Le FDR face à la presse lundi pour détailler sa marche du 31 octobre contre la « politique antinationale » du pouvoir
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Le FDR face à la presse lundi pour détailler sa marche du 31 octobre contre la « politique antinationale » du pouvoir
Boghé, une commune du sud-ouest de la Mauritanie, brûle.
Ce n’est plus le Parti démocratique sénégalais qui réclame la lumière dans l’affaire Arcelor Mittal à l’Etat du Sénégal et qui aurait fini par un arrangement à l’amiable autour de 75 milliards au lieu des 250 milliards dus. Selon Walfadjiri, l’opposition et des organisations de la Société civile sénégalaises exigent la poursuite de la procédure devant la Cour arbitrale jusqu’à son terme.
Gestion gabégique et clanique du pouvoir, conduite douteuse de l'organisation du sommet de l'OCI, le secrétariat politique n'a pas fait dans la dantelle pour décrire le régime de Me Wade. Soutenant que le pays est plongé dans une spirale de campagne sans précédent où l'on a impression que l'avenir du Sénégal est subordonné au sommet de l'Oci. Pire, le Rta-S, dénonçant la démarche solitaire d'un Etat accroché à une gestion familiale, regrette la manipulation par le pouvoir des Oulémas et marabouts du Sénégal… Armé de son sabre, le secrétariat politique du Rta-S n'a laissé un coin du jardin bleu. En effet, réunis en cette fin de semaine, ils se sont longuement prononcés sur la situation nationale, plus que jamais plongée dans « une campagne effrénée pour l'organisation du sommet de l'OCI, à Dakar.
Le Populaire. L’option prise depuis quelque temps par l’État de vendre les actions qu’il détient dans certaines entreprises nationales comme les Industries chimiques du Sénégal (Ics), la Société nationale des télécommunications (Sonatel), la Société africaine de raffinage (Sar) ne laisse pas indifférents certains opposants qui chargent le régime libéral accusé d’avoir mal géré les ressources financières du pays. « Si le libéralisme signifie une vente aux enchères, les Sénégalais doivent prendre toutes leurs responsabilités, avant que le pays ne soit transformé en ‘’luuma’’ (ndlr : marché hebdomadaire) ».