Cinq projets innovants ont été retenus dans le cadre du Programme de résilience et de relance des micro-entreprises et des petites et moyennes entreprises au Sénégal
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Cinq projets innovants ont été retenus dans le cadre du Programme de résilience et de relance des micro-entreprises et des petites et moyennes entreprises au Sénégal
La logique quantitative de la sous-représentation des femmes dans les instances décisionnelles domine le débat au Sénégal : 4 femmes ministres sur 30 membres du nouveau gouvernement, soit 13% pour 49,6% de la population.
C'est connu, arrêter de fumer fait grossir. Mais comment l'expliquer ? Pour le savoir, des chercheurs grecs ont voulu comprendre les mécanismes en jeu. D'après leurs résultats, il semblerait qu'en agissant directement sur la ghréline, "l'hormone de faim", le tabac limiterait la consommation alimentaire des fumeurs.
C’est dans une ambiance accablante, voire bouleversante que les sortants de la Faculté des sciences et technologies de l’éducation et de la formation (Fastef) ont été trouvés. En grève de la fin depuis plusieurs jours maintenant, les ressortissants de cette formation exigent un recrutement immédiat dans la fonction publique et se disent «prêts à aller jusqu’au bout, quelqu’un soit le prix».
A côté des alcools dits de luxe, existent ceux qu’on appelle, dans un terme générique, l’alcool des pauvres. Avec 125 francs Cfa, les adeptes de « soum soum », « kana kadjou », « bigne », ces eaux de feu frelatées, peuvent avoir leur dose de « dathie » (d’ivresse). A travers la ballade que la « Sentinelle » a effectuée dans le coin chaud de « Toll Bi » et à la cité des célibataires de Baobab, on se rend compte quelque part que l’homme ne meurt pas, mais il se tue.
Contrairement au tableau paradisiaque que les autorités gouvernementales ne cessent de dresser du Sénégal, c’est l’enfer quotidien chez beaucoup de Dakararois qui ne savent plus à quel saint se vouer. En l’espace de moins d’un mois, les prix du lait, du pain, du riz et de l’huile ont connu une hausse sensible. Une situation devenue insupportable. À Darourahmane, dans le populeux quartier de Grand-Yoff, l’exemple le plus patent vient de la famille Sy. Là, plus d’une vingtaine de personnes s’entassent dans une baraque délabrée aux murs lézardés, à la peinture défraîchie. Les trois repas qui, jadis, n’étaient nullement gagnés d’avance, sont menacés de disparition actuellement à cause de la dépréciation du pouvoir d’achat.
Depuis un mois, de nombreux produits de consommation courante, spécialement alimentaires, ont connu des hausses très sensibles. Dans un contexte où les revenus des ménages n’augmentent pas, beaucoup de ménages n’ont d’autre solution que de faire des coupes sombres sur la consommation de certains produits. Au risque de se retrouver en situation de détresse alimentaire. En attendant la famine. Depuis quelques temps, la structure des prix des produits de consommation courante connaît une tendance historique à la hausse. Cette situation qui affecte sensiblement les budgets des ménages est difficilement supportable surtout que les denrées de première nécessité sont les plus concernées par cette flambée inexpliquée des prix.