Le 5 décembre 2024, le Mali a franchi une étape significative vers la détente politique avec la libération de 11 personnalités de l’opposition, incarcérées depuis juin dernier.
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Le 5 décembre 2024, le Mali a franchi une étape significative vers la détente politique avec la libération de 11 personnalités de l’opposition, incarcérées depuis juin dernier.
Le 5 décembre 2024, le Mali a franchi une étape significative vers la détente politique avec la libération de 11 personnalités de l’opposition, incarcérées depuis juin dernier.
Insultes. Invectives. Jets de pierres. Drôle de campagne électorale que celle de la présidentielle 2007. Il continue de planer un sentiment de malaise qui entraîne dans son sillage moult interrogations, reflet d’une angoisse persistante qui fait craindre des troubles gros de danger. Après s’être posé des questions sur la tenue ou non des élections présidentielle et législatives à date échue, voilà que surgissent des inquiétudes relatives à leur régularité et à leur transparence. La neutralité supposée du ministère de l’intérieur a été chahutée par son premier patron, Me Ousmane Ngom. En pleine campagne électorale, le ministre de l’intérieur n’a rien trouvé de mieux à faire que de descendre dans l’arène partisane en organisant une marche de soutien à son candidat.
Parlant de la Révolution pour railler, certains ont dit qu’elle avalait ses enfants. Plus près de nous, en Gambie, c’est la République qui s’est mise à avaler des officiers de son Armée nationale.Une situation grave dont les conséquences déteignent sur la stabilité politique du pays. Elle affecte aussi les relations de bon voisinage avec le Sénégal, en particulier. Si on ne prend garde…Les démons ont ressurgi en Gambie dans la période du 21 au 23 mars dernier pour faire cas d’un Coup d’Etat qui aurait manqué de renverser le Président Yaya Jammeh. Et de désigner le présumé auteur de l’acte raté, en l’occurrence, le Colonel Ndour Cham de l’Etat major général des forces armées de la Gambie.