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À l’inauguration de la permanence nationale de son parti Forces démocratiques et sociales du Sénégal (FDS-Les Guelwaars),
Les récentes sorties de M. Ousmane Sonko sont révélatrices de la situation d'un homme politique angoissé, déprimé et en pleine perdition
Elle fut l'une des femmes les plus célèbres du monde tout en restant une énigme : la reine Elizabeth II a affiché un stoïcisme constant lors des 70 années d'un règne marqué par un inébranlable sens du devoir.
Kennedy, Sadate, Bhutto... L'attaque mortelle qui a visé vendredi l'ex-Premier ministre japonais Shinzo Abe rappelle des précédents d'assassinats par balles...
Il sera, selon son souhait, enterré dans le cimetière de Lumio en Corse, cette île qu’il aimait tant. Il la surnommait « mon Algérie de rechange » à cause « des odeurs de maquis » qui lui rappelaient son enfance.
Les récentes sorties de M. Ousmane Sonko sont révélatrices de la situation d'un homme politique angoissé, déprimé et en pleine perdition
Le brusque retour de Me Abdoulaye Wade devant les caméras et les micros, 60 jours après sa défaite (25 mars- 25 mai) a fait l’effet d’un coup de tonnerre dans un ciel post-électoral, jusque-là, sans gros nuages. Pourquoi ce soudain avis de tempête découlant d’une météo politique subitement en folie ? Parce que les lendemains de la seconde alternance par les urnes – après celle de 2000 – affichent une couleur inédite. Ni syndrome Senghor, ni jurisprudence Diouf. On assiste plutôt à la posture (embusquée) d’un Wade qui innove par rapport à ses prédécesseurs ; mais enquiquine son successeur.
![[ Chronique ] Délivre-nous des mollahs, amen](/sites/seneweb-com/v9/img/posts/content-horizontal/1.webp)
Il faudra une plus grande hauteur à nos historiens du futur, pour comprendre dans quelles circonstances des imams dévoués à la prière ont été poussés hors des mosquées, pour adhérer au parti de la révolte. Mais on ne peut pas ne pas y percevoir, dans l’immédiat, ce que tout le monde s’imaginait déjà, l’effondrement de notre classe politique. Tout le monde craignait le « mouvement ». Le pouvoir parce qu’il n’en voulait pas du tout.
NETTALI - Wade a peur pour ses arrières. C’est la conviction du leader du Parti de l’indépendance et du travail (Pit) Amath Dansokho, qui explique ainsi la volonté du Président de la République à propulser son fils Karim Wade au devant de la scène politique. Le Secrétaire général du Parti de l’indépendance et du Travail (Pit) était l’invité Grand format de Walf Tv, en marge de la conférence d’hier du « Front Siggil Sénégal », concomitamment à l’ouverture du 11e Sommet de l’Oci. Est-ce un contre-sommet, cette conférence de presse organisée à l’ouverture du Sommet de l’Oci ?
A la faveur des dernières élections législatives qui ont vu le Hamas remporter le scrutin, la Palestine s'est retrouvée propulsée sous les feux de la rampe. Mettant à nu l'hypocrisie d'une communauté internationale qui, comble de paradoxe, nie à la Palestine ce qu'il magnifie sous d'autres cieux : la possibilité pour les habitants de ce pays de choisir, démocratiquement, leurs représentants. De tout cela, des attentats-suicide, de la volonté d'asphyxier le peuple palestinien, des axes de la coopération entre le Sénégal et son pays, Son Excellence Abu Al Naja nous entretient.Dr Jabr Abu Al NAJA : Bisimillahi rahmani rahim ! Je suis Dr Jabr Abu Al Naja, ambassadeur de l'Etat de Palestine au Sénégal. Je suis venu ici le 15 janvier de cette année et j'ai présenté mes lettres de créances auprès du président de la République du Sénégal, Me Abdoulaye Wade, le 31 janvier dernier. Il les a acceptées. A la lumière de cela, je suis devenu, à partir de cette date, le nouvel ambassadeur palestinien auprès de la République du Sénégal.
Dans le premier jet de ce long entretien que le leader de l’Urd a accordé à l’Office, il a surtout évoqué les qualités de celui ou de ceux qui veulent conduire aux destinées des Sénégalais. Dans cette seconde partie qui n’est pas la dernière, Djibo Ka juge les qualités des trois chefs d’Etat Sénégalais qu’il a côtoyés, ses passages dans les différentes stations ministérielles, de la solidarité gouvernementale… Quels sont vos rapports avec l’argent ? Un homme au service de l’Etat qui est différent d’un homme d’Etat, n’a plus aucune légitimité pour diriger les gens s’il vole. Parce que c’est servir et non pas se servir. Et c’est pourquoi, quand je vois applaudir des voleurs, je ne comprends pas. Dans notre culture, quand un voleur est pris la main dans le sac, cela peut provoquer le suicide, même si l’accusé ne la pas commis.
