‘’Consommer local’’ : Les députés s’engagent pour l’adoption d’un pacte national
"Buying local" will soon no longer be just a slogan but a reality deeply rooted in the daily lives of Senegalese people. In line with the presidential directive for defining an integrated strategy for processing local products and promoting "buying local," members of parliament pledged this Wednesday to make this injunction from the Head of State a reality. Celebrating "Buying Local" Month at the National Assembly in partnership with Cicodev (Pan-African Institute for Citizenship, Consumers and Development) and the National Federation of Chefs, the parliamentarians promised to "build protective and structuring public policies" aimed at achieving food sovereignty based on the promotion of local products.
Co-chairing this meeting between parliamentarians and stakeholders in the food system (producers, consumer associations, policymakers, etc.), Ibrahima Mbodji, Chairman of the National Assembly's Rural Development Committee, welcomed this timely initiative. "Consuming local products is an integral part of the Senegal 2050 Transformation Agenda. Therefore, it is a concern that is well addressed by our framework. This is why the President of the Republic and his Prime Minister established a Ministry of Agriculture, Food Sovereignty, and Livestock," he explained.
It is also within this same framework, he continued, that President Diomaye Faye ordered the relevant ministry to revise the agricultural, forestry, livestock, and fisheries law (LOASPH). This revision places the consumer at the heart of the supply chain. President Mbodji is convinced that: "To speak of food sovereignty, Africans must consume what they produce and produce what they consume."
This obligation is all the more pressing given that Senegal imports over 1,070 billion CFA francs worth of food products annually, according to figures from Minister Mabouba Diagne. Thus, the national pact for "buying local" is the appropriate mechanism to reverse this export-oriented consumption pattern. "With the revision of its agricultural, forestry, livestock, and fisheries law, Senegal has taken the 'buy local' initiative to heart, stating: we must balance our production. Furthermore, just a week ago, the Head of State indicated in the Council of Ministers that the government must consider the promotion of buying local an imperative," rejoices Amadou Kanouté, Executive Director of Cicodev.
The repeal of the GMO law is being demanded.
The representative of consumer associations at the High Council meeting on the LOASPH (Law on the Organization of the Social and Health Promotion) at the Palais de Justice believes that promoting local consumption and a sustainable food system cannot coexist with the biosecurity law authorizing the use of genetically modified organisms (GMOs). This law was adopted surreptitiously and without debate by the National Assembly on June 14, 2022.
“In my humble opinion, GMOs do not seem fit for consumption. As parliamentarians, we must adopt laws that protect the health of our fellow citizens. In collaboration with civil society, we will study the ins and outs of this biosafety law to see what can be done,” assured MP Ibrahima Mbodji, questioned by Amadou Kanouté.
Commentaires (13)
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Le consommer local est porté par le ministre du commerce et de l' industrie et non celui de l' agriculture
À 42 ans, Vitomir Maricic est entré dans les livres d’histoire cet été après avoir pulvérisé le record d’apnée statique en restant sous l’eau durant 29 minutes et 3 secondes.
Il faut commencer par produire pour pouvoir consommer local.
Plus de costume , le restaurant des député petit dej FONDÉdejeuner deuguine en attendant et vous devez commencé des demain
La mine horrifiée, la louche à la main, la jeune femme semble avoir vu un fantôme. Dans une vidéo publiée ce lundi 3 novembre sur TikTok, une utilisatrice a partagé une anecdote cocasse avec les internautes..............Après avoir commandé un foutou, un plat africain, le soir du 31 décembre 2024, la cliente a eu une grande frayeur lorsqu’elle a semblé distinguer dans son plat un morceau de pied humain. Dans la vidéo, on la voit remuer la sauce avec sa louche. « Je vais mourir, c’est quoi ça ? », s’exclame-t-elle.
Prise de panique, elle a même décidé de prévenir la police. Les agents se sont déplacés à son domicile pour découvrir… Un morceau de crabe. La jeune femme a préféré rire de sa mésaventure, et a donc publié une vidéo et des photos du passage de la police chez elle sur le réseau social chinois.
Allee voté fes lois sur les publicites mensongère au niveau des tellevision qui détruisant la santé de beaucoup de senegalais et condamné sévèrement les journaliste ou animateur qui le font et se sucrent
Ils faut les considéré comme des criminels
Avec un secteur informel qui ne fait que parler et des entreprises non viables faute d’investissements comment consommer local ?
Pour consommer il faut avoir quoi consommer les Sénégalais souffrent c'est la misère dans notre pays.
Le député son vraiment dans la diversion,noius avons hérité d’un code électoral liberticide taillé sur mesure pour les adversaires de Macky.Ni Diomaye n’envisage de déposer une projet de loi encore moins la majorité parlementaire n’envisage de déposer un projet de loi pour abroger les conneries de Mavky.Pourquoi une personne qui est condamnée a une peine de plus de six mois avec sursis ne peut pas être candidat mais un voleur définitivement condamné pour retournement de deniers publics comme Khalifa Sall amnistié peut l’être.Pour connaître les véritables intentions de Diomaye sur sa volonté de faire un second mandat il faut modifier le code électoral et le lui soumettre pour promulgation ,s’il joue au dilatoire ou refusé on aura compris qu’il assume désormais sa trahison
Comment peut-on promouvoir le consommer local alors que les lunettes de Diomaye, la chemise, le tissus de la veste, ses chaussettes, sa ceinture, sa cravate etc… viennent tous de l’étranger. Je suis sur que ce président n’a pas manger local, excepté un peu de lakh, depuis qu’il a mis les pieds au palais. On a tous vu le changement systématique de Diomaye : on entre au palais avec un diampoute et un baye lakhate, le voila en costume occidental. Le consommer local ne se décréte pas.
On ne peut pas imposer a kelk un de consommer autre k ce qu il veut et peux. Vous pouvez cependant améliorer qualité et prix du local - ensuite chacun décide. Le problème est que ceux qui dirigent considère le pays comme une entreprise. Ils lancent des slogans et pensent k tout va se réaliser - Proposez plutôt des grandes lignes avec institutions et conseillers et regardez comment soutenir les populations - Pour l' instant bcp de secteurs sont a l' arrêt . chômage ou retards de salaires de plusieurs mois. Etes vous aveugles. Certains dommages ne se réparent pas facilement. Quand d' autres nations sont si industrialises pour construire TGV, complexes, bateaux etc .. Nous on nous parle de riz, élevage, pêche et point avec 3 mois de saison des pluies
Consommer local un slogan vide qui sonne à nos oreilles depuis les années 90. Nous ne sommes compétitifs dans aucun domaine pour promouvoir le consommer local. Même pas du mil de qualité à un bon prix. L’oignon et la pomme de terre coûtent deux fois cher au Sénégal que dans bcp de pays comme l’Algérie l’Égypte. La banane sénégalaise de qualité inférieure à la banane ivoirienne a été vendue à 1000 francs le kg au consommateur. Ce système de protection des agriculteurs est avantageux pour les importateurs d’oignons de pommes de terre qui seuls bénéficient des autorisations d’importation. Tout ça se fait au détriment du pauvre consommateur très éprouvés. Jusqu’à quand ce pilotage a vue ???
Inciter nos acteurs économiques à être compétitif accompagner les réguler le marché mais ne les protéger pas au nom du consommer local au détriment du consommateur sénégalais qui a le droit de vivre aisément.
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