La brigade régionale des stupéfiants de Dakar de l’OCRTIS, le jeudi 9 octobre 2025, aux environs de 21 h, a arrêté deux chauffeurs pour association de malfaiteurs et détention de huit sachets et 19 képas de kush.
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
La brigade régionale des stupéfiants de Dakar de l’OCRTIS, le jeudi 9 octobre 2025, aux environs de 21 h, a arrêté deux chauffeurs pour association de malfaiteurs et détention de huit sachets et 19 képas de kush.
Les éléments de la Brigade de recherches du Commissariat d'arrondissement de Zac Mbao ont mis fin aux activités d'un trafiquant de drogue opérant dans la cité SAGEF.
Ce jeudi 9 octobre 2025, vers 5 h, les éléments de la brigade de recherches du commissariat d'arrondissement de Golf-Sud...
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
Les enquêteurs de la Brigade Régionale des Stupéfiants de Dakar ont frappé fort.
Une opération de surveillance menée par la Brigade de Recherches de la compagnie de gendarmerie de Keur Massar a permis le démantèlement d'un réseau de trafic de drogue opérant sur le marché local.
Trafic de drogue : le dealer arrêté puis relâché par la police, la pression des voisins dont l’imam du village était trop forte
Trafic de drogue : un coup dur pour le réseau des Maristes
La brigade régionale des stupéfiants (BRS) de Kaolack, relevant de l’OCRTIS, a porté un coup dur au trafic de drogue dans le centre du pays.
Une opération menée par la Brigade de Recherches du commissariat d’arrondissement de Grand-Yoff a permis l’interpellation de cinq individus impliqués dans un réseau de trafic de chanvre indien.
Vaste opération de sécurisation à Dakar et démantèlement d'un réseau de trafic de drogue à Podor !
Diamniadio : 11 membres d’un réseau de trafic de drogue arrêtés par la gendarmerie
6 arrestations à Tivaouane-Peulh : L'OCRTIS frappe au cœur d'un trafic et d'une culture de drogue
Dans la nuit du samedi 20 au dimanche 21 septembre 2025, les éléments du commissariat central de Rufisque ont mis la main sur un important trafic de chanvre indien.
Le poste de police de Yeumbeul Sud a encore marqué un coup dans la lutte contre le trafic de drogue.
Les agents des douanes sénégalaises viennent de réaliser un nouveau coup de filet majeur dans la lutte contre le trafic international de drogue
Le mardi matin 16 septembre 2025, aux environs de 6 h, des éléments de la brigade régionale des stupéfiants (BRS) de Kédougou, sous la coordination de l’OCRTIS, ont mis fin aux activités d’un présumé trafiquant de drogue dans le quartier de Gada Dinguessou.
En pleine patrouille dans le secteur de Dieuppeul-Derklé, les éléments de la Brigade de lutte contre la criminalité (BLC) de la Sûreté urbaine du commissariat central de Dakar ont procédé à l’interpellation d’un individu impliqué dans un trafic de drogue.
Le 10 septembre 2025, vers 14 heures, une opération menée par les éléments de la Brigade régionale des stupéfiants de Kaffrine relevant de l’OCRTIS a permis de mettre la main sur deux individus en possession de chanvre indien.
Le 11 septembre 2025, vers 21h30, une opération de la Brigade régionale des stupéfiants (BRS) de l’OCRTIS à Dakar a conduit à l’arrestation de trois ressortissants sierra-léonais impliqués dans un trafic de drogue.