournir les automobilistes. Un chiffre qui a enflé pendant le week-end et qui permet aux oppositions de mettre la pression sur le gouvernement
L'Angola est affecté par une pénurie de carburant si incongrue dans l'un des deux principaux pays producteurs de brut d'Afrique subsaharienne, que certains l'attribuent déjà à une fronde politique contre le nouveau président João Lourenço.
Le risque de pénurie de carburant affole les automobilistes français depuis quelques jours, suite au blocage de certaines raffineries par des manifestants opposés à la loi Travail. Pour éviter de se retrouver en panne sèche, quelques conseils suffisent pourtant pour limiter la surconsommation d'essence ou de gazole.
Le secrétaire d'Etat aux Transports a assuré vendredi qu'il n'y avait pas de risque à ce stade de pénurie de carburant en France malgré les mouvements de grève, à l'appel notamment de la CGT, dans le secteur pétrolier contre le projet de loi Travail. Interrogé par France Info, Alain Vidalies a admis que 20% des stations autour du Havre et de Rouen, dans l'ouest de la France, étaient fermées. Mais "en France il y a un système qui est organisé, on appelle ça les stocks stratégiques.
Les automobilistes et motocyclistes de Kolda ne savent plus à quel saint se vouer. Voici trois jours qu’ils ne sentent plus l’odeur du carburant. En effet, depuis plus de trois jours maintenant, ils sont confrontés à une pénurie de carburant. Selon Le Populaire, aucune goutte de gasoil, de super ou de mélange ne coule dans les différentes stations services de la ville.
Dakar, Sénégal - La Gambie est frappée par une sévère pénurie de carburant qui a entraîné une hausse du prix des tickets de bus et le blocage des passagers aux arrêts de bus à Banjul, la capitale et ses environs, a appris la PANA jeudi à Dakar, au Sénégal. D'après des sources officielles, qui n'ont pas donné les raisons de cette pénurie, la situation dure depuis trois jours. Les banlieusards marchent maintenant de longues distances pour aller au travail.
![[ Hydrocarbures ] Il y a ’’suffisamment de produits pétroliers’’, selon un officiel](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//bf46c9c7649feb76bab31d9c8a820919.jpg)
Le Sénégal dispose de ’’suffisamment de produits pétroliers’’, assure Abdoulaye Guèye, le secrétaire permanent du Comité national des hydrocarbures, affirmant qu’il n’y a ‘’aucune pénurie de carburant’’.
ASI24 - (Dakar) La crise qui frappe Total en France, dans le raffinage particulièrement, devrait être suivie par les autorités sénégalaises compte tenu du rôle important de la société française dans la distribution, mais aussi de son implication à hauteur de vingt pour cent à la Société africaine de raffinage (SAR), a constaté ASI24. Le gouvernement et le patronat tentent de déjouer la grève qui menace de s’étendre mardi dans les raffineries de pétrole françaises et assurent que le pays n’est pas menacé de pénurie de carburant, rapporte mardi Reuters.
Le Sénégal est encore touché par une pénurie de carburant, un mois seulement après les assurances données par le ministre des Mines, Madické Niang, quant à un approvisionnement correct des stations d’essence. La pénurie touche surtout les stations de carburant pour les pirogues de pêcheurs. Selon de nombreux usagers interrogés par la radio RFM, de nombreuses pirogues sont restées accostées, notamment à Mbour, à cause de la pénurie. Les chauffeurs de taxi sont aussi touchés, certains expliquant avoir fait le tour d’une dizaine de stations d’essence, sans trouver la denrée.
Le Sénégal est encore touché par une pénurie de carburant, un moins seulement après les assurances données par le ministre des Mines, Madické Niang, quant à un approvisionnement correct des stations d’essence. La pénurie touche surtout les stations de carburant pour les pirogues de pêcheurs. Selon de nombreux usagers interrogés par la radio RFM, de nombreuses pirogues sont restées accostées, notamment à Mbour, à cause de la pénurie.
La persistance des délestages sur Dakar et sa banlieue commence à agacer les citoyens. Il est évident maintenant qu’il s'agit bel et bien de sabotage car on ne peut plus invoquer l'absence de carburant pour faire fonctionner les centrales. L'Etat a annoncé la fin de la pénurie de carburant. Et en conséquence, les délestages ont une tout autre cause. L’Etat doit prendre ses responsabilités face à tous les saboteurs tapis dans les centrales et qui font subir le supplice aux pauvres consommateurs sénégalais. Selon des agents de la Senelec qui préfèrent garder l'anonymat pour des raisons évidentes, c'est à l'intérieur même de la Sénélec que les sabotages ont lieu.
Il n'y a pas eu de pénurie de carburant. L'administrateur directeur général de Total Sénégal se veut catégorique. Dans l'entretien qu'il nous a accordé, Bruno Vincent parle de rupture de carburant notée à la mi-septembre. Une rupture provoquée par la réquisition et qui a porté un lourd préjudice à Total Sénégal, dont le réseau a connu plus de perturbations. Wal Fadjri : Qu’est-ce qui a été à l’origine de la rupture de carburant dans vos stations service ? Bruno Vincent : Total Sénégal avait importé, il y a quelques jours, 20 000 tonnes de gas-oil, stock que nous avions commencé à consommer. Nous en avons vendu d’ailleurs à la Senelec, et en avions juste ce qu’il nous fallait pour attendre l’arrivée du nouveau bateau le 17 septembre. C’est alors qu’est intervenue la réquisition.
Ennuyé par la crise énergétique qui perdure et les délestages intempestifs de la Senelec qui ne semblent point s’estomper, le président de la République aurait intimé l’ordre, le mardi 26 septembre avant de s’envoler pour Bucarest pour les besoins du sommet de la Francophonie, à son Premier ministre d’apporter une solution « rapide et efficace » à ces problèmes. Sinon…Me Wade ne veut plus entendre parler de délestage encore moins, de pénurie de carburant et de gaz.
La Confédération nationale des travailleurs du Sénégal (Cnts) s’interroge sur les véritables raisons de la pénurie de carburant et attire l’attention du gouvernement sur les conséquences d’une crise énergétique durable sur les populations «déjà éprouvées, sur l’économie nationale et la vie des travailleurs». Le bureau confédéral de cette centrale, à l’issue d’une réunion à son siège de la Bourse du travail s’est poncé sur la situation nationale à travers un communiqué adressé, hier, à notre rédaction. Sur la question de la crise énergétique et des hydrocarbures sans précédent, la Cnts dénonce les conditions insupportables imposées aux populations dans leur vécu quotidien.
Que de chemin à parcourir hier, pour les automobilistes, pour trouver de quoi continuer à faire rouler son véhicule. Un tour dans la ville dévoile un brin d'espoir émanant des stations ‘Mobil’. Et comme une oasis dans le désert, les usagers de la route se ruent vers ces stations qui, à ce rythme, craignent d'être absorbées par la pénurie. ‘Aujourd'hui, nous avons gagné le triple de ce que nous gagnions en temps normal’. Ces propos tenus hier, lors de notre passage vers 20 h par le gérant de la station Mobil sise à la cité Khadim, traduisent l'ampleur de la pénurie de carburant qui secoue le Sénégal depuis le début de la semaine.
Les stations d’essence commencent déjà à manquer de carburant, semant la panique chez les automobilistes. Le plus grand fournisseur d’essence du pays, Total, a arrêté ses provisions hier, alors que depuis la semaine dernière, Shell approvisionne parcimonieusement ses distributeurs. A l’origine de tout cela, en plus de la mesure de réquisition, une ardoise de plus de 100 milliards de francs Cfa dus par l’Etat aux pétroliers. Les distributeurs locaux de pétrole commencent à vivre la pénurie de carburant. Le plus gros d’entre eux, Total est le premier frappé. Hier, la maison n’a pu servir que trois stations sur son réseau de 174. Ce qui représente une petite goutte d’eau dans le sable des besoins locaux. Et selon les informations obtenues de la maison, la distribution n’a concerné que du Super, Total n’ayant plus de gasoil.
"Le Témoin" l’a révélé, entre le Premier ministre Macky Sall et son ministre de l’Energie Madické Niang, la bataille est ouverte. Ce, suite à la démission refusée de Madické Niang. Une démission consécutive selon notre confrère aux accusations que le Premier ministre Macky Sall a formulées contre Me Madické Niang. Selon le Témoin, Macky Sall a accusé Madické Niang, d’organiser en entente avec les pétroliers, une pénurie de carburant pour en profiter lui-même. Mais il y a d’autres dessous que cache cette affaire. Selon nos informations, le ministre avait proposé la mise sur pied d’un comité énergétique dont l’objectif est de stocker du combustible et des produits pétroliers. Une proposition qui devait servir à juguler la crise énergétique et "permettre au Sénégal d’avoir 60 jours de stock", dit notre interlocuteur.
