« A Formose, par exemple, j’ai dragué la plus belle fille du pays, que j’ai épousée par la suite »
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« A Formose, par exemple, j’ai dragué la plus belle fille du pays, que j’ai épousée par la suite »
Comme l’Ougandais Idi Amin Dada, Jean Bédel Bokassa est l’une des figures ayant marqué l’histoire de l’Afrique au XXe siècle.
En service à la Direction de la Police de l'Air et des Frontières, Mayel Niasse a perdu la vie hier dans un accident de la circulation sur l'axe Gouloumbou-Tambacounda.
"Je ne suis pas expert en économie. Je ne suis pas expert en Droit. "
Sur les tournages du « Flic de Belleville », de « James Bond » ou de « Mortal Kombat », ce cascadeur français élevé à Bangui prend tous les risques
Mi-mars, François Bozizé a pris la tête de la coalition rebelle en Centrafrique avec un objectif : renverser Faustin-Archange Touadéra
De l'or, de l'hermine, du pourpre...
L’ancien protégé de Omar Bongo, fils spirituel de Jacques Foccart et proche de Nicolas Sarkozy, revient sur l’intervention française en Centrafrique. Il estime que, loin de renforcer l’influence de Paris en Afrique, elle démontre une méconnaissance du pays et de l’Afrique en général. Première partie d’entretien.
Le général sénégalais Amadou Bélal Ly, ancien aide de camp du président Léopold Sédar Senghor, est décédé lundi à l'âge de 88 ans à l’Hôpital Principal de Dakar, a appris l’APS de source militaire.
Le général Amadou Bélal Ly (88 ans) a indiqué qu’il était prêt à se tirer de sa retraite au Point-E de Dakar pour un nouvel engagement volontaire à aller prêcher la parole de la paix dans le maquis de Casamance (Sud), où il préconise le respect réciproque entre interlocuteurs, rapporte Armée-nation dans sa dernière édition reçue à l’APS.
L’Afrique a connu des chefs d’Etat aux profils et aux personnalités les plus divers au cours de son histoire récente.
Sani Abacha, le Big Brother de la gendarme de l’Afrique de l’Ouest, Jean-Bedel Bokassa, l’ubuesque empereur de Centrafrique, Idi Amin Dada, le paranoïaque d’Ouganda, Mouammar Kadhafi, le mégalo de tripoli, et last but not least, le marabout guérisseur de la Gambie, son Excellence qui se fait appeler El Hadj Doctor Professor Abdoul Aziz Yahya Jammeh. Le présumé « fou de Banjul » figure donc en bonne place parmi « les huit présidents les plus fous d’Afrique », selon une liste établie par le site SlateAfrique. Jammeh, arrivé au pouvoir en 1994, s’est adjoint une nouvelle vocation quasi messianique: il multiplie les frasques et « présente de soi-disant séropositifs qui auraient été guéris par ses soins. Sans s’émouvoir devant l’ire des représentants des institutions de l’Onu quant à ses prétendus remèdes contre la pandémie », relève le site. Quant à sa décision d’exécuter des prisonniers condamnés à mort, qui lui a valu « une réprobation internationale, elle est interprétée par beaucoup comme un acte sacrificiel.
Ils se sont montrés exagérément paranoïaques, mystiques, mégalomaniaques ou autoritaires. Portrait de sept présidents dans leurs œuvres.
Le pouvoir est-il si grisant au point de faire perdre la tête à nos dirigeants ? En tout cas, tout le laisse croire car dès qu’ils le touchent, ils deviennent accrocs et ne comptent plus décrocher quitte à mourir... d’overdose. Le goût immodéré des Africains pour le pouvoir aura conduit certains chefs d’Etat aux pires excès et dérives
Avant toute chose, à ceux qui rétorqueraient que c'est ici un parti pris, que ce titre même n'est pas objectif, je répondrais oui and ? So what ? Je ne suis pas journaliste, n'ai pas la prétention de l'être et j'écris ici des billets d'humeur qui n'engagent que mes opinions, et mon parti-pris, en toute subjectivité.
Qu’ils soient cadres, médecins ou militaires, les anciens du Prytanée* militaire Charles N'Tchoréré de Saint-Louis du Sénégal évoquent avec fierté leur école qu’ils considèrent, comme un «creuset de l’excellence». Cet établissement a formé plusieurs personnalités africaines : de l’actuel chef d’État-major des armées du Sénégal le général Abdoulaye Fall,
Le débat portant sur la candidature de Wade en 2012 est une ignominie. Le Sénégal ne devrait point arriver à un moment où son Président, âgé de presque 90 ans, élu et « réélu », cherche à s’accrocher encore au pouvoir par un inadmissible 3ème mandat dans la perspective de le transmettre à qui l’on sait. Ce vieil homme est conséquemment à mettre hors d’état de nuire parce qu’il ne recule devant aucune forfaiture. Il ne lui a pas suffi de soumettre les finances publiques à un rythme infernal.
Plaise à Dieu qu’on en finisse avec cette affaire Global Voice et que le bon sens prévale. Par quelque côté qu’on la prenne, il s’agit d’une affaire qui rend l’atmosphère, en cette période estivale, lourde et acide. Le président de la République, maintenant que la preuve est faite qu’il a agi sans aucun discernement, ne doit plus hésiter entre l’intérêt général et le bon plaisir de quelques hommes d’affaires étrangers. La paix sociale se fera à ce prix et certainement son avenir à la tête de ce pays. Abdoulaye Wade ne pourra plus avancer au rythme époustouflant d’un scandale par semaine, défiant la colère que j’ai entendue la semaine dernière s’exprimer en France, aux Etats-Unis et un peu partout dans le monde.
Dans un petit village de Sedhiou, Bêmet Diattacounda, un puisatier est mort, enseveli dans son propre puits. Les villageois impuissants l’ont laissé enterrer debout. Ils ont prié sur ce qui lui sert maintenant de sépulture. Les Sapeurs pompiers appelés à la rescousse n’ont rien pu faire de ses suppliques innombrables, Doudou Diadhiou est mort par suffocation. S’ils avaient réussi à le sortir de là, ils auraient fait face à un plus grand obstacle. Cette vaste localité ne compte aucun service de réanimation, aucun centre de santé. Le petit poste installé là aux premières heures de l’indépendance fonctionne au ralenti, faute de matériel. Son sort n’est pas celui de Karim Wade coincé au dixième étage de l’immeuble Tamarro.
Ce livre raconte près de cinquante ans d’histoire de la télévision en Afrique noire francophone, sur un vaste ensemble géographique de plus de 10 millions de km² regroupant dix-sept Etats -Bénin, Burkina Faso (ex-Haute Volta), Burundi, Cameroun, Centrafrique, Congo, Côte d’Ivoire, Gabon, Guinée, Mali, Mauritanie, Niger, République Démocratique du Congo (ex-Zaïre), Rwanda, Sénégal, Tchad, Togo- pour une population d’environ 217 millions d'habitants. L’ouvrage s’enchaîne sous forme de récit avec son rythme propre, ses temps d’arrêt, ses accélérations, mais aussi ses intrigues et ses acteurs.