Au lendemain du réaménagement gouvernemental annoncé le 6 septembre, l’Alliance pour la République (APR) a réagi avec vigueur
« Sauver la République » : l’opposition fourbit ses armes contre le régime Pastef
Au Mali, le Haut conseil islamique (HCIM) n’entend pas garder le silence sur "les dérives autoritaires" des militaires au pouvoir.
Le paysage politique sénégalais pourrait bientôt compter une nouvelle coalition d’opposition. À l’initiative du leader du mouvement Sénégal Bi Ñu Bokk et ancien édile de la capitale, un front d’un nouveau genre se dessine. Son ambition : réunir partis politiques, anciens parlementaires et société civile pour faire contrepoids à ce qu’il qualifie de "dérive autoritaire du régime".
La tension monte au sein de l’Alliance pour la République (APR). Ce week-end, les femmes républicaines de la région de Dakar ont organisé une grande mobilisation pour réclamer la libération immédiate des responsables politiques de leur parti, actuellement détenus ou placés sous contrôle judiciaire .
Aminata Touré : « Sans justice pour les victimes, la démocratie restera blessée »
