Le Sénégal est en deuil
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Le Sénégal est en deuil
Dans une ambiance festive empreinte de solidarité, la plage de Yoff a vibré, ce week-end, au rythme de la 4e édition des régates traditionnelles, une manifestation culturelle et sportive organisée par le GIE Yeggo, une plateforme regroupant les pêcheurs de la Collectivité léboue.
De notre Antiquité égyptienne, comme revendication, à la Civilisation de l’Universel, comme tension, le Sénégal a toujours été une promesse au monde, une ambition culturelle, une vocation à l’excellence, une exigence démocratique, une porte océane ouverte à tous les ailleurs fécondants, le limon fertile de tous les enracinements.
Guet-Ndar est considérée comme l'une des plus fortes concentrations humaines de pêcheurs au Sénégal. Une localité qui tire sa réputation de ses ressources halieutiques
« Mieux vaut prévenir que guérir » !
Les Lébous constituent une communauté au Sénégal. Traditionnellement pêcheurs mais aussi agriculteurs, ils sont concentrés dans la presqu’île du Cap-Vert (Dakar) qu’ils occupaient à l’arrivée des premiers colons dans la région. Ils parlent la langue wolof deswolofs, qui contrairement à ce qui est admis, n’est pas le dialecte initial de ces derniers. La langue wolof était en fait à l’origine la langue des lébous. Ils ont été les haut-parleurs d’origine du wolof. Ils sont désormais majoritairement musulmans, mais ont conservé des pratiques issues de leur religion traditionnelle.
Le maire de Yoff, Abdoulaye Diouf Sarr, a organisé la première Édition « Sargal » de la mairie de Yoff. Une initiative qui lui a permis d’honorer les autorités religieuses et coutumières de la commune. Une rencontre qui a été aussi marquée par la remise de décorations aux ministres Sidiki Kaba et Thierno Alassane Sall. Ces derniers ont été élevés au grade de citoyen d’honneur de la commune.
Ils ont rythmé notre vie, fait danser, chanter ou amusé sur petit écran... Beaucoup d’artistes nous ont quittés cette année. Dernier hommage aux personnalités disparues en 2015.
Quartier populaire, situé à la périphérie du centre ville, Médina, un brin chic, est chanté et filmé depuis 100 ans par une génération d'artistes. Repère des guides religieux du Sénégal, Médina entretient la légende de Dakar. Entre religion, cinéma, musique et cartes postales, la Médine de Dakar s'accroche encore à son passé. Petit tour de quartier !
Homme de paix et de consensus, ceux qui l’ont approché auront surtout perçu l’horreur instinctive qu’il portait à la fourberie, et sa désolation intérieurement du clivage qui, à travers les âges, semble poursuivre comme une malédiction la Collectivité Léboue.
Le « Faniké », la cérémonie marquant la sortie des circoncis en milieu mandingue a été célébrée dimanche 28 septembre 2014 à Mbour (située sur la Petite-Côte, à environ 80 km au sud de Dakar). Venus de divers horizons, la capitale de la Petite Côte est prise d'assaut par plusieurs sénégalais et même par des étrangers, curieux de découvrir les rites initiatiques mandingues et le Kankourang, génie-Protecteur des nouveaux circoncis.
Jaraaf par la lignée maternelle et paternelle, un héritage qu’il dit tenir de ses aïeuls, Alioune Diagne Guèye se présente comme le jaraaf légitime du village de Ouakam, en d’autres termes, le chef de la communauté léboue. Mais «le plus important, c’est d’incarner la tâche et avec tous, et tout en étant conforme avec les lois fixées par la communauté», a-t-il soutenu lors d’un entretien avec le quotidien La Tribune, ce mardi.
Ce dimanche, une partie de la collectivité lébou intronise Abdoulaye Makhtar Diop comme Grand Serigne de Dakar. Un choix contesté par l'autre camp qui considère que Ibrahima Diagne est le successeur légitime qui doit diriger la communauté. Ce n'est pas la première fois que les Lébous, qui font partie des premiers habitants de Dakar, font face à une telle division. Dans cette enquête, "Le Soleil" revisite l'histoire de ce peuple qui, depuis plusieurs siècles, a marqué le Sénégal et sa capitale.
Le camp de Massamba Diop Coki a choisi Abdoulaye Makhtar Diop, tandis que celui de Bassirou Diagne Marème Diop a désigné Pape Ibrahima Diagne, fils aîné de ce dernier comme successeur au trône de son père.
C’est officiel. L’intérim du défunt « Grand Serigne » de Dakar sera assuré par El Hadji Gor Narou Guèye, Président des Assemblées consultatives. Après de le rappel à Dieu du Grand Serigne de Dakar, Chef Supérieur de la Collectivité Léboue, El Hadji Bassirou Diagne Maréme Diop, le Collectif des Notables et Grands Dignitaires de la Collectivité Léboue s’est réuni à sa permanence, ce jeudi 11 avril 2013, sous la présidence effective du «Ndéyi Ndiambour» (El Hadji Gor Narou Guèye) qui sera chargé d’assurer l’intérim de Bassirou Diagne.
A présent que les lampions se sont éteints sur les funérailles majestueuses du 18è Chef supérieur de la Collectivité Léboue, le Grand Serigne de Dakar El hadji Bassirou Diagne Maréme Diop, les membres de la grande famille du «Lébougui», toutes obédiences confondues, qui s’étaient pour la circonstance hardiment mobilisés, de Yoff à Malika, de Toubab Dialaw à Diander pour rendre un hommage mérité au dernier des «Mohicans»,
La récurrence des problèmes du foncier à Dakar résulte de l’anachronisme de trois facteurs comme les régimes fonciers en pratique, les instruments de gestion des patrimoines concernés et les manœuvres des hommes chargés de mettre en pratique ces instruments. C’est la conclusion du Docteur Djibril Diop qui présentait ce jeudi 15 novembre une communication sur «La problématique de l’accès au foncier à Dakar» lors d’un colloque à l’Université de Montréal.
Le nouveau Jaraaf de Ouakam, El Hadj Oumar Samb Guèye, a été intronisé, lundi, à Ouakam (village lébou de Dakar), lors d'une cérémonie au cours de laquelle la tradition s'est mêlée à la religion, a constaté l'APSDurant son intronisation, El Hadj Oumar Samb Guèye, qui aura 72 ans en février prochain, a prêté serment en jurant fidélité, engagement et honneur à la communauté léboue. Il devient ainsi le treizième Jaraaf de Ouakam en remplacement de feu son grand-frère El Hadj Seybatou Guèye. Il a reçu le bâton mystique qui lui a été transmis par un patriarche.
L’effervescence de la Tabaski aidant, ma ville est devenue, ou plus exactement redevenue, la ville que j’aime : bruyante, souriante, rehaussée de cette aura caractéristique des grandes villes. En somme pleine de vie.
La collectivité léboue de Ouakam a fait des offrandes pour le Monument de la renaissance africaine. Des sacrifices qui auraient été recommandés par le chef de l’Etat après avoir mis la main à la poche. Un bœuf et une chèvre ont été immolés sous l’édifice, sur ordre du Jaraaf de Ouakam, Youssou Ndoye. Ce dernier a profité de cette journée pour dire aux Ouakamois de bien entretenir le Monument du fait des avantages qu’ils pourraient en tirer. «Mbagne Thiowe», le génie protecteur du village traditionnel de Ouakam, veillera-t-il sur le Monument de la renaissance africaine. Si l’on sait que tous ses désirs ont été satisfaits, hier, lors d’une séance spéciale de «ndeup».