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C’est ce vendredi 12 juillet 2024 que se tiendra la cérémonie de remise des épaulettes de sous-lieutenant à la 42ème promotion de l'Ecole nationale des officiers d'active (ENOA), baptisée «Colonel El Hadji Mamadou Touré», dans la cour de la devise de ladite école.
C'est demain mardi 9 juillet 2024 qu'est prévue la cérémonie de remise des épaulettes des aspirants de la 9e promotion du DAGO, dans la cour de la devise de l'École nationale des officiers d'active (ENOA) de Thiès. Elle sera présidée par le chef d'État-major de l'armée de terre (CEMAT).
La sortie de la 41e promotion de l'École nationale des officiers d'active (ENOA, Promo Capitaine El Moussa Thiam) de Thiès a été une occasion pour le ministre des Forces armées, Me Sidiki Kaba,
Les témoignages sur Alain Hunlede qui émeuvent la toile...
C’est ce vendredi 12 juillet 2024 que se tiendra la cérémonie de remise des épaulettes de sous-lieutenant à la 42ème promotion de l'Ecole nationale des officiers d'active (ENOA), baptisée «Colonel El Hadji Mamadou Touré», dans la cour de la devise de ladite école.
C'est demain mardi 9 juillet 2024 qu'est prévue la cérémonie de remise des épaulettes des aspirants de la 9e promotion du DAGO, dans la cour de la devise de l'École nationale des officiers d'active (ENOA) de Thiès. Elle sera présidée par le chef d'État-major de l'armée de terre (CEMAT).
L’armée camerounaise vient de perdre un officier d’artillerie pétri d’expérience.
Nous parlions tantôt de cette cérémonie présidée par le chef de l'Etat à l'École des officiers de la Gendarmerie Nationale (EOGN). Macky Sall remettait les épaulettes de sous-lieutenant, aux élèves officiers de la promotion "Commandant Samba Diéry Diallo".
Le ministre des Forces armées, Augustin Tine, a invité, vendredi à Thiès, les récipiendaires de la 31ème promotion de l'Ecole nationale des officiers d'active (ENOA) à faire preuve de détermination pour arriver à imposer les drapeaux de leurs pays respectifs comme des symboles de la liberté et de la souveraineté à travers le monde.
Le ministre des Forces armées, Augsutin Tine, préside, le vendredi 19 juillet à 9 heures,, la cérémonie de remise d’épaulettes à la 31-ème promotion de l’Ecole nationale des officiers d’active (ENOA) de Thiès, au camp militaire ex-base aérienne, annonce un communiqué remis à l’APS.
Cela se passe entre la Primature et le Palais. Au centre de l’affaire, la Secrétaire générale du gouvernement, Mme Fatou Diagne. Eh bien, certaines mauvaises langues et non des moindres, cassent beaucoup de piment sur son « mussoor ». On la taxe de ne pas être à la hauteur de la tâche qu’on lui a confiée. Une tâche bien stratégique puisque la dame a beaucoup de pouvoirs, pilotant par exemple tout ce qui est ordres de mission. Nos satellites nous signalent d’ailleurs que tous les maux qu’on lui attribue ne seraient pas sans lien avec ses prérogatives. En effet, on l’accuse de favoritisme, du fait justement qu’elle payerait en priorité certains, selon des critères peu objectifs alors que pour d’autres, c’est le verrouillage systématique.
Des besoins croissants en cadres officiers, face aux limites de la politique de formation à l’extérieur, dues à la rareté des places et des disparités dans les enseignements, ont amené le Conseil supérieur de la défense à décider de la création, en 1976, de l’Ecole nationale des officiers d’active (Enoa). Le décret de création ne sera néanmoins entériné qu’en 1981 et l’ouverture officielle de l’école, sur les anciens locaux du Cneps de Thiès, le 4 janvier 1982. Si l’exigence de la qualité de la formation, une volonté d’ouverture vers d’autres pays africains et la nécessité d’accroître les moyens, ont jalonné la marche de l’Enoa, le commandement militaire sénégalais peut être fier du quart de siècle d’existence.
Les policiers à la retraite depuis janvier, ont déversé leur bile sur les autorités administratives, parce que leur pension est retenue à cause d’un malheureux arrêté qui s’éternise dans le circuit. Preuve selon eux, de la négligence de la hiérarchie, qui ne se soucie pas des malheurs de pauvres pères de famille qui n’ont plus que la pension pour vivre. « L’Etat va les payer jusqu’au denier sou », s’est engagé le Colonel Cheikh Sarr Thiam, directeur du personnel de la Police. Cependant, s’empresse-t-il d’ajouter, l’Etat « ne peut gérer les vies individuelles des gens. Ils auraient dû prendre leurs précautions ». S’ils espèrent, avec leur sortie, faire pression sur les décideurs pour être repris, ils se trompent lourdement, prévient le Colonel.
