Badou Sylla, âgé de 24 ans, est dans de beaux draps...
il y a 4 ans
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Badou Sylla, âgé de 24 ans, est dans de beaux draps...
L’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP) a octroyé 486 fréquences pour la diffusion radiophonique analogique au Sénégal, dont 74 sont détenus par la Radiodiffusion Télévision sénégalaise (RTS, publique), apprend-on du rapport annuel 2018-2019 du CNRA, l’organe de régulation des médias.
Un incendie d’une rare violence à réduit en cendre la station radiophonique Baol Fm, située en plein cœur de la commune de Diourbel. Le feu, qui s’est déclaré dans la nuit du mercredi au jeudi, vers 6 heures du matin, a tout emporté sur son passage.
Dans le cadre de l’implantation d’un groupe audiovisuel à vocation panafricaine (chaîne de télévision / station radiophonique / institut de formation pluridisciplinaire), il est ouvert un appel à candidatures pour un recrutement par phases et vagues successives des personnels pour les postes identifiés.
Le directeur de la station régionale de la Rts à Kolda, SouleymaneDiack, a été démis de ses fonctions par sa hiérarchie, ce mardi 6 mars,pour avoir appelé à soutenir le candidat Macky Sall. Cette décision a été prise suite à l’appel radiophonique en pulaar invitant les populations duFouladou à voter le candidat de l’opposition au secondtour de la présidentielle.
Le directeur de la station régionale de la Rts à Kolda, Souleymane Diack, a été démis de ses fonctions par sa hiérarchie, ce mardi 6 mars, pour avoir appelé à soutenir le candidat Macky Sall. Cette décision a été prise suite à l’appel radiophonique en pulaar invitant les populations du Fouladou à voter le candidat de l’opposition au second tour de la présidentielle. Le journaliste, qui est à un an de la retraite, n’a pas voulu cacher son soutien au candidat de la coalition Macky 2012. C’est entre 10 h et 12 h que ce dernier a fait diffuser à deux reprises un appel en pulaar sur les ondes de la Rts-Kolda. Souleymane Diack, désormais ex-directeur régional de la station de Kolda, a été remplacé à ce poste, quelques heures après les faits par le nommé Mamadou Kanté, journaliste en poste à Ziguinchor.
Le genre d’émission radiophonique « wax sa xalaat » qui consiste à demander périodiquement, au téléphone, l’avis des auditeurs, sur un problème d’actualité, me préoccupe différemment. J’y vois, en effet, une double ruse : sujet et serveur vocal. Comment ?
Cinq dont quatre chaînes généralistes privées de télévision, plus d’une vingtaine de radios commerciales et d’information générale dans la bande FM, des dizaines de radios communautaires. On note le même engouement au niveau de la presse écrite. Une vingtaine de quotidiens privés, autant d’hebdomadaires et de magazines à la parution régulière ainsi que plusieurs autres publications apparaissant parfois à l’improviste se disputent le lectorat. Jamais l’écrit, le son et l’image, n’ont connu un tel boom des supports et des moyens de production que ceux qu’ils connaissent depuis huit ans. Jamais pouvoir politique ne s’est autant soucié également de l’information et n’a autant investi dans la communication.
C’est le silence radio définitif pour la station Première Fm. Après sept mois d’émission, Madiambal Diagne a pris la décision de fermer sa radio. Cette fois-ci, la cause n’est pas la mise sous-scellé du matériel par l’Artp, mais une non-rentabilité financière chronique qui emporte avec elle le journal satirique Cocorico. La Première Fm n’émet plus depuis hier. L’interruption de la station a été annoncée lundi par l’administrateur général du groupe Avenir communication, propriétaire de cette radio qui émettait sur la fréquence 105.9 en modulation de fréquence. La cause principale de cet arrêt, explique Madiambal Diagne qui a tenu un point de presse hier dans les locaux de son groupe de presse à Yoff, n’est autre que ‘la non-rentabilité de la station’. Car pour le patron de presse, les pertes financières étaient devenues intenables.
NETTALI - « Le problème de l’indépendance, c’est un problème qu’on ne peut pas poser » a déclaré le ministre la Fonction publique, du travail et des organisations professionnelles, Innocence Ntap Ndiaye, ce dimanche sur les ondes de Rfm. Invité dans l’émission « Grand Jury » de la station radiophonique a dire ses sentiments sur la crise casamançaise dont elle est originaire et responsable politique pour le Parti démocratique sénégalais (Pds) au pouvoir, Mme Ntap Ndiaye n’a pas mis de gant pour flétrir l’idée d’indépendance promue par le Mouvement des forces démocratique de la Casamance (Mfdc).
Lors de son récent voyage dans la capitale de la Petite Côte où il était venu rencontrer les jeunes rapatriés issus de l’émigration clandestine, le ministre de la Jeunesse et de l’Emploi, Aliou Sow, avait déclaré à qui voulait l’entendre que les sénégalais qui ont été rapatriés d‘Espagne ne pourront plus séjourner dans ce pays pendant une période de trois ans. Et, pourtant, des visas étaient mis à la disposition des jeunes. Très déçus par cette déclaration, les jeunes dont la plupart sont issus du secteur de la pêche n’ont plus d’espoir. C’est pourquoi, ces derniers qui se sont organisés en association, par la voix de leur président, avaient dit, séance tenante, que si des visas ne sont pas mis à leur disposition, ils sont prêts à reprendre les fameuses pirogues de fortune pour tenter, une fois encore, l’émigration clandestine.
Elle est plus connue sous le sobriquet de “ Maty 3 pommes ” en raison de sa petite taille. Elle se fait également remarquer par son “ look Roots” assez original : un chapeau ou un foulard, des dreadlocks, un visage de poupée souvent ultra maquillé. Cette admiratrice de Bob Marley, qu’on l’aime ou pas, fait partie des stars du petit écran et du paysage radiophonique. Grâce à son caractère bien trempé et à son insatiable désir de remise en cause perpétuelle, elle a réussi à s’imposer. Retour sur le parcours d’une battante.
