Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Pape Amadou Sarr, ancien délégué général de la DER/FJ et actuel directeur exécutif à l’Agence française de développement (AFD), s’est exprimé sur la dette publique sénégalaise, estimée à environ 118 % du PIB, lors de l’émission Grand Jury du dimanche 31 août 2025.
Selon les dernières données de l’Agence nationale de la statistique et de la démographie, le Produit intérieur brut du Sénégal au premier trimestre 2025 s’établit à 4 206,32 milliards de F CFA. Ce niveau illustre la vigueur de l’activité économique dans un contexte inédit, marqué par les premiers effets de l’exploitation pétrolière et gazière.
L’économie sénégalaise devrait connaitre une croissance notable en 2025, avec un taux de progression du PIB réel estimé à 8 %, selon les dernières prévisions de la Direction générale de la Planification et des Politiques économiques (DPEE). Ce rebond fait suite à une croissance de 6,1 % en 2024.
L’économie sénégalaise devrait connaitre une croissance notable en 2025, avec un taux de progression du PIB réel estimé à 8 %, selon les dernières prévisions de la Direction générale de la Planification et des Politiques économiques (DPEE). Ce rebond fait suite à une croissance de 6,1 % en 2024.
Le ministère des Finances et du Budget du Sénégal a publié le rapport trimestriel d’exécution budgétaire pour le deuxième trimestre 2025, offrant un aperçu détaillé de la gestion des finances publiques à mi-parcours de l’année. Dans un contexte économique mondial marqué par un ralentissement aux États-Unis, un rebond en Zone euro et un dynamisme des économies émergentes, notamment la Chine, le Sénégal affiche des résultats encourageants, portés par une croissance robuste du PIB réel de 12,1 % au premier trimestre, principalement grâce à l’exploitation des hydrocarbures.
Le Sénégal consacre moins de 0,3 % de son PIB à la recherche et au développement, bien en deçà de la recommandation de l'Union africaine fixée à 1 %. Ce sous-financement chronique impacte les priorités de recherche, souvent dictées par les bailleurs étrangers, et freine l'innovation locale.
Le taux d’endettement à 70% du Pib si ancré dans les pays de l’Uemoa n’a aucune base scientifique.
Le Plan de relance économique et social (PRES) du Sénégal, baptisé « Jubbanti Koom », vise à réduire le déficit budgétaire de 12 % du PIB en 2024 à 3 % d’ici 2027, tout en s’appuyant sur trois piliers
Dans un contexte économique marqué par un déficit budgétaire de 14 % du PIB et une dette publique atteignant 119 % en 2024, le Sénégal s’engage dans un plan de redressement économique et social ambitieux, « Jubbanti Koom ».
Face à un marasme financier persistant avec des signaux au rouge (déficit budgétaire de plus de 12% et endettement de 119%du Pib), l’État scrute de nouvelles niches fiscales.
Lors de la présentation du Plan de Redressement Économique et Social (PRES) le 1er août 2025 au Grand Théâtre de Dakar, le ministre de l’Économie, du Plan et de la Coopération, Abdourahmane Sarr, a détaillé la Vision Sénégal 2050, une stratégie visant à transformer le modèle économique du pays en s’éloignant de l’endettement étatique.
Nouveau plan de Sonko pour le redressement, Rebasing du PIB: Djibril Guéye coord G.O.A.T se prononce
Pour un secteur qui contribue entre 6,5%, et 7,85% du Produit intérieur brut (PIB), le tourisme au Sénégal n’est pas encore vraiment mis sur pied.
La situation financière du Sénégal va de mal en pis avec une dégradation constante de la note souveraine. Lundi dernier, 14 juillet 2025, l’agence de notation S&P Global Ratings a dégradé une nouvelle fois la note de crédit à long terme du pays. Celle-ci passe de B à B-. Une situation qui résulte d’une réévaluation de la dette du Sénégal (119% du PIB) qui dépasse le seuil critique des 100%.
À peine installées, les nouvelles autorités sénégalaises font déjà l’objet de critiques sur leur gestion économique, accusées de nourrir l’instabilité budgétaire ou de manquer de lisibilité stratégique.
Face à une crise persistante de confiance des marchés et à la dégradation récente de sa note souveraine, le Sénégal a lancé en juillet 2025 une révision de la base de calcul de son produit intérieur brut (PIB).
Le Sénégal n’est pas encore en situation de défaut de paiement, mais les signaux d’alerte sont clairs et préoccupants.
Un rapport de la banque britannique Barclays désigne le Sénégal, pays le plus endetté d’Afrique, avec une dette évaluée à 119% du PIB en 2024.
Selon la banque britannique Barclays, la dette de l’État du Sénégal est passée de 99,7% du PIB à 119% entre 2023 et 2024. Une hausse de 20 points de la dette qui « confirme l’échec » du gouvernement de Ousmane Sonko, selon Mbaye Dione, secrétaire général de l’Alliance des forces de progrès (AFP).
Selon l’économiste Pr Amath Ndiaye de la FASEG-UCAD, la dette publique sénégalaise, bien que ne plaçant pas le pays comme le plus endetté d’Afrique, suscite une vive inquiétude. Avec un ratio dette/PIB de 119 % en 2024, « ce niveau dépasse très largement les seuils de prudence admis dans les pays en développement : 60 % selon le FMI et 70 % selon les critères UEMOA », alerte l’expert. Seuls le Ghana, le Soudan ou l’Érythrée affichent des ratios supérieurs, reflétant une accumulation rapide liée à des « déficits jumeaux (budgétaire et courant) et d’accès limité aux financements concessionnels ».