Le 29 août, le Centre culturel Blaise Senghor de Dakar a vibré au rythme d’un débat de haute intensité autour de la mémoire coloniale et de l’avenir du continent.
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Le 29 août, le Centre culturel Blaise Senghor de Dakar a vibré au rythme d’un débat de haute intensité autour de la mémoire coloniale et de l’avenir du continent.
Diomaye Faye - Emmanuel Macron : ce qu'ils se sont dit
Le mouvement des descendants des tirailleurs sénégalais, Thiaroye 44, a déposé à l'Assemblée nationale du Sénégal une note officielle demandant à l'État français la reconnaissance de sa responsabilité et...
Départ des Éléments français : Le Sénégal récupère les quartiers Maréchal et Saint-Exupéry
Retrait des bases françaises : Les EFS débloquent plus d’un milliard CFA pour indemniser les 162 employés sénégalais
C’est à 9 h 53 mn, au cours d’une cérémonie empreinte de solennité, que le drapeau sénégalais a été hissé au camp Geille de Ouakam, sous les regards chargés d’émotions du chef d’État-major général des armées sénégalaises (Cemga), Mbaye Cissé, et de son homologue le général Pascal Ianni, à la tête du commandement français pour l’Afrique.
Ce mardi 1er juillet 2025, la France a officiellement restitué à l’État sénégalais la station d’émission interarmées de Rufisque, utilisée depuis 1960 pour les communications militaires sur la façade atlantique sud.
Lors d’un entretien avec la Radiodiffusion Télévision du Burkina (RTB) en marge de sa visite officielle à Ouagadougou, le Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko a déclaré, le 17 mai 2025, que toutes les bases militaires étrangères présentes sur le territoire sénégalais seraient fermées d’ici juillet 2025. « Le Sénégal n’aura plus, sur son sol, de base militaire étrangère… Nous avons notifié à tous les pays qui en avaient une au Sénégal de retirer leurs troupes. Le processus prendra fin d’ici juillet », a-t-il affirmé, mettant en avant la souveraineté nationale comme priorité.
Ce lundi, Bassirou Diomaye Faye célèbre son premier anniversaire à la tête du Sénégal.
Un tournant majeur dans la coopération militaire franco-sénégalaise s’opère, avec la restitution officielle des quartiers Maréchal et Saint-Exupéry aux autorités sénégalaises. Cette étape marque la première phase concrète du retrait progressif des Éléments français du territoire sénégalais, conformément aux engagements pris par les deux États.
C’est le calme plat au camp Général Geille de Ouakam ce début d’après-midi du mercredi 26 février 2025.
L'armée française au Sénégal va organiser le 6 mars un "forum des métiers" pour "offrir des opportunités de reclassement" au sein d'entreprises locales de leurs 162 employés sénégalais qui seront licenciés cet été dans la perspective de la fermeture annoncée des bases militaires françaises dans le pays.
L'armée française au Sénégal va organiser le 6 mars un "forum des métiers" pour "offrir des opportunités de reclassement" au sein d'entreprises locales de leurs 162 employés sénégalais qui seront licenciés cet été dans la perspective de la fermeture annoncée des bases militaires françaises dans le pays.
C’est officiel !
Au stade d’annonce depuis le 28 novembre 2024, la date est maintenant fixée pour la fin de la présence militaire française au Sénégal.
En novembre 2024, le président sénégalais Bassirou Diomaye Faye a annoncé le retrait des forces françaises de son pays dès 2025. Le mois qui a suivi, le Tchad, un pays connu pour ses liens étroits avec l’Hexagone, a aussi indiqué qu’il mettrait fin à la présence militaire française sur son sol, dénonçant par la même occasion les accords de coopération de défense avec Paris.
Lors de la conférence des ambassadeurs de France, tenue le 6 janvier 2024, le Président Emmanuel Macron s’est livré à un exercice qui lui est désormais familier :
« On a décidé de réorganiser notre présence militaire. Et donc, nous avons proposé aux chefs d'État africains de réorganiser notre présence.
Les réactions acerbes du Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko et du ministre Le ministre tchadien des Affaires étrangères, Abderaman Koulamallah contre le Président de la République française.
Emmanuel Macron a défendu lundi devant ses ambassadeurs la réorganisation du dispositif militaire français en Afrique, une réduction drastique des effectifs qui s’effectue de gré ou de force selon les pays.