Info Le Témoin : «Le procureur Ibrahima Ndoye sur siège éjectable»
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Info Le Témoin : «Le procureur Ibrahima Ndoye sur siège éjectable»
Bassirou Mbaye était enseignant à l’école Théophile Turpin de Ndiaffate, dans le département de Kaolack.
Seneweb en sait un peu plus sur les raisons de la mort de Bassirou Mbaye, enseignant à l'école élémentaire Théophile Turpin.
L’ancien arrière droit de l’équipe du Sénégal de Football Pape Fall a annoncé à l’APS avoir accepté de mettre la main à la pâte en se joignant au projet d’Africa Foot de Dakar, récemment promu en National 2 (4-ème division).
Bassirou Mbaye était enseignant à l’école Théophile Turpin de Ndiaffate, dans le département de Kaolack.
Seneweb en sait un peu plus sur les raisons de la mort de Bassirou Mbaye, enseignant à l'école élémentaire Théophile Turpin.
Yabou Camara, une ménagère âgée de 45 ans et mère de deux enfants, a été condamnée mercredi aux travaux forcés à perpétuité, pour avoir provoqué un à l’origine de la mort de quatre personnes.
Dali Bakhoum a été condamné lundi par la Cour d'assises de Kaolack (Centre) aux travaux forcés à perpétuité, pour avoir tué son épouse, incendié le domicile de ses beaux-parents et tenté d’assassiner sa belle-mère.
L’accusé Cheikh Diawo, qui avait bénéficié de liberté provisoire un an après la commission en octobre 2000 d’un meurtre sur son cousin Mamadou Sow, a été condamné, mardi, à cinq ans de travaux forcés, par la Cour d’assises de Kaolack.
L’accusé Cheikh Diawo, qui avait bénéficié de liberté provisoire un an après la commission en octobre 2000 d’un meurtre sur son cousin Mamadou Sow, a été condamné, mardi, à cinq ans de travaux forcés, par la Cour d’assises de Kaolack.
Le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) s’est réuni le mardi 22 janvier 2013, sous la présidence de son excellence Monsieur Macky SALL, Président de la République, Président dudit Conseil.
Le Président Macky Sall a nommé l’homme qui va présider la juridiction chargée de traquer ceux qui se sont enrichis d’une manière illicite : Mandiogou Ndiaye. Un magistrat qui n’est pas inconnu des Sénégalais.Le nom du justicier est lâché. Celui qui a la lourde et délicate tâche de présider la Cour de répression de l’enrichissement illicite.
Les révélations des détenus dans l’affaire des insurgés de Vélingara lors de leur procès ont fini d’installer un réel malaise dans le Fouladou. Aujourd’hui, les traces des sévices corporels subis entre les mains des gendarmes sont encore visibles. Les 36 jeunes insurgés de Vélingara doivent attendre le 5 Mai prochain pour être fixés sur leur sort. Après une audience de 18 heures d’horloge, le juge des flagrants délits de Kolda a mis ce procès en délibéré plongeant toute la population locale dans une véritable consternation.
Le vendredi 19 mars 2010, l’Alternance a bouclé sa première décennie. Qu’en est-il aujourd’hui du secteur de la justice, à un moment où celui-ci est au centre de toutes les attentions ? De prime abord, les grandes équations juridiques qui n’ont toujours pas été résolues : le cas de l’ex-président tchadien Hissène Habré et l’affaire des neuf mandats d’arrêt lancés dans le cadre du naufrage du bateau Le Joola.
NETTALI - Le tribunal correctionnel de Dakar a finalement vidé son verdict dans l’affaire dite de la corruption dans la magistrature. Après délibération, le juge a relaxé Momar War Seck, Djiby Ndiaye, Rawane Fall et Me Mamadou Diop du chef de corruption active et de complicité de corruption. Il a disqualifié les faits reprochés à Momar War Seck, Djiby Ndiaye, Rawane Fall en trafic d’influence et complicité avant de les condamner à 2 ans avec sursis. Le greffier Yabal Dieng a, lui, aussi été relaxé du délit de tentative d’escroquerie pour lequel il était poursuivi. Le procureur avait pourtant requis un an ferme contre eux.
L’histoire retiendra que c’est en 2006 que la corruption au sein de la magistrature, toujours rouspétée, a été découverte. La somme de 15 millions de francs Cfa a été cachée sous les robes rouges et noires des magistrats pour influer sur un verdict. Alors que les civils corrupteurs croupissent en prison, les magistrats corrompus ont été épargnés de sanctions pénales. Paradoxe d’un dossier. Dans un pays où presque tous les secteurs voient rouge, celui de la magistrature s’est tristement illustré en 2006. Elle a, en effet, connu une noire page de son histoire, pour avoir été secouée par une histoire de corruption.
Si l'enregistrement fait par Djiby Ndiaye est versé dans les éléments de preuve contre lui et ses acolytes, le gérant démissionnaire du groupe Futurs médias aurait mis entre les mains de ses bourreaux l'arme fatale. Cette éventualité n'est, pourtant, pas à écarter puisque le cas Barthélémy Dias pourrait faire jurisprudence. En enregistrant, à leur insu, les différents intervenants (dont lui-même) dans l'affaire dite de la corruption dans la magistrature, Djiby Ndiaye savait-il qu'il était en train de fournir l'arme fatale qui servira à lui couper la tête une fois sur le billot de la justice ? Sans doute pas. Mais, c'est ce qui risque de se produire puisque le Cd pourrait être l'élément nodal autour duquel le procureur de la République va essayer d'établir sa culpabilité ainsi que celle de Momar War Seck, Rawane Fall et Mamadou Diop.
Aucun magistrat n'a, finalement, été sanctionné pour corruption dans l'affaire des pots-de-vin dans la justice. Ils ont tous été épinglés pour fautes professionnelles. Djiby Ndiaye, Momar War Seck, Rawane Fall et Mamadou Diop devront alors répondre, seuls, devant une juridiction pénale pour corruption. Sont-ils les dindons d'une farce... juridique ? Tout incline à le croire. Puisque les magistrats sur qui pesaient de fortes présomptions de corruption ne sont pas poursuivis pour ce délit. Pas pour le moment, en tout cas. Le seront-ils ? En tout cas, ils n'ont écopé que des sanctions disciplinaires alors que Djiby Ndiaye et compagnie vont passer devant le tribunal pour répondre du délit de corruption. Pis, leurs avocats ne pourront même pas citer à témoin les magistrats mis en cause.
Après Théophile Turpin, Cheikh Bamba Niang et Aminata Mbaye qui ont été sanctionné la semaine dernière par le conseil de discipline de la magistrature, c’est au tour d’Ibrahima Bakhoum se se voir infliger une sanction par ses pairs. Jugé hier devant la Cour de Cassation, il a été interdit d’exercer les chefs de juridiction et de parquet pour une durée de 5 ans. Ainsi Ibrahima Bakhoum n’est plus membre de la Cour d’appel de Ziguinchor qui était en voie d’être installé. Il a été démis de ses fonctions actuelles et sera affecté d’office lors du prochain Conseil supérieur de la magistrature. Ainsi en a décidé le conseil de discipline de la magistrature qui l’a jugé hier devant la Cour de cassation. Il a écopé en sus d’une interdiction d’exercer les fonctions de chef de juridiction et de parquet pour une durée de 5 ans. La même sanction infligée au juge Théophile Turpin qui a été cité dans l’affaire de la corruption de la magistrature.
Les 117 affaires laissées en souffrance jusqu’à prescription au deuxième Cabinet d’instruction alors dirigé par le juge, Moustapha Sèye, suscitent un questionnement au sein de la hiérarchie judiciaire. Une enquête est ouverte par l’Inspection générale de l’administration de la justice (Igaj) pour déterminer les raisons de cette situation sujette à diverses interprétations. Les comptes de Aminata Mbaye, Théophile Turpin et Ahmadou Bamba Niang soldés, jeudi dernier, par le Conseil supérieur de la magistrature statuant en matière disciplinaire et communément appelé Conseil de discipline, l’Inspection générale de l’administration de la justice (Igaj) fouine dans les affaires du juge Moustapha Sèye.