Bonjour Prince Karim, et joyeux anniversaire, j’espère que vous vous portez bien. Tout d’abord, permettez-moi de m’enquérir de la santé de Sa Majesté, votre père, Abou, comme l’appellent ses petits enfants. J’ose espérer que le « brûlot de l’été » n’a pas perturbé son agréable séjour en territoire helvético-français, et qu’il ne souffre pas trop du syndrome de la montgolfière à cause de ses longs séjours dans les airs. Vous comprendrez aisément mon inquiétude, car en dehors des dérives du Sopi ou scandales infiniment rapportés par la presse, j’ai eu très peu de vos nouvelles, depuis ma dernière correspondance d’il y a un an publiée dans Le Quotidien, et qui avait valu à Mamadou Biaye, le directeur de publication, une convocation à la Dic, pendant 7h d’intimidation et de bavardages futiles.
il y a 16 ans
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