Guinée : De Sory Kandia Kouyaté à Azaya, le parcours d’une nation à travers ses sons
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Guinée : De Sory Kandia Kouyaté à Azaya, le parcours d’une nation à travers ses sons
La Guinée a toujours été réputée pour être un grand grenier de chanteurs reconnus sur la scène internationale, du Bembeya Jazz à Mory Kanté, en passant par Sory Kandia Kouyaté ou encore Sékouba Bambino.
La kora, instrument traditionnel à cordes originaire du Mali, a été mise en valeur par des griots légendaires comme Sidiki Diabaté, Mory Kanté, Lalo Kéba Dramé, Soundioulou Cissokho ou encore Sory Kandia Kouyaté qui l'ont fait découvrir à l’Occident.
Les concertations nationales se poursuivent en Guinée afin d'élaborer la charte de la transition.
On l’a contacté pour lui dire que, s’il nous voyait passer, il fallait nous arrêter
La Guinée a toujours été réputée pour être un grand grenier de chanteurs reconnus sur la scène internationale, du Bembeya Jazz à Mory Kanté, en passant par Sory Kandia Kouyaté ou encore Sékouba Bambino.
La kora, instrument traditionnel à cordes originaire du Mali, a été mise en valeur par des griots légendaires comme Sidiki Diabaté, Mory Kanté, Lalo Kéba Dramé, Soundioulou Cissokho ou encore Sory Kandia Kouyaté qui l'ont fait découvrir à l’Occident.
« Quand la mémoire va ramasser du bois mort, elle rapporte le fagot qui lui plaît », écrivait le poète Birago Diop. La mémoire de Mbissine Thérèse Diop, la première actrice africaine dans un long-métrage, a choisi de rapporter un fagot composé de séquences du film de sa vie. La projection de la pellicule n’est pas bouchée par l’horizon de son appartement, rempli de souvenir, du boulevard Voltaire à Paris où elle est installée depuis 1977, date de son arrivée du Sénégal. Les images sur les murs de son salon illustrent en photos noir et blanc le film de cinquante ans de cinéma.
L'artiste-chanteur Baaba Maal et son orchestre, le Dande Lenol, ont assuré mercredi soir une ouverture en trombes à la 21-ème édition du Festival international de jazz de Saint-Louis, sur une Place Faidherbe noire de monde.
El Hadji Ndiaga Mbaye n'est plus. Mais il susbsiste au temps comme l'a bien écrit le défunt poète, son Excellence Birago Diop. "Les Morts ne sont pas morts", écrivait Birago. Hier, l'âme généreuse de El Hadji Ndiaga Mbaye, maître incontesté et incontestable de la parole, a certainement plané au-dessus de la Maison Douta Seck, lieu de Culte des Artistes, qui ont célébré un des leurs, arraché à l'affection des Sénégalais, et digne de mériter un Monument en son nom pour immortaliser son message.
Le koriste malien Mamadou Diabaté a remporté le trophée du Meilleur album de musique traditionnelle des 52èmes Grammy Awards qui se tenaient dans la nuit du dimanche au lundi à Los Angeles, pour son disque ‘’Douga Mansa’’ (World Village, 2008), selon le site Internet de la manifestation visité lundi à l’APS. Totalement instrumental, ‘’Douga Mansa’’, l’album ainsi récompensé par l’Académie des Grammy, est le quatrième du jeune joueur de kora. Il y revisite quelques uns des airs classiques de l’ancien royaume mandingue du Gabu (Guinée Bissau, Casamance, Gambie). Le titre éponyme du disque, ‘’Douga Mansa’’, est une reprise de ‘’Douga’’, un hymne au courage des grands guerriers du Mandingue, autrefois interprété par les griots lors des veillées d’armes.
Le roi du yéla, Baaba Maal, a gratifié mardi le public de l’Institut français Léopold Senghor d’une soirée musicale qui se savoure encore comme un bon repas. « Il porte un joli boubou, mais on va voir ce que cela va donner ». Cet avis d’une spectatrice renseigne de fort belle manière sur les attentes d’un public qui a pris d’assaut, peu avant 21 h, le Théâtre de Verdure de l’Institut français Léopold Senghor de Dakar. Un public qui voulait apprécier à sa juste valeur la version live du nouvel album « On the road » (sur la route) de Baaba Maal, mais aussi se délecter des tubes légendaires qui ont fait le succès du roi du yéla.
El Hadji Ndiaga Mbaye n'est plus. Mais il susbsiste au temps comme l'a bien écrit le défunt poète, son Excellence Birago Diop. "Les Morts ne sont pas morts", écrivait Birago. Hier, l'âme généreuse de El Hadji Ndiaga Mbaye, maître incontesté et incontestable de la parole, a certainement plané au-dessus de la Maison Douta Seck, lieu de Culte des Artistes, qui ont célébré un des leurs, arraché à l'affection des Sénégalais, et digne de mériter un Monument en son nom pour immortaliser son message. La grandeur d'un homme se mesure au caractère ineffaçable de ses œuvres. Cela étant, de grands hommes ont marqué l'histoire de notre pays et suscitent, rien que par l'évocation de leurs noms, de l'émotion et de l'admiration. Ce fut le cas hier avec la célébration de l'anniversaire du décès de Feu El Hadji Ndiaga Mbaye, mémoire vivante du patrimoine culturel sénégalais.