Visite de chantiers : Mansour Faye reprend ses fonctions et adresse un message à l'Etat
À peine libéré, le maire de Saint-Louis, Mansour Faye, a repris le travail avec une visite de terrain sur plusieurs chantiers de la commune. Accompagné de ses collaborateurs, il a annoncé la poursuite des projets en cours et appelé à la concrétisation de ceux initiés par l’État.
«C’est une reprise normale après quatre mois d’absence. La commune a continué de fonctionner et plusieurs projets ont bien avancé», a-t-il déclaré. Le maire a notamment visité l’école Fandiéry Koné, récemment reconstruite, ainsi que d’autres établissements scolaires réhabilités dans le cadre du programme Pacasen.
Mansour Faye s’est également rendu au stade Maradouane, où la commune investit plus de 350 millions de francs CFA pour la réfection de la pelouse.
Il a aussi inspecté les travaux de la Place Baya Ndar, de l’avenue Jean Mermoz et du village artisanal, financés à hauteur de 2,5 milliards de francs CFA dans le cadre du développement touristique.
Enfin, l’édile a exhorté l’Etat à finaliser plusieurs projets structurants, dont l’assainissement de Pikine, le programme Promoville et la construction de l’hôpital Alioune Badara Cissé, afin d’améliorer les conditions de vie des habitants de la ville tricentenaire.
Commentaires (24)
Merci monsieur le maire
Merci beaucoup Mansour, seul le travail paye Bientôt 2029, le peuple fera le reste #MossDem
Les nouvelles autorités ont manqué de courage politique. Ils ne sont pas allés jusqu'au bout de leur logique Covid Gate. Wade aurait placé rapidement la Mairie Stlouis sous Délégation Spéciale. Aujourd'hui, Mansour prend du galon en matière d'expérience politique. Difficile de le battre lors des prochaines élections municipales. Même Déthie, déjà pas Prince de Stlouis aura d'énormes difficultés pour tenter d'ébranler Mansour Faye.
C de la politique: il devrait avoir honte de parker de la place Baya avec l'argent qu'il dit avoir bouzié là bas lors des premiers travaux, des milliard investis juste pr avoir une dalle en béton armée devenu le lieu privilégié des jakartamen et des fous errants
foutez nous la paix vous parlez de milliards mais jamais de preuves
foutez nous la paix vous parlez de milliards mais jamais de preuves
ligueye rek, sonko prend en de la graine
Leurs anus bouillent que le maire est libéré. Où sont ceux qui réclamaient la délégation spéciale?
La place Baya est une farce.
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Champ de 2 hectares a Diogo après mboro en 1er position de la route nationale zone agricole très fertile, prix : prix 2 8nationale00 000 FCFA par hectares
Infos et vidéo : 7 7 3 7 7 8 1 4 5
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copain lolou dafa cher
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C'est le maire le plus minable que la ville de ndar a eu. Il doit sa position du fait d'être le frère de la femme de Macky Sall. Il a abusé de cette faveur pour s'enrichir sur le dos des ndar ndar
Vous n’êtes pas Jahman vous êtes Satanman.. Le maire le plus minable du Sénégal c’est ce Petit Mec qui fut maire de Zinguinchor: bilan zéro. À son seul actif une benne à poubelles d’occasion exhibée avec fierté
Le régime Pastef semble s’engager dans une voie périlleuse avec sa politique actuelle d’arrestations et de poursuites, menée au nom de la soi-disant « reddition des comptes » et des enquêtes sur les événements insurrectionnels de 2021 à 2024. Ce qui devait être une opération de moralisation de la vie publique donne aujourd’hui l’image d’une chasse aux adversaires politiques, perçue par une grande partie de la population comme sélective et motivée par la vengeance plutôt que par la justice.
En s’attaquant frontalement à des figures bien implantées dans leurs fiefs, le pouvoir semble ignorer une réalité politique fondamentale : la victimisation renforce la légitimité. Les mobilisations populaires récentes en sont la preuve éclatante. Au nord, Farba Ngom bénéficie d’un regain de soutien impressionnant ; à Saint-Louis, Mansour Faye rallie de plus en plus de partisans ; à Louga, Moustapha Diop suscite une ferveur populaire inattendue ; et à Dakar, le mouvement du Rappel à l’ordre parvient à fédérer un large front citoyen en dénonçant ce qu’il considère comme une justice à deux vitesses.
Ces signaux devraient alerter les dirigeants du Pastef : en voulant neutraliser leurs adversaires, ils risquent au contraire de consolider leur statut de martyrs politiques et de leur offrir une nouvelle légitimité morale. L’opinion publique sénégalaise, profondément attachée à la justice et à l’équité, réagit mal à ce qu’elle perçoit comme une instrumentalisation du pouvoir judiciaire. Plus les arrestations se multiplient, plus elles alimentent le sentiment d’injustice et la frustration populaire, y compris parmi ceux qui n’étaient pas initialement hostiles au régime.
Si cette stratégie n’est pas corrigée, elle pourrait se retourner contre le Pastef. L’histoire politique du Sénégal montre que la répression a souvent précédé la défaite électorale : chaque fois qu’un pouvoir s’est enfermé dans la logique de la confrontation plutôt que du dialogue, il a fini par perdre le soutien populaire. En poursuivant sur cette voie, le Pastef risque non seulement d’éroder sa crédibilité, mais aussi de fragiliser le climat social et politique du pays.
Le régime Pastef semble s’engager dans une voie périlleuse avec sa politique actuelle d’arrestations et de poursuites, menée au nom de la soi-disant « reddition des comptes » et des enquêtes sur les événements insurrectionnels de 2021 à 2024. Ce qui devait être une opération de moralisation de la vie publique donne aujourd’hui l’image d’une chasse aux adversaires politiques, perçue par une grande partie de la population comme sélective et motivée par la vengeance plutôt que par la justice.
En s’attaquant frontalement à des figures bien implantées dans leurs fiefs, le pouvoir semble ignorer une réalité politique fondamentale : la victimisation renforce la légitimité. Les mobilisations populaires récentes en sont la preuve éclatante. Au nord, Farba Ngom bénéficie d’un regain de soutien impressionnant ; à Saint-Louis, Mansour Faye rallie de plus en plus de partisans ; à Louga, Moustapha Diop suscite une ferveur populaire inattendue ; et à Dakar, le mouvement du Rappel à l’ordre parvient à fédérer un large front citoyen en dénonçant ce qu’il considère comme une justice à deux vitesses.
Ces signaux devraient alerter les dirigeants du Pastef : en voulant neutraliser leurs adversaires, ils risquent au contraire de consolider leur statut de martyrs politiques et de leur offrir une nouvelle légitimité morale. L’opinion publique sénégalaise, profondément attachée à la justice et à l’équité, réagit mal à ce qu’elle perçoit comme une instrumentalisation du pouvoir judiciaire. Plus les arrestations se multiplient, plus elles alimentent le sentiment d’injustice et la frustration populaire, y compris parmi ceux qui n’étaient pas initialement hostiles au régime.
Si cette stratégie n’est pas corrigée, elle pourrait se retourner contre le Pastef. L’histoire politique du Sénégal montre que la répression a souvent précédé la défaite électorale : chaque fois qu’un pouvoir s’est enfermé dans la logique de la confrontation plutôt que du dialogue, il a fini par perdre le soutien populaire. En poursuivant sur cette voie, le Pastef risque non seulement d’éroder sa crédibilité, mais aussi de fragiliser le climat social et politique du pays.
Le régime Pastef semble s’engager dans une voie périlleuse avec sa politique actuelle d’arrestations et de poursuites, menée au nom de la soi-disant « reddition des comptes » et des enquêtes sur les événements insurrectionnels de 2021 à 2024. Ce qui devait être une opération de moralisation de la vie publique donne aujourd’hui l’image d’une chasse aux adversaires politiques, perçue par une grande partie de la population comme sélective et motivée par la vengeance plutôt que par la justice.
En s’attaquant frontalement à des figures bien implantées dans leurs fiefs, le pouvoir semble ignorer une réalité politique fondamentale : la victimisation renforce la légitimité. Les mobilisations populaires récentes en sont la preuve éclatante. Au nord, Farba Ngom bénéficie d’un regain de soutien impressionnant ; à Saint-Louis, Mansour Faye rallie de plus en plus de partisans ; à Louga, Moustapha Diop suscite une ferveur populaire inattendue ; et à Dakar, le mouvement du Rappel à l’ordre parvient à fédérer un large front citoyen en dénonçant ce qu’il considère comme une justice à deux vitesses.
Ces signaux devraient alerter les dirigeants du Pastef : en voulant neutraliser leurs adversaires, ils risquent au contraire de consolider leur statut de martyrs politiques et de leur offrir une nouvelle légitimité morale. L’opinion publique sénégalaise, profondément attachée à la justice et à l’équité, réagit mal à ce qu’elle perçoit comme une instrumentalisation du pouvoir judiciaire. Plus les arrestations se multiplient, plus elles alimentent le sentiment d’injustice et la frustration populaire, y compris parmi ceux qui n’étaient pas initialement hostiles au régime.
Si cette stratégie n’est pas corrigée, elle pourrait se retourner contre le Pastef. L’histoire politique du Sénégal montre que la répression a souvent précédé la défaite électorale : chaque fois qu’un pouvoir s’est enfermé dans la logique de la confrontation plutôt que du dialogue, il a fini par perdre le soutien populaire. En poursuivant sur cette voie, le Pastef risque non seulement d’éroder sa crédibilité, mais aussi de fragiliser le climat social et politique du pays.
VOUS VOULRZ QUOI EN FIN DE COMPTES.PERTE ET PROFITS
Voleur libre comme le vent
Il faut juste se feliciter d'avoir enfin une Justice qui fonctionne dans ce pays! Quand on a des doutes sur quelqu'un on l'arrete et l'enquete prouve qu'il est clean, alors il est libere. Et c'est ca c'est le merite de ce regime.
C’est ça qu’appelle Justice à deux balles. Justice mode Pastef !!!’ Vous avez fait des études??
Mansour Faye Président de la République en 2029
JE ME DEMANDE COMBIEN IL A REMBOURSE POUR SA LIBERTE?
Il n’a rien remboursé! Juste l’absence de preuves !!! Il emprisonne puis ils cherchent des preuves. L’axe du mal mènera ce pays à sa perte. Il est aidé dans son entreprise de destruction par par un trio tout aussi malveillant, minable et limité sociologiquement, politiquement et moralement: Ngoné Saliou, Sa Wolof et Djimbori. Satan à ses adeptes mais vous m’échapperez pas au feu que vous avez allumé ! À bon entendeur, salut!
Les peulhs restent en prison et c ki insultent les peulhs vaquent à leur occupation.
Macky est entrain de nous en bateau.
Il continue de considérer les senegalais comme des ignares dont la compréhension est tributaire des medias
Hors Sujet ……..gros HS
Rend grace à Dieu qu'il y'a la justice maintenant. Aux temps de ton beau frére celà était impossible. Que tu ais raison ou pas
La photo d'illustration de l'article montre en bleu le defunt directeur de Ageroute decede en avril 2024. Merci à Seneweb de faire preuve de plus de rigueur.
Zaproxy alias impedit expedita quisquam pariatur exercitationem. Nemo rerum eveniet dolores rem quia dignissimos.
La place baya, c’est vraiment une grosse farce, c’est très mal aménagé, je sais pas comment ils ont dénaturé la place faidherbe, enlever les arbres et la betonner
J’ai mal en voyant cette photo qui illustre suffisamment l’extraversion de notre pays sous le régime précédent. Même pour poser des pavés on amène des étrangers. Nos ingénieurs deviennent des ouvriers et les étrangers peuvent bloquer les pays à leur guise, c’est justement ce qu’il faut inverser.
École Notre-Dame du Liban (Khar Yalla) : Les enfants sont en danger !
Les toilettes des élèves n'ont PAS D'EAU. Les enfants sont forcés d'utiliser des sanitaires insalubres, sans aucune hygiène.
La santé de nos enfants est directement menacée par les risques de maladies. C'est inacceptable !
Malgré la gravité de la situation, l'association des parents d'élèves ne réagit pas.
L’inspection d’académie est interpellée.
Partagez ce message ! Interpellons la direction et les autorités pour qu'ils agissent MAINTENANT et abrègent la souffrance de nos enfants.
Le dernier mot revient toujours a' " Borom Beut Bou Reuye Bi", Borom Bi, Le Proprietaire, Tabaraka Wa Talah, le Maitre des evenements et de toutes les circonstances Lou am mom la, lou amoul mo ko fankheu, Bilahi
Monsieur Le Maire Mansour Faye, yalla na sa jamm yagg
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