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Reshuffle: A new form of governance that aims to be more discreet (Moussa Diaw)

Auteur: Bernadette Seynabou FAYE

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Remaniement : Une nouvelle forme de gouvernance qui se veut plus discrète (Moussa Diaw)

Moussa Diaw, a political science lecturer and researcher at Gaston Berger University (UGB) in Saint-Louis, said that the new authorities' desire to refocus the "sovereign ministries" (Justice and Interior) around figures much closer to Pastef is in the natural order of things in politics, while stressing that this reshuffle reflects a new form of governance that is intended to be more discreet.

"This change is not at all surprising. A government is, above all, a team composed of elements sharing the same vision and who, through political struggle, come to power. Therefore, it is perfectly normal that it can implement this vision in all areas," he maintained.

For the academic, this technocratic management has not taken into account the political nature of these ministries, which are subject to intense pressure from Pastef officials and activists. "These appointments of more politically prominent profiles allow for a fair return to more common political practices. They reflect a desire to regain control of these two key sectors for the party, which is under pressure from former political prisoners demanding full light on the events of March 2021 and June 2024," he said, adding that the action of technocrats within the "sovereign ministries" has shown its limits by causing a rift between Pastef's activist base and the party's ruling elite.

According to Professor Diaw, this reshuffle reflects a desire to inject new momentum into government action, after seventeen months of management by the previous team. "This reshuffle reflects a new form of governance that is intended to be more discreet. After taking stock and eliminating shortcomings in many ministries, some of which have been restructured for greater clarity and efficiency, the authorities deemed it necessary to carry out this reshuffle," he concluded.

Auteur: Bernadette Seynabou FAYE
Publié le: Lundi 08 Septembre 2025

Commentaires (13)

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    Dfij il y a 1 jour

    C’est qui ce nervis ?

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    Usurpateur il y a 1 jour

    Merci de nous avoir indiquer son titre. Un vrai Nervis, sûrement qui a usurpé ke titre d'universitaire. Il aurait tout simplement usurpé le titre de client.

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    Salih il y a 1 jour

    Heee yallah un fou de Pastef magui pastefen

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    Nianthio il y a 1 jour

    Memes chiens memes conneries. Tout est indiscipline dans ce parti. Que de singes et de guenons dans ce parti!

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    TeX willer il y a 1 jour

    Quand un universitaire se retrouve à dire des banalités pareilles ( je sais pas quoi discret), il est préférable qu'il se taise. K

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    Décevant il y a 1 jour

    Ce monsieur connaît il le concept de gouvernance pour nous pondre un texte pareil. Nous retournons à l'orthodoxie soviétique de parti état. Mais, en s'embouegeoisant, il est facile de se déconnecter du peuple et le réveil sera brutal en 2029 à l'heure où vous saurez que le Sénégal a toujours réglé le problème des apprentis dictateurs.

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    Dj il y a 1 jour

    Pourquoi perdre du temps a écrire ce texte voilà nieneu thi souniou universitaire couché baisé mordu qui mérite la pendaison

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    Bamba il y a 1 jour

    Je suis découragé de ce pays

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    Platitude il y a 1 jour

    Effectivement ce MOUSSA DIAW , assistant à la retraite dit beaucoup de banalités.
    Il devrait se taire parfois
    Un propos plat et sans valeur ajoutée

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    Mendicité il y a 1 jour

    Ce vieux il est en train de mendier un poste de PCA. Normal il est à la retraite.

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    Aamx il y a 1 jour

    Le Sénégal est malade de ces "intellectuels"

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    Manam il y a 1 jour

    C'est à cause de ce genres d'intellectuels que les pauvres ont donné le pouvoir à des incompétents.
    Certains intellectuels sont juste des lâ.ches qui n'ont pas le courage de salir dans la politique.
    Ils préfèrent lécher pour avoir un poste.
    Dégueu...

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    morts en mer il y a 1 jour

    08-09-2025 12:36 - 119 migrants en situation irrégulière secourus au large des côtes mauritaniennes

    Les garde-côtes mauritaniens ont secouru 119 migrants en situation irrégulière à bord d'une embarcation au large de Mhaijratt, dans la wilaya de l'Inchiri.

    Les miraculés de plusieurs nationalités comptaient 54 Gambiens, dont 10 femmes ; 15 guinéens et 50 Sénégalais, dont une femme, a révélé un communiqué publié par le ministère de la Pêche et des infrastructures portuaires et maritimes sur son site web officiel.

    L’embarcation sinistrée avait quitté la Gambie le lundi 1er septembre 2025. Le voyage a duré une semaine, au cours de laquelle le moteur de la pirogue est tombé en panne, exposant les migrants à la noyade.

    Contactés, les garde-côtes ont lancé, en coopération avec plusieurs navires, l'opération de sauvetage et transporté les migrants à Nouakchott pour y être pris en charge conformément aux procédures établies, indique le Département de la pêche.
    LE CARNAGE SE POURSUIT PENDANT QUE LES INTELLECTUELS PARLENT DU SEXE DES ANGES

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    Diaw abdoukhadre il y a 1 jour

    Belle analyse. MassaAllah. Les interventions du professeur Moussa Diaw sont toujours très intéressantes. Tawfexx rek Professeur.

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    Par contre il y a 1 jour

    Par contre dire que les interventions de ce monsieur soient intéressantes ne correspond absolument pas à la réalité; ce qu'il dit est toujours d'une banalité à pleurer; je me demande comment un tel individu peut se réclamer de l'Enseignement supérieur !!! Mais où il devient intéressant, c'est quand il se hasarde à faire des pronostics: vous pouvez être certain qu'il passera à côté ... Ce monsieur est une honte !!!

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    Fall Saliou il y a 11 heures

    Merci de vos analyses toujours pertinentes au-delà des considérations partisans. Les faux intellectuels sont ceux qui aboient dans les réseaux sociaux et adeptes de needo ko Bandoum.

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